Dans la série « Bonjour voici mon nombril » vous me demandez : « mais quelle cure suis-tu quand tu as besoin d'une cure de drainage ». Au moment où je me sens un peu fragile, on connaît le contexte, je l'ai exposé dans une autre vidéo, ma cure drainage n'a pas de nom, je fais un mélange de toutes les cures que j'ai déjà testé parmi les cures de mes Topos. En gros elle ressemble très très fort à de la paléo-nutrition très pauvre en hydrates de carbone. Si jamais j'ai une rechute d'une de mes anciennes maladies c'est cette cure-là que je suivrai, le temps de me remettre sur pied et pas en permanence. Je pense que je radote mais on ne le répétera jamais assez. Et dans cette cure-là, je survalorise les graisses. On pourrait dire que lors de mes cures de drainage je mange à peu près 80% de graisse sur la journée. Graisse toute originelle bien entendu, crue et nue. Et au principal saturée... On sait bien que le terme de « saturée » est une blague. Le beurre que je prend à la maison est un beurre bio de vache jersiaises nourries au champs avec de l'herbe non-traitée donc riche en de multiple nutriments et surtout équilibré en acides gras. Et la qualité des acides gras que j'en tire n'est que fonction de mon métabolisme. Il se fait que mon métabolisme traite bien les graisses qu'on appelle « saturées ».