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2.3.2025 Suivez les traitements oncologiques classiques, mais ne vous limitez pas à ceux-ci. Dans le dernier billet, je citais les pratiques médicales des cliniques oncoalternatives allemandes. Il ne faut pas pour autant partir pour 3 semaines de traitement en Allemagne. Des solutions-maison existent, assez simples à mettre en place, à condition que l’on ne croie pas à la piste des oncogènes.
Dans un billet précédent, je proposais "Suivez les traitements oncologiques classiques, mais ne vous limitez pas à ceux-ci". Dans le dernier billet, je citais les pratiques médicales des cliniques oncoalternatives allemandes.
Il ne faut pas pour autant partir pour 3 semaines de traitement en Allemagne. Des solutions-maison existent, assez simples à mettre en place, à condition que l’on ne croie pas à la piste des oncogènes. Dans ce dernier cas, on est impuissant, c’est la nature qui s’est liguée contre nous et seule la médecine peut nous aider. Le cancer est la faute à pas de chance, en gros. C’est le choix des profils Calimero. Je ne suis pas de ce profil, donc...
Si l’on sait (ou croit, peu importe), comme moi, que le cancer est une maladie systémique qui demande une approche systémique, que le cancer adore les sucres et la sous-oxygénation, que la tumeur est probablement une masse de cellules dépolarisées, que la phénomène cancéreux attire des parasites très malvenus, et que le corps a besoin, pour lutter contre l’invasion, de toutes ses ressources (nutriments comme vitamines et minéraux mais aussi polarités cellulaires idéales), ressources qui sont souvent abîmées par la malbouffe, on peut imaginer combiner les traitements classiques avec l’une ou l’autre des pratiques suivantes.
Elles sont éprouvées sur le terrain, parfois en clinique, quasi jamais en historique selon ma grille de lecture en 3 critères (l’historique du cancer est trop neuf - https://www.taty.be/articles/devenirsoiTL.html#grille).
1/ Réformer son assiette de manière radicale : pratiquer soit la diète cétogène ou au moins une version très pauvre en sucres, comme Décrochez des sucres ; soit une cure hygiéniste à la Kousmine comme ma Cure antifatigue - dans les deux cas, ces cures sont conçues à partir d’aliments exclusivement ressourçants, des nourritures vraies
2/ Installer au quotidien des pratiques d’oxygénation et de repolarisation efficaces et peu chères :
2a/marcher au moins une heure au grand air, dans une zone arborée, de préférence la peau exposée au soleil dès qu’il pointe son petit nez – deux heures est encore mieux
à défaut, si trop épuisé, pratiquer le bol d’air Jacquier (achat cher)
2b/ limiter l’exposition aux lumières artificielles (les nouvelles ampoules produisent une plage de lumière inadaptée à l’humain, ah ! si on pouvait revenir aux anciennes ampoules…)
2c/ se protéger de l’e-smog, grand capteur d’électrons et « dépolarisant » si l’on veut – les bases sont résumées dans un poster https://www.taty.be/vieille/protegeresmog.html
(voir commentaire nr 1)
2d/ pratiquer le sauna tous les trois jours (infra-rouge ou pas), pratique qui amorcera une forme de détoxification
D’autres pratiques douces sont résumées sur mon blog, sous la forme d’extraits d’un de mes livres, à télécharger en pdf : https://www.taty.be/burnout/kdossiers.html
3/ Organiser une cure antiparasitaire, via l’ivermectine et/ou le mébendazole (le vermox de notre enfance) que prescrira votre médecin - pour leur propriété antiparasitaire, et pas nécessairement pour leur capacité de molécule repositionnée. Votre médecin connaît d'autres antiparasitaires courants, comme albendazole et d'autres. C'est lui et lui seul qui sait ce qu'il vous faut dans quel cas, s'il est d'accord de partir, par sécurité, sur une piste antiparasitaire qui magnifierait l'effet des traitements.
Amateurs de sources, l’efficacité de l’artemisine comme molécule repositionnée contre les cellules souches cancéreuses est l’objet de quantité d’études. Le dr Jeffrey Dach (radiologue, retraité de la radiologie, actif en médecine naturelle désormais) partage ses recherches sur son blog https://jeffreydachmd.com/2016/02/artemisinin-our-ultimate-cancer-weapon-a-gift-from-china/. Il se spécialise dans l'approche du cancer comme maladie parasitaire, si je peux faire court.
Il faut prendre le temps d’éplucher les trois mille références qu’il cite. Je l’ai découvert à l’occasion de cette recherche-ci. Billet viendra.
