Autour du cancer (avant, pendant, après), pourquoi j'insiste sur l'assiette ancestrale?
7.3.2025 Pas un jour ne se passe qu'une équipe de scientifiques découvre les propriétés anticancer (in vitro) de tel ou tel composé - souvent présent dans des aliments ou des herbes traditionnelles. Faut-il en consommer sous forme de complément ou dans une assiette saine à base de nourritures vraies?
Aujourd'hui, je glose sur le cas de la sulfurétine, annoncée dans un article vu sur le groupe privé "Off Label Drugs for Cancer" (sur les molécules repositionnées et autres alternatives en traitement du cancer, groupe très pro-synthèse). Or a sulfurétine est un composé antioxydant extrait de l'écorce de de Rhus verniciflua , utilisé comme plante médicinale traditionnelle dans les pays d'Asie de l'Est.
Source: https://scitechdaily.com/scientists-discover-natural-compound-that-stops-cancer-progression
Prenez le temps de lire l'article ci-joint si ça vous chante, mais je ne l'ai utilisé que pour illustration (la photo est trop prenante): j'en ai mille à vous partager, tous plus pointillistes les uns que les autres. On s'y perdrait !
On a donc le choix:
* soit se complémenter avec ECH, curcuma en poudre, resvératrol à haute dose, sulfurétine, artémisime, etc.
*soit faire confiance au totum et à la synergie d'une assiette ressourçante, à base de nourritures vraies - ces aliments qui sont encore garantis apporter tous les principes actifs et micronutriments utiles; assiette consommée dans un quotidien entrecoupé de courtes cures de drainage (une monodiète par semaine, par exemple). On complète cette assiette par une série de tisanes bien choisies.
Totum: ensemble des principes actifs.
Synergie: l'action conjointe de principes actifs A et B, qui ne se manifeste pas quand on ne consomme que A ou que B.
Ni le totum ni la synergie ne peuvent être étudiés par notre science actuelle, qui se concentre sur des morceaux du vivant. Dont acte avec la sulfuretine.
En support à ce que j'avance ici, voir par exemple une étude sur l'impact de thés divers sur des victimes de glioblastomes -> https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC5809810 . Savoir qu'en général la survie est d'un an max' dans ce cas de tumeur très agressive au cerveau, malgré les traitements. Or, cette étude sur 5 participants seulement, où des tisanes ont été données en complément, montre que 4 d'entre eux ont dépassé le seuil des 48 mois. Si l'on voulait chercher, on trouverait peut être quantité d'autres études dans le même ton.