18.7.2023 Après la victimisation, le narcissime extrême est un des trois autres éléments qui caractérisent les transidentitaires.
Lu chez Douglas Murray, auteur de "La grande déraison: Race, genre, identité", superbe essai sur le sujet :
"Rappel aux amateurs de la Journée des personnes non binaires: le terme "non binaire" ne signifie rien.
Il s'agit d'une invention récente de personnes qui veulent s'identifier comme "regardez-moi". C'est tout."
@DouglasKMurray défend la cause homo face aux délires transgenres, tout comme, en tant que personne sans identification sexuelle précise, je défends la liberté du vivant de ne pas s'enfermer dans des identités mortifères. Que ce subtil auteur soit de droite ne dérange pas une anarchiste de gauche.
Le livre existe en français, mais je préfère cette couverture.
J'ai adoré son livre, que je consulte encore parfois tant il est riche et fin dans ses analyses. Il écrit dans le NY Times, le Sun, le Spectator - tous sur abonnement. Snif.
J'illustre avec une image critique: "vous ne me persuaderez jamais que des gens qui se montrent ainsi veulent qu'on les laisse tranquilles." Contexte: parmi les innombrables refrains des trans (les jeunes piégés et les gourous sur la photo) : "on nous critique, on nous en veut, on nous fait des remarques..." En gros, nous sommes victimes, vous êtes tous méchants, laissez-nous en paix.
Par parenthèses, les seuls endroits où les trans sont vraiment victimes d'agression sont les cités. Mais le reconnaître mettrait à mal l'idéologie wokiste, qui refuse de voir le réel. Encore un exemple du serpent qui se mord la queue dans cette secte?