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Ceci n'est pas de l'éducation, c'est de la propagande pour un délire théorique (transgenre)

9.7.2023 Analyse du dossier ad hoc du site Santé publique France: j'y commente non l'éducation sexuelle en soi, mais le fait de prôner l'idéologie du genre

Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket et je nourris un dossier critique face à l'accueil d'une mouvance à surveiller come le lait sur le feu: le transgenrisme, répandu aux States, qui commence chez nous. Ceci est un sous-chapitre de "Ce que les GAFAM font à l'homme". Titre temporaire: "Leave the kids alone" (ou Ce que le transgenrisme fait à nos sociétés)

Analyse du dossier ad hoc du site Santé publique France: j'y commente non l'éducation sexuelle en soi, très proche du guide Evras belge, mais le fait de prôner l'idéologie du genre chez nos jeunes. Idéologie et non théorie, ce que j'illustrerai dans le chapitre "Les trans sont des machos comme les autres"

Sur cette page du site Santé publique FR je défie quiconque du domaine de la pédagogie de me démontrer qu'il s'agit d'éducation. Ceci est de la propagande pour faire accepter l'identité de genre, cettte dérive sectaire et intolérante.

 

 

Sur ce site officiel (!) français, on retrouve les approximations sémantiques du mouvement transactiviste: les trans sont définis autour du transgenrisme. Pas un mot sur la dysphorie de genre réelle et la transsexualité qui en découle.  Puis-je rappeler aux technocrates qui sont aux manettes que la "théorie" du genre est fondée sur du sable (et sur une étude par le dr Money dans les années '60, étude répugnante par sa brutalité et sa non-éthique). Les genres n'existent pas, les sexes bien (mâle, femelle, hermaphrodite/intersexe à la rigueur). Dans un corps masculin, on peut ressentir des tendances qui sont généralement attribuées au féminin, et vice-versa. C'est de la psychologie de base.

Dix pour-cent des hommes et des femmes ont des schémas mentaux qui correspondent au sexe opposé, selon les études de Jordan Peterson. Parmi ceux-là, une rare proportion en fait une véritable maladie psychologique, qui s'appelle dysphorie de genre. Douloureuse au point que la solution est de s'incarner dans une apparence différente, par la posture, le choix de vêtements, la prise d'hormones:  c'est ce que choisissent les transsexuels qui gardent pour la majorité leurs organes sexuels d'origine. Voir le cas du merveilleux Buck Angel. Ce changement se fait d'habitude à l'âge adulte.

Tout le discours autour du genre est biaisé par une théorie de base sans fondement, mais propagée pour diverses raisons par les institutions. Raisons que j'explorerai plus avant dans la suite du dossier (chapitre 2). Aucune ne permet que vos enfants soient entrainés dans cette folie.

Extrait du site:

"Se définir, c’est aussi beaucoup expliquer. Les mots que tu choisiras pour parler de toi et de tes expériences t’aideront à te raconter. Certains sont assez courants, comme ceux qui concernent l’orientation sexuelle : gay, lesbienne, bi, hétéro, par exemple. D’autres commencent à l’être un peu plus, comme ceux qui sont liés à l’identité de genre : cis, trans, non-binaire... Et enfin certains relativement récents et peu connus : aro (aromantique), ace (asexuel) et bien d’autres.  On te posera sûrement des questions et tu devras probablement expliquer. À tes parents, ta famille, certains de tes potes, de tes profs... Ça peut te paraître fatiguant et te donner l’impression de ne pas être compris-e."

Ceci n'est pas de l'éducation, c'est de la propagande pour un délire . Les multiples genres n'existent pas, c'est une concoction intellectuelle par des universitaires fatigués. Trans n'est même pas défini sur ce site: transsexuel ou transgenre?

LGBTetc: Lesbienne existe, Gay existe, Bisexuel existe (ont existé de tout temps ceux qui aiment les deux sexes), depuis les miracles de la chirurgie Transsexuel existe.

Pour le reste de LGBTQIA+, soit le lobby de l'alphabet, on voit bien qu'il s'agit d'une fabrication tout à fait artificielle, ce qui sent son agence de relations publiques à plein nez: que vient faire le Q de queer ici? Queer signale une minorité parmi les choix sexuels, c'est donc un doublon de L G ou B. Intersexe est encore plus bizarre, puisque le terme indique des hermaphrodites de naissance, qui ne sont pas trans puisqu'ils ont les deux sexes. Quelles revendications syndicales peuvent bien avoir les hermaphrodites?

Asexuel existe bien, qui désigne une personne sans pulsion sexuelle. Mais ces derniers ne fréquentent jamais les mêmes cercles que L et G, qu'ont-ils à faire dans cette tribu? Comme le dit en riant Douglas Murray, homo notoire, il est impensable qu'un asexuel se pointe dans un bar gay, endroit hyperchargé en hormones: "on ne fait vraiment pas partie du même monde, on n'a rien à se dire".

Inutile de gloser sur le "+" en fin de sigle: ceci veut vraiment dire que le mouvement regroupe tout et son contraire. On prévoit déjà d'y rajouter pédophiles et zoophiles?

Il est amusant que chacun puisse revendiquer une place dans une telle diversité. Ce qui chiffonne: la formalisation artificielle en sigle, la récupération par des lobbies.

Pour revenir au site Santepublique.fr, n'est-il pas scandaleux que les lobbies transgenres se soient infiltrés jusque dans les hautes instances sanitaires de l'Etat? Qu'en est-il en Belgique et en Suisse?

N'est-il pas déviant que le gouvernement et l'OMS qui édicte ces consignes se mêlent désormais de l'intime? Santé publique est responsable d'informer le citoyen sur la santé des citoyens, il pourrait à la limite éduquer les parents à comprendre une société en changement. L'intime est du ressort des familles, et non des enseignants. C'est à mettre en regard ce qu'on sait de l'instruction et que j'apprends par mon beau-fils, actif dans le secondaire en FR: nombreux sont les ados qui lisent à 12 ans avec difficulté. Il y a mieux à faire question instruction, non?

Je rédige mes billets en connaissant les arguments des transgenres et des cryptopédophiles, j'y réponds toujours indirectement. Aucun de leurs arguments ne tient la route, il faut les saper à la base: théorie genre = zéro pointé; sexualité des enfants= n'existe pas; consentement mineur n'existe pas; intimité = du ressort des parents.

L'idéologie transgenre n'a rien à faire sur des sites officiels ou dans des institutions.

J'apprendrai probablement plus au fur et à mesure que j'investigue ce dossier, nouveau pour moi. Le concept ne l'est pas, car depuis mon enfance je navigue entre deux identifications, souvent animus parfois anima. Je m'exprime sur fond d'un respect total pour les bizarreries de l'humain. J'ai longtemps rêvé au moment où notre société accepterait que des femmes biologiques aient des comportements sociaux généralement attribués au masculin, que les stéréotypes s'estompent un peu, maintenant que la bataille pour les droits égaux est terminée ou quasi. Je n'ai jamais rêvé qu'on profite de ces bonnes intentions de diversité et de tolérance, pour endoctriner les enfants à accepter de la non-science, pour instiller des polémiques et des déchirementss au sein des familles. Je conterai (en anonyme, selon leur désir) l'histoire de familles belges dont un enfant a été happé par le narratif trans à l'adolescence, familles qui en sont sorties déchirées.

 

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