J'espère ne pas faire du mal aux gens malgré moi, au travers de mes écrits, en particulier dans les topos. Je veille à y résumer des pistes à suivre, qui ne sont ni des protocoles fermés ni des autoroutes pour tous, en me référant toujours à mes sources et en précisant la qualité de ces sources, parfois entre les lignes. Je double le contenu des topos par des dossiers variés, dans ce cas-ci la "naturologie douce". Je précise souvent dans les topos qu'il faut se faire aider d'un pro, qui pourra analyser la justesse d'un choix.
Je répète ce que j'ai déjà écrit ici: Clark était une ahurie, mais il se fait qu'elle nous a rappelé l'utilité des vermifuges de nos mères grands: la cure antiparasitaire. TOUT le reste est du pipeau, du pur délire d'un pauvre esprit perdu dans ses rêves. Cherchez sur ce site sur "Clark", vous trouverez quelques pistes de réflexion dans l'une ou l'autre FAQ, ou un extrait sur la dame dans le dossier naturologie douce.
Si, praticien, il vous faut convaincre un lecteur trop enthousiaste de mes topos, rappelez-lui la conclusion de l'extrait suivant, de mon livre "Sortir de la cacophonie": "Si les troubles digestifs persistent après les deux premières semaines de cure, il se peut que la dysbiose soit en fait une parasitose résistante. Il se peut aussi que la cure ait été mal ciblée ou mal adaptée à d’éventuelles « allergies cachées ». Si l’intestin est le lieu de belles bagarres organiques, il n’en est pas toujours la source, enfin ! Parfois, une cure NF n’est même pas nécessaire lorsque l’on se rend compte que le colopathe récent a hérité de parasites lors de voyages lointains. Il est alors capital d’empoigner ces parasites par les cheveux pour les bouter hors de soi.
En cas de parasitose avérée, le thérapeute suggérera le traitement qu’il maîtrise. Je reprends ici les principes d’une cure antiparasitaire de type grand-mère, à base de clous de girofle, de teinture mère de noyer et d’absinthium, qui a fait ses preuves sur le terrain et qui n’a pas de contre-indications. Malgré tout, il serait judicieux de vérifier avec le médecin traitant.
Pourquoi pratiquer cette cure antiparasitaire plutôt qu’un traitement classique ? Ces derniers ne toucheraient que les intestins, alors que cette cure-ci débusque les poches dans les autres organes (foie, poumon, par exemple).
Lors de recherches sur internet, vous découvrirez que cette cure a été remise au goût du jour par une « docteur » Hulda Clark (feu). Prudence ! Docteur, mais en biologie, cette Américaine soignait les gens comme un médecin... Parmi ses mille et une billevesées autres que cette cure-ci précise, elle prétendait que le SIDA est dû exclusivement aux parasites. Remercions-la tout de même d’avoir rouvert la piste de cette vieille recette de grand mère. Elle proposait aussi des « cures de foie » et « de rein », très excessives pour des organismes fragiles. Laissez cela aux bien portants. Et encore ! Les effets de la cure de foie sont dus à un simple phénomène de précipitation chimique. Résultat illusoire pour le prix d’un gros coup de bambou sur l’organisme, une gifle en quelque sorte. L’intérêt ?