11.7.2023 L'analyse du délire transgenre/woke est un sujet passionnant pour qui veut comprendre le monde qui tourbillonne pour l'instant.
L'analyse du délire transgenre/woke est un sujet passionnant pour qui veut comprendre le monde qui tourbillonne pour l'instant. Il se calmera, ne craignez rien. C'est un tourbillon passager, bien malaisant, mais ça passera.
Transgenrisme et wokisme rejoignent la propagande climat, qui n'est pas écolo; la crise covid, qui n'avait rien de sanitaire; le scandale des pseudovaccins qui n'ont jamais été conçus pour protéger; bref tous les domaines qu'on peut analyser selon plusieurs points de vue.
Primo, selon l'hallucination collective qui a touché nos sociétés occidentales, devenues folles comme l'avait prédit Bernard Stiegler, analyste fin et chirurgical des dérives technologiques. Billets à venir.
Hallucination collective qui s'est franchement manifestée en temps covid et qui a été magistralement documentée par Mattias Desmet.
Secundo, selon la confusion de légitimité. Il est légitime de se préoccuper de la course effrenée vers le progrès, des dépenses énergétiques sans frein, du piétinement et de la marchandisation du vivant. C'est ce que nous, écolos authentiques, défendons depuis longtemps. Sur la base de ces questions légitimes, le climatisme a transformé le discours en "c'est le CO2 qu'il faut cibler".
Il est légitime de s'inquiéter de la santé de ses proches. La crise covid a tordu le réel pour nous enfermer dans une peur panique de tuer notre mère grand.
Il est légitime d'exiger le respect des minorités: blacks, beurs, blancs bizarres, homos, dysphoriques, etc. La propagande militante trans et identitaire (black et consorts) qui sévit depuis quelques années n'a plus rien à voir avec ces souhaits légitimes. Les militants sont brutaux, exclusifs (alors qu'on rêvait d'inclusion), autoritaires quasi totalitaires, alors qu'on rêvait respect et liberté d'expression de soi. Les corps intermédiaires sont perdus: on autorise de piètres nageurs masculins à concourir contre des femmes et leur donner la chance d'une première place. Sous le prétexte qu'ils seraient des femmes. Aux States, on autorise désormais n'importe quel mâle qui s'identifie à une femme à être emprisonné chez les femmes. Viols en cascade, les medias se taisent. On va vers d'autres dérives. Il est temps de chanter haut et fort: c'est du délire, arrêtez!
Tertio, on peut analyser ces désordres d'une société qui a perdu les pédales comme s'ils étaient nourris par en haut, par des think tanks qui, ayant capté la faille, veulent s'y engouffrer pour faire passer leur agenda mondialiste: effacer la notion de frontières, de territoire (personnel, corporel ou national), faire oublier le sacré de l'humain et de la gestation, nier les différences biologiques pour qu'enfin l'on adhère tous au transhumanisme. L'humain n'est plus qu'un objet, qu'on peut vendre, déplacer, modeler... L'idéologie transhumaniste doublée de l'appât du gain.
En quoi la victimisation est un cheval de Troie de cet agenda? Si le jeune est convaincu qu'il est une victime, il n'aura aucune envie d'agir, de ré-agir. Parfait, le diable se frotte les mains: pas d'action véritable (se coller aux parpaings est du cinéma, ce n'est pas actif), pas de recherche, pas de création, pas d'avenir.
Et enfin, on retrouve la valorisation des passions tristes...
Ceci n'est qu'un premier jet, pour expliciter en quoi la série transgenre/wokisme a tout son sens dans mes analyses plus globales. On y retrouve mensonges, manipulations, agenda 2030, édiles corrompus, silence des media.
Je n'ai rien contre les transsexuels, étant assez fluide moi-même rayon identité. Je n'ai rien contre les transgenres, qui sont victimes de propagande biaisée, jouant sur leur désespoir cosmique d'enfants gâtés. Je m'en prends au mouvement transgenre en général, qui est d'une brutalité prosélyte extrême.
Commentaire d'une jeune trentenaire, sur le net, pourtant tendance punk, Bruxelles: "Heureuse de te voir aborder le sujet du transgenrisme! Je constate chaque jour un peu plus les dérives de cette mode. Et je ne compte plus les mecs et les filles autour de moi qui demandent qu'on les appelle par le pronom opposé à celui de leur sexe "attribué à la naissance", la plupart le font sans réflexion profonde, se disent "genderfluid" et "déconstruits". Au secours, c'est vraiment une énorme farce et y'a peu de gens qui en sont conscients "