Je profite du billet de ce matin où je mentionnais une intervention du docteur Dupagne sur France Inter. Allez, on se fait une petite série "Dupagne" sur nos thèmes favoris. Quelques micro-chroniques de 2 minutes...
"La consommation de poissons gras est plus importante dans certaines populations où les infarctus sont rares. De ce constat est née l'hypothèse d'un effet protecteur sur le coeur des huiles de poissons riches en omega3. Une synthèse récente des études publiées ne confirme pas cette hypothèse."
A l'occasion, je remonte un vieux billet sur les excès d'oméga3. J'ai tant ri avec ma soeur en regardant ce diaporama que je voudrais le partager avec quelques uns d'entre vous. Je n'en connais pas la source, je l'ai reçu tout cru tel quel...Pas de commentaires de ma part car il vous en viendra mille à la secondes à la vue du spectacle... surtout si vous avez lu mon dossier Pour Qui Sonne le Gras...
Chronique 1. "De nombreux médecins prescrivent en routine du calcium et de la vitamine D pour prévenir les fractures liées à l'ostéoporose. Une synthèse récente des données scientifiques disponibles montre que cette pratique n'est pas justifiée et pourrait même être délétère."
Chronique 2. "Quelles sont les personnes concernées par la publication du JAMA qui ne trouve aucun effet préventif sur les fractures osseuses d'un supplémentation en calcium et/ou en vitamine D ? Dominique Dupagne revient sur la population concernée par ces surprenants résultats négatifs."
"Retour sur thématique chère à Dominique Dupagne : la confusion entre corrélation et causalité, c'est à dire entre lien statistique et lien de cause à effet, à l'occasion de deux "Statalacons" édifiantes"
Cette chronique-ci plaira moins à quelques lecteurs, le docteur y confirme ce que je ressasse depuis dix ans dans mes topos... "Réaliser un bilan sanguin pour diagnostiquer des allergies alimentaires est une pratique assez répandue, bien que coûteuse et non remboursée par l'assurance maladie. Pourtant, l'intérêt de ces bilans est plus que discutable à en croire les associations scientifiques d'allergologie. " Il s'agit ici des tests à IgG