Ados transidentifiés en souffrance - ils posent les bonnes questions, ils reçoivent les mauvaises réponses: sectarisme, créationnisme...
31.7.23 Mon intro au documentaire "Transition de genre à l'école : toboggan vers le pire". Le pitch: pourquoi ne pas enseigner le créationnisme, tant qu'on y est?
"En 2022, plus rien n'est normal", dit une gamine de dix ans, interviewée sur la fluidité des genres. Certes, mais l'accueil univoque de cette affirmation ouvre la porte aux comportements sectaires. Dont acte avec l'idéologie transgenre (dont j'apprends qu'il est désormais interdit légalement de l'appeler "idéologie"? Glups!).
Si j'étais parent d'un enfant tenté, j'irais étudier comment on procède pour déradicaliser des victimes de sectes. Mêmes procédés: négation de la biologie, diabolisation de la famille "qui te veut du mal", éloignement suggéré de ladite famille, endoctrinement, reformulation du réel, accaparement de la personne, puis menaces de trahison et d'excommunication si l'endoctriné commence à réfléchir.
Le prosélytisme que l'on repère sur les réseaux, de la part de LGBTetc, est surtout le fait des transgenres. Lesbians and Gays: vu que j'aime vivre à la marge de la société, j'ai souvent fréquenté des homos. Aucun ne m'a jamais tanné pour que je tente l'aventure sexuelle avec des filles. Aucun prosélytisme chez eux.
Pour sortir l'ado de cette "secte", c'est un peu plus difficile dans la mesure où ces discours transgenres sont appuyés par des algorithmes, sur quasi tous les réseaux. J'imagine que twitterr a arrêté depuis l'achat par Musk, remonté contre la mouvance depuis que son ex-femme a laissé un de ses enfants se faire piéger par la secte. Instagram appuie aussi les échanges entre pédophiles, ceci dit en passant - ce fut l'objet du Pizzagate.
Ceci fera l'objet d'un autre billet, où j'étudierai la puissance des lobbies, leur imbrication au sein de nos institutions. Le planning familial, par exemple, est loin d'être neutre. De page en page, je vais de surprise en surprise. Ma première intuition d'une manoeuvre par lobbies, et pas ceux qu'on pointe en général, ne fait que se confirmer. J'ai besoin de documents plus précis pour valider, je vous tiens au courant.
On ne peut mettre tout ce bastringue sur le dos d'une contagion de danse de Saint-Guy comme au Moyen-Age.
Ce sera un billet au ton "la prof de complotisme vous parle". Ceux qui m'ont suivie ici en début 2020 savent que je me suis instaurée "prof de complotisme". Tout ce qu'avec mes camarades (allez , quasi tout) nous disions alors est en train de s'avérer.
Le pitch de ce billet-ci: les institutions, enseignement compris, valident une idéologie basée sur du sable, le transgenrisme dérivé des écrits de Judith Butler et des expérimentations inhumaines (et ratées) du dr Money. Pourquoi, alors, ne pas enseigner le créationnisme à l'école? On est à deux pas d'y arriver...
Ecouter/regarder "Transition de genre à l'école : toboggan vers le pire", par Sophie Robert - c'est un extrait du long métrage documentaire "Mauvais genre - un scandale sanitaire" (en cours de post production).
"Le 29 septembre 2021, le ministère de l'Education nationale, sous la houlette de Jean-Michel Blanquer, émet une circulaire destinée à favoriser l'inclusion scolaire des élèves transgenre en milieu scolaire.
La démarche semble bien intentionnée, le problème est qu'un élève transgenre cela n'existe pas.
Cette circulaire au contenu dicté par les associations transactivistes s'inscrit dans une démarche idéologique pour étendre son prosélytisme transaffirmatif à l'école. La transition sociale est la voie royale vers l'administration précoce de bloqueurs de pubertés, suivie de l'administration d'hormones sexuelles croisées et très vite, de chirurgies de réassignation sexuelle.
Les enfants autistes, ou atteints de troubles du neuro-développement, et les enfants non conformes aux stéréotypes de genre, dont beaucoup seront homosexuels, sont les premières victimes de ces démarches qui vont les rendre stérile et compromettre, voire rendre impossible, toute vie sexuelle. "
Image extraite de la production:
