8/8/2023 Peu d'ados sautent le pas de la transition, malgré la propagande officielle en cours (+- 0.3%). Mais parmi ceux qui transitent, 35% sont des autistes.
@CLConover80 sur tw:
"Voici mon fils. Il est diagnostiqué autiste depuis l'âge de 5 ans. Il est incapable de travailler, car de simples instructions (plus d'une étape) provoquent une crise de panique.
Il a révélé son homosexualité à 16 ans. À 14 ans, les enseignants et le "club Pride" d'une école du New Jersey lui ont dit qu'il était trans parce qu'il aimait le rose et son petit poney, même si tout ce qu'il faisait, portait, disait, etc. était stéréotypé comme étant de sexe masculin. Il n'aime même pas être entouré de filles, à moins qu'elles ne soient des garçons manqués.
C'est un ingénieur dans l'âme, qui démonte et répare les choses. Il aime construire des choses et créer des jeux vidéo. C'est un bon garçon.
Il est très sensible et facilement manipulable.
Un médecin ne lui a même pas posé de questions lorsqu'il a dit qu'il pourrait être trans, il l'a simplement affirmé aveuglément et l'a mis sous œstrogènes et bloqueurs de testostérone il y a quelques mois.
Depuis, il a pris plus de 5 kilos et son acné a empiré. Il a 20 ans et l'esprit d'un jeune de 15 ans.
Je suis atterrée. Il s'est installé de bon chez mes parents car mon déménagement en Caroline du Nord était un changement massif qu'il a mal géré (autiste après tout !), alors je l'ai laissé retourner chez ses amis (tous des hommes hétérosexuels) et aller à l'université là-bas.
J'ai informé mes parents des effets néfastes de ces médicaments, du fait que mon fils souffre d'une dysmorphie corporelle très claire, et non d'une dysmorphie sexuelle (aucune des parties de son corps qui sont masculines ne le dérange. Seuls les poils sur l'ensemble du corps aggravent ses problèmes sensoriels (NdT: typique des autistes, vivant une hypersensorialité).
Je lui ai proposé l'électrolyse, mais il était trop effrayé pour le faire. Il a préféré se raser. Il se trouve laid, gros et se voit comme dans un miroir géant.
Ce n'est PAS de la dysphorie de genre, d'autant plus qu'il déteste porter des vêtements féminins (ils le mettent mal à l'aise). Il s'agit simplement d'un enfant souffrant de dysmorphie corporelle.
Il ne devrait pas prendre ce médicament qui peut être nocif."
Traduit à partir de https://twitter.com/CLConover80/status/1688274710214098945
N'y aurait-il pas des procès qui se perdent? Le médecin, le club Pride sont-ils innocents de pervertir ainsi l'horizon mental d'un autiste?
De tels exemples affreux de cynisme me poussent à terminer ce dossier assez vite, pour le partager au plus grand nombre et qu'ensemble nous freinions, si possible, la contagion chez nous.