22.7.2023 Andrew Boyle a trouvé le seul ton qui pourra éteindre ce feu fou du wokisme/transgenrisme: s'en moquer avec autant de finesse que le mouvement montre de pensée binaire et plate.
Une particularité du mouvement transgenre: on ne peut pas être d'un avis opposé, on ne peut pas les contredire. J'ai déjà cotoyé des cinglés, qui pouvaient être des trésors tant que je ne les contredisais pas. Ma cousine était la réincarnation de Spartacus et partait en rage si je la raisonnais. J'ai pris l'habitude de la confirmer dans ses délires, nous nous entendions alors à merveille.
La satire est niée et rejetée par le mouvement. Jusqu'ici, j'ai oublié le 4è facteur commun: manque d'humour, à tous les étages. Normal, ces jeunes transgenres totalement à la ramasse sont dans un désespoir tragique. Ils sont les symptômes d'une société d'individus atomisés, laissés à eux-mêmes, ce qui est dramatique à l'adolescence. Ils sont carrément délirants et pathétiques dans leurs carences en collectif, en spirituel.
Ecouter le délicieux Andrew Boyle dans une conférence sur la satire à l'ère numérique, traduite en français par un humain:
Andrew Boyle a trouvé le seul ton qui pourra éteindre ce feu fou du wokisme/transgenrisme: s'en moquer avec autant de finesse que le mouvement montre de pensée binaire et plate.
Il a créé sur tw un personnage très drôle, caricatural, Titania Mc Grath, se posant comme icône féministe intersectionnelle. L'ironie veut que quantité d'internautes et de media (!) la croient une personne véritable.
C'est grâce à l'échange suivant que j'ai découvert Boyle : "Resisting Wokeness: Andrew Doyle and Douglas Murray in conversation" . J'écoute TOUT de Murray, je l'adore même si on n'est vraiment pas du même bord politique. Pendant cette heure de conversation, j'ai été séduite par la finesse du discours de Boyle.