A défaut de l'avis d'un médecin, on ne risque rien à pratiquer la cure antiparasitaire de nos grands-mères, à base d’absintheentre autres – dont je partage ici la recette et la source. On ne lui connaît pas d'inconvénient, mais si vous êtes en traitement lourd , l'immunité est touchée Il faudra IMPERATIVEMENT l'autorisation médicale. J'imagine aussi que vous ne la pratiquerez qu'une fois par an.
Comme je suis fragile et accueillante aux parasites depuis longtemps, je refais cette cure une fois par an, au printemps ou en automne. Ce mois de mars est le moment idéal pour la faire. En général, on ne la fait qu'une fois par an.
Je reprends ci-dessous les principes d’une cure antiparasitaire de type grand-mère, à base de clous de girofle, de teinture mère de noyer et d’Artemisia absinthium, qui a fait ses preuves sur le terrain et qui n’a pas de contre-indications. Malgré tout, il serait judicieux de vérifier avec le médecin traitant si ce traitement vous convient. Pourquoi pratiquer cette cure antiparasitaire plutôt qu’un traitement classique ? Ces derniers ne toucheraient que les intestins, alors que cette cure-ci débusque les poches dans les autres organes (foie, poumon, par exemple).
Lors de recherches sur internet, vous découvrirez que cette cure a été remise au goût du jour par une « docteur » Hulda Clark (feu). Prudence ! Docteur, mais en biologie, cette Américaine soignait les gens comme un médecin... Parmi ses mille et une billevesées autres que cette cure-ci précise, elle prétendait que le SIDA était dû exclusivement aux parasites. S’il est très probable que des parasites s’installent sur des organismes aussi fragilisés que ceux des sidéens, corrélation n’est pas cause, voyons.
D’ailleurs, si vous effectuez des recherches sur Hulda Clark, vous serez freinés par des assertions radicales de certaines associations conventionelles. Ils réagissent par des articles « idéologique s». Je m'explique : leur boulot est d'éviter aux patients d'être victimes d'arnaqueurs. Hélas, leur mission est quasi impossible, car ils devraient tenir ma position personnelle, « entre deux eaux », ce qui est très peu occidental. Ils jettent donc le bébé avec l'eau du bain.
Remercions tout de même Missiz Clark d’avoir rouvert la piste de cette vieille recette de grand mère. Elle proposait aussi des « cures de foie » et « de rein », très excessives pour des organismes fragiles — cures qui sont de véritables impostures physiologiques, par parenthèses. L’analyse fait l’objet du dossier «Naturologie douce», que l’on peut consulter sur mon blog https://www.taty.be/audits/naturovoiedoucep3.html. Laissez ces petits jeux à la Jackass aux bien portants. Et encore ! Les effets de la cure de foie sont dus à un simple phénomène de précipitation chimique. Résultat illusoire pour le prix d’un gros coup de bambou sur l’organisme, une gifle en quelque sorte. L’intérêt ?
La pratique de la cure antiparasitaire est résumée ci-dessous. Elle date de mes recherches avant 2005, à partir des écrits de Clark à cette époque. Je vois que les sites vendant la cure prête la mènent sous un autre rythme.
Les suiveurs de feu Clark prétendent que la cure élimine Ascaris - Besnoitia - Clonorchis sinensis - Clostridium - Escherichia coli - Eurytrema pancreaticum - Fasciola hepatica - Fasciolopsis buski - Hasstilesia tricolor - Onchocerca - Plasmodium malariae - Salmonella - Shigella - Streptococcus - Tenia (https://www.vivrenaturellement.com). Mais je ne vois pas de sources pour cette affirmation (le sujet n'est pas mon dossier principal du moment). Ce site vend d'ailleurs un "pack" pour la cure à +- 62€ alors que chaque produit coûte 8€ à tout casser. Ils se font une triplette, quoi.
Important de lire mon billet "La cure antiparasitaire: mise au point"
Dans les prochains billets, je citerai d’autres pratiques utiles, pour les acteurs de leur propre santé qui veulent accompagner les traitements du cancer (vitamine C à haute dose, zéolithe, iode pour certains, etc.).
Vous aurez noté que je ne cite pas le bleu de méthylène ou le dioxyde de chlore, qui sont des choix de traitements forts, si pas brutaux. Ces derniers conviendront peut-être aux constitutions solides et n’ont, pour le dernier, aucune trace de références sérieuses. De par mon historique personnel, je me fais Présidente du Front de Défense des plus Fragiles : solutions douces pour une sortie douce de la maladie. Pourquoi remplacer des traitements aussi violents que les chimios par d’autres ? Cela me dépasse…
Extrait de « Sortir de la cacophonie gastrique », de Taty lauwers, éditions Aladdin
Acheter ce qui suit.
