18/8/2023 Les parents d'ados tentés par la transidentification n'ont pas toujours les clés du vocabulaire. Laissez-moi vous définir les termes selon ce que j'en comprends, maintenant que j'étudie le dossier depuis un mois.
Les parents d'ados tentés par la transidentification n'ont pas toujours les clés du vocabulaire. Laissez-moi vous définir les termes selon ce que j'en comprends, maintenant que j'étudie le dossier depuis un mois.
Aujourd'hui, "gender-affirming care" ou les traitements d'affirmation de genre: depuis les bloqueurs de puberté jusqu'aux mastectomies, en passant par les hormones.
Ces soins ne sont que l'occasion pour épargner aux ados la chance de découvrir leur sexualité (hétéro ou homo) ainsi que l'infini horizon de possibles, pour chaque sexe, dans nos sociétés occidentales. Les stéréotypes étaient quasi mis à bas, grâce entre autres au travail acharné des féministes des années '70. Puis arrivèrent les militants trans... qui enferment désormais les jeunes dans des cadres stricts, normés, mais à leur mode.
Accessoirement, ces soins sont l'occasion pour les ados de devenir des adultes patients à vie, dépendants des médicaments de genre.
Essentiellement -- c'est pire -- ces soins sont l'occasion de stériliser des jeunes qui n'ont pas osé découvrir qu'ils sont en fait homosexuels. Car l'effet secondaire de ces traitements à cet âge est la stérilité, rappelons-le. On a interdit les thérapies de conversion ("guérir les homos") qui avaient encore cours chez nous il y a peu. Les voici de retour, déguisées.