31.7.2023 Une anecdote , se déroulant aux States, illustre à quelques années d'écart ce que nous, en Europe, risquons de voir arriver dans les écoles. Lu en commentaire sur YT chez Joe Rogan, et traduit par mes soins. Des enseignants en font trop rayon transgenrisme.
Une hirondelle ne fait pas le printemps, une anecdote ne fait pas sociologie, mais ce genre de témoignage se lit par milliers sur le net, en anglophonie. La dérive est d'autant plus facile qu'inconsciemment, l'éducation ne se limite plus à l'instruction, les écoles se croient avoir autorité totale sur l'intimité des enfants. Cela arrive chez nous aussi, eh oui.
La maman internaute:
"Ma fille autiste qui est maintenant en 8e grade (NB TL +- 13 ans) a toujours fréquenté des classes ordinaires. En sixième grade, j'ai reçu un appel de l'école : son professeur, son assistant et le psychologue de l'école. Ma fille avait dit qu'elle voulait s'appeler Alex et être considérée comme un garçon. Le personnel de l'école était très excité et ne cessait de parler des documents que je devais remplir pour changer légalement le nom de ma fille, d'une réunion à organiser avec le personnel de l'école pour que tout le monde soit au courant et s'adresse à elle correctement, etc. Pendant qu'ils discutaient entre eux, je suis restée bouche bée.
Heureusement, je suis sortie de mon état de choc et j'ai pu dire avec force, à plusieurs reprises, "Stop". Il s'agit d'un enfant autiste qui, la semaine dernière encore, voulait être un chat. J'ai insisté pour qu'on me permette de parler à mon enfant avant que quiconque n'envisage de faire quoi que ce soit. Après avoir parlé avec ma fille, il s'est révélé qu'elle n'aimait pas avoir ses règles et pensait que si elle était un garçon, cela cesserait. Avec un gynécologue, nous avons décidé de lui administrer (un traitement) et ma fille est une fille heureuse qui n'a plus jamais parlé d'être un garçon.
C'est fou que tant d'adultes soient prêts à sauter dans le train en marche au lieu d'aller à la racine de ce qu'un enfant pense ou vit réellement."
C'est ce genre de situations qui arrive couramment en Grande Bretagne et aux States qu'il faut garder à l'esprit. La vigilance des parents est de mise.