On peut faire ses propres teintures-mères. Exemple ici: https://www.herboristerieduvalmont.com/blog/comment-faire-une-teinture-mere-d-absinthe--n279 et https://www.herboristerieduvalmont.com/blog/comment-faire-une-teinture-mere-de-noyer--n325
Pour la tenue de la cure antiparasitaire :
En résumé
Jours 1-10
Jours 11 à 16
Solution pour une personne trop épuisée pour s’organiser : la cure existe sous forme de gélules. BioPara de Biotics (en pharmacies et par portails comme www.energeticanatura.com). Attention : par bonne conscience, ils ont ajouté quantité d’ingrédients, prudence pour les plus fragiles. On peut aussi acheter la cure "Clark" chez https://www.vivrenaturellement.com/accueil/2347-cure-antiparasitaire-de-base-0769503905075.html
Uniquement sur conseil d’un praticien !
RAPPEL: ceci était l'occasion de partager la cure antiparasitaire, que l'on me demande souvent . Mais si vous êtes en traitement lourd contre le cancer, faites plutôt confiance à un médecin, ne vous autoprescrivez pas cette cure de saison. Si parasites il y a, l'organisme a fort à faire lors de l'élimination des intrus, ce n'est pas anodin.
12.7.25 Grâce au don de Kat (une brassée de branches d'absinthe fraîche), j'ai pu commencer la teinture-mère d'absinthe qui va rejoindre celle de bogue verte de noyer commun dans mon placard. Dès l'automne, je ferai mon habituelle cure antiparasitaire maison.
Voici un protocole simple, inspiré de https://www.herboristerieduvalmont.com/blog/comment-faire-une-teinture-mere-d-absinthe--n279
1. J'ai broyé les feuilles d'absinthe (200g sur les 370g reçus de Kat) à l'aide de l'extracteur Jazz - idem pour les bogues cueillies vertes, coupées d'abord en 4 (200g aussi)
2. J'ai versé dans une cafetière à piston. On peut utiliser un bocal (voir photo 2). Couvert d'alcool 94°C à deux fois le poids.
3. Je garde au placard, au noir, et je remue tous les jours.
4. Après 2 semaines, je filtrerai et j'embouteillerai le liquide.
Deux solutions pour produire une teinture-mère: soit à l'alcool pur (voir photo), soit à l'alcool vendu en grande surface, qui est à 45° .
Seule la première option est valide pour extraire les principes actifs d'une plante fraîche. La deuxième a trop d'eau pour y arriver. Elle convient pour les plantes sèches.
J'ai la croyance qu'on perd en principes actifs à sécher la plante. Je la préfère fraîche. Une ami luxembourgeoise m'a acheté de l'alcool chez elle, où il coûte la moitié du prix belge. En 2022, J'en ai utilisé pour faire à partir de zestes frais de citrons du limoncello (https://www.taty.be/hiver/limoncello.html) et de la liqueur de verveine. L'année passée, je me suis fait une teinture-mère de feuilles fraîches d'artichaut, que je ne trouvais pas sur le marché.
Pour l'absinthe, les avis divergent quant au stade utile pour la cueillette. Kat à cueilli l'absinthe après quelques jours de soleil, mais avant les boutons, car les doses de thuyone seraient alors trop élevées. Je ne crois personnellement pas à l'utilité de quantité pour une belle efficacité. Choix et croyance personnels. En tant que "canari de la modernité", je suis plutôt prudente face aux dosages classiques, car je surréagis vite.
Il n'y a pas que de la thuyone, il y a aussi tout ça selon https://www.passeportsante.net/fr/Solutions/HerbierMedicinal/Plante.aspx?doc=absinthe-artemisia-absinthium-bienfaits-cette-plante: acétate de chrysantemyle, acétate de sabinyle, alpha-thuyone, en concentration variée selon les chémotypes ; des principes amers ; des lactones sesquiterpéniques : absinthe 0,20-0,28%, artabsine, matricines ; des flavonoïdes : kaempférol, quercétol ; des flavones (artémisinines) ; des coumarines et des lignanes (sésamines).
Pour les noix, Clark prétend que c'est verte qu'elle est la plus efficace. Je n'ai pas pu vérifier. Je ne me fie évidemment pas à wikipedia ni à l'IA qui me répète un truc de chez doctissimo 😉 Déjà que je suis prudente avec les dires de cette docteur en biologie.. Clark demandait précisément des bogues de noyer noir/nigra/Amérique, mais comme elle était américaine, on peut comprendre. J'ai choisi les bogues de noyer juglans regia, de chez nous. A lire les textes classiques comme https://www.myrtea-formations.com/modules/aromatheque/Fichiers_pdf/Monographies_longues/P-Juglans_regia_L.-200626.pdf que m'a envoyé Françoise Bacq (merci!), la bogue du noyer juglans regia est aussi vermifuge. Confirmé dans le livre de Christian Escriva "Les alcoolatures" .