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Anorexie et dysphorie de genre: même combat

31.7.23 Les ados victimes de dysphorie de genre vivent le même désordre biologique repérable par examen clinique que les anorexiques, présentation de Cryforrecognition, association belge de référence pour les parents d'ados tentés par la transition.


Cryforrecognition en Belgique (en NL, FR, EN) est une association de référence pour les parents d'ados tentés par la transition.

"Nous collaborons avec les individus et groupes qui partagent les mêmes idées. Nous poursuivons une bonne entente, nous échangeons nos informations, et essayons d’en arriver à des résultats positifs, soutenus par un large consensus.

Nous ne faisons partie d’aucun groupe politique ou religieux. Toute personne qui souhaite nous soutenir, ou désire poser des questions, est la bienvenue, indépendamment de ses tendances philosophiques ou politiques. Nous prenons nos distances, et n’accepterons aucune aide d’individus ou de groupes qui ne partagent pas nos valeurs, ou qui stigmatisent des individus ou des groupes particuliers."

Sur leur site, https://cryforrecognition.be/fr/dysphory-de-genre-faits-et-chiffres/ dans le sous-chapitre "Personne ne naît dans le mauvais corps - Il n'y a pas d'explication biologique" je relève un point capital.

En gros: les ados victimes de dysphorie de genre vivent le même désordre biologique repérable par examen clinique que les anorexiques (désorganisation dans les réseaux de connectivité neuroplastique responsables de la « médiation de la perception du corps propre »).

Et pourtant, si l'on soigne l'anorexie comme une maladie mentale, pourquoi faut-il que les psys et médecins valident la dysphorie de genre comme un choix de vie et non un trouble psychique? Pourquoi des enseignants exposent ce choix dans leurs cours, ou acceptent les choix des ados, alors qu'ils n'oseraient assurément pas faire de la pub pour l'anorexie?

(...) "les recherches suggèrent que dans la dysphorie de genre, comme dans l’anorexie mentale et d’autres troubles de la dysmorphie corporelle, on observe des changements visibles dans la connectivité des réseaux du mode par défaut (DMN) et des réseaux saillants (SN), qui sont censés former la base neurologique du sentiment de soi."

(...)

" les chercheurs ont constaté une activité fonctionnelle altérée dans le DMN et des anomalies microstructurelles dans la structure cérébrale fronto-occipitale chez les patients souffrant d’anorexie, un trouble qui sous-tend une déconnexion similaire entre l’image de soi et le corps, en l’occurrence le poids et la taille du corps, plutôt que le genre."

(...)

Les similitudes entre les patients souffrant d’anorexie et de dysphorie de genre sont si évidentes qu’il est frappant de constater que cela est néanmoins constamment négligé par les chercheurs. Mais il est tout aussi frappant de constater que ces deux troubles sont traités de manière très différente, parce que la cause profonde commune ou le symptôme commun est négligé. L’anorexie est traitée par des soins psychologiques, tandis que la dysphorie de genre est actuellement traitée par l’affirmation et la médicalisation pour soutenir la pensée perturbée. Ces protocoles de traitement divergents sont déconcertants. "

Selon les stats américaines, l'idéologie transgenre trouve un accueil particulier chez les adolescentes, en particulier celles qui sont diagnostiquées trouble autistique.


Pour suivre sur cette analyse des limites floues entre troubles ados boulimie/anorexie et tentation transitude, écouter Chirurgie et médications transgenristes : des enfants manipulés dans les écoles et sur les réseaux


"Dans certains établissements scolaires, des ouvrages inappropriés qui induisent les jeunes en erreur, ont été secrètement réintroduit après avoir été interdits dans les écoles. Les formations destinées aux directeurs d'école sur l'idéologie du genre se sont multipliées au cours des dernières années, et de nombreux parents déclarent avoir été tenus à l'écart de ces informations.

D'après Abigail Shrier, autrice du livre "Irreversible damage : the transgender craze seducing our daughters", ce phénomène ne serait rien de plus « qu'une hystérie contemporaine similaire aux auto-diagnostics de boulimie ou d'anorexie, qui cachent souvent des problèmes de santé mentale sérieux comme la dépression ou l'anxiété. »"



Mon pitch

Je trouve particulièrement indigne que les institutions et psys les poussent à trouver une solution à leur anxiété, à leur inadéquation à notre société, dans un changement de sexe. Qu'ils leur demandent au moins d'attendre l'âge adulte et mûr.

Que notre société occidentale soit devenue folle n'est pas l'explication qui aidera les familles déchirées, en souffrance, ceux dont les témoignages abondent sur le net en anglais.

Je ne peux aider personne. Nos psys ont déjà peu d'armes pour aider les anorexiques (cas familial, on connaît de près). Que peuvent-ils offrir pour aider les ados border-line tentées par l'idéologie transgenre? J'y suis attentive car à 15 ans, en 1970, ado borderline et androgyne, HPI non diagnostiquée, je serais tombée dans leurs rêts aussi.


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