Le cancer est-il une malédiction génétique ou une défaillance du système immunitaire?
2.4.2025 Introduction à une entrevue avec le docteur Patrick Soon-Shiong, chirurgien oncologue, pour qui le cancer naît quand le système immunitaire perd les pédales. Aussi un extrait: "Comment tester la présence d'injection ARNm dans le sang?"
Introduction à une entrevue avec le docteur Patrick Soon-Shiong, chirurgien oncologue, pour qui le cancer naît quand le système immunitaire perd les pédales. Il commercialise un Bioshield (BioProtecteur), médicament qui redonne au corps la capacité à produire des cellules T (défense contre le cancer).
Depuis plus de cinquante ans, l'oncologie conventionnelle traite le cancer selon la doxa "théorie somatique": c'est un gène qui débloque. Vers 2000 est apparue la branche immunothérapie, réputée révolutionnaire, car on envisageait enfin la maladie comme un dérèglement immunitaire - mais les médicaments générés n'ont pas produit les miracles prévus. Serait-ce qu'on n'a pas envisagé ce qui, précisément, dérive?
J'ai approché le cancer par la méthode Kousmine, juste après ma propre opération d'une tumeur au côlon en 1994. Pour la doctoresse Kousmine, le cancer était la marque d'un système immunitaire devenu fou. Ce n'est que quelques années après que j'ai suivi la piste somatique, "mainstream". Entre les deux, mon coeur n'a pas balancé longtemps: Kousmine guérissait une majorité de patients (de cancers, de scléroses en plaque, etc.), tout comme les oncoclinqiues allemandes alternatives qui se basent sur les mêmes présupposés - alors que les traitements conventionnels en cancérologie sont connus comme "à efficacité aléatoire".
Amateur d'efficacité, j'ai donc opté pour l'hypothèse Kousmine dès '94 et j'ai dorloté mon système immunitaire. Du mieux que j'ai pu, vu l'état dans lequel il se trouvait 😉
Je suis toujours là, malgré qu'à l'époque, l'oncologue avait enjoint mon compagnon de ne plus faire de projets moyen ou long terme avec moi. Serait-ce parce que j'ai suivi la bonne piste, pour moi, à ce moment-là, càd la piste immunitaire?
Comme une provocation souriante, Soon-Shiong nomme son approche "oncothérapeutique quantique" (les astrophysiciens détestent qu'on s'approprie le "quantique", il le sait bien...). Il analyse même les intrications quantiques (quantum entanglement) lors des traitements cancer, j'y reviendrai avec ma propre analyse.
Il a choisi le terme "quantique" pour qualifier ce que nous, profanes de l'altersanté, nommons le pléomorphisme à la Béchamp (certains micro-organismes peuvent modifier leur morphologie et leurs fonctions biologiques en réponse aux conditions environnementales ): selon lui, des cellules tueuses naturelles (lymphocytes NK - "natural killer cells"), la première ligne de défense de l'organisme, peuvent transmuter en "suppressor cells", ces cellules qui, en gros, modèrent le système immunitaire pour qu'il ne s'emballe pas. Leur défaut: parfois, elles bloquent les NK et permettent aux cellules cancéreuses de ne pas être repérées par le système immunitaire. Cette transmutation peut survenir lorsque l'inflammation se chronicise, à la faveur de diverses toxicités issues de notre modernité galopante et aveugle.
Lors de vos recherches autour des traitements, choisissez bien votre mouvance , car les traitements et leur efficacité en dépendent.
Ecoutez le petit test que notre médecin/inventeur/businessman du jour propose, qui illustre oh combien la médecine est enfermée dans une doxa figée. J'ai capté avec sous-titres français, à partir de https://youtu.be/mgZaT-OriO8?t=4280
Entrevue originale: "Dr. Patrick Soon-Shiong: You’re Being Lied to About Cancer, How It’s Caused, and How to Stop It" = https://www.youtube.com/watch?v=mgZaT-OriO8.
A n'écouter en entier qu'un jour de force intérieure, car si ce que Soon-Shiong suppose est vrai, la perspective d'une épidémie d'infections telle qu'il la prévoit chez les jeunes entre autres peut faire entrer dans un cycle de peur, mauvaise conseillère.
Chapters: 0:00 Why Are Cancer Rates Rising in Young People? 6:16 What Is Causing This Cancer Epidemic? 14:52 Is There a Connection Between Covid and Cancer? 25:33 Why Dr. Soon-Shiong Never Got Covid 39:36 How Big Pharma Tried to Undermine Dr. Soon-Shiong 47:35 Dr. Soon-Shiong’s Analysis of RFK Jr. 1:02:47 The Healthcare Industry’s Conflict of Interest 1:05:51 How to Strengthen Your Immune System 1:10:32 What Your Doctor Won’t Tell You About How to Fight Cancer 1:20:58 Why Hasn’t Anyone Faced Consequences for These Crimes? 1:33:59 Why Dr. Soon-Shiong Bought the LA Times
Comment tester la présence d'injection ARNm dans le sang?
Passage très intéressant dans l'entrevue du billet précédent de Patrick Soon-Shiong, chez Tucker Carlson - tout au moins pour mes besoins personnels* .
Je cherche depuis un an comment tester si le sang contient une trace de vax covid. On peut tester la présence de la spike S1, test qu'un labo allemand annonce mais qui ne paraît toujours pas dispo. Soon-Shiong suggère de tester les anticorps protéine M
Transcription traduite (+- 1h29):
"Le virus de covid contient trois antigènes: une pointe (la spike), une nucléocapside et une chose appelée la protéine M. Lorsque vous effectuez un test sanguin, vous pouvez voir si vous avez la protéine M. Si vous avez des anticorps de cellules T contre les protéines M, cela signifie qu'elles proviennent du virus. Si vous n'avez pas de protéine M, c'est qu'elle provient d'une autre source, peut-être du vaccin."
* Besoins personnels: je suis convaincue - disons "tout porte à croire" - que l'injection expérimentale est contaminante, comme l'étaient souvent les vaccins ancienne mouture. Pendant deux ans et demi, j'ai vécu des effets secondaires dévastateurs très proches de ce que peut produire une thérapie génique ARNm, alors que je refuse tout vaccin depuis longtemps (pour des raisons de politique de santé: je suis maître de mon corps, merci de vous préoccuper de vos oignons et pas des miens).
Il faut chanter sur tous les toits que cette contamination aérienne et épidermique est possible (mon chapitre "shedding" dans le dossier ad hoc
En effet, le complexe pharma veut faire passer tous les vaccins en mode ARNm (humains ou animaux): plus personne ne sera à l'abri, ma parole!
Ne pas confondre shedding et contagion par un variant de virus
Je profite de cette occasion pour une précision à propos de ce phénomène, et ce à partir de deux réactions lues sur le net:
"J'ai été "grippee" 2 fois après avoir été en contact prolongé avec des vax. ( exemple : sports d'hiver 2023 en petit appartement. 5 vax et 3 non vax. Les 3 non vax ont été fiévreux avec toux."
et une autre: "Y a t il un lien avec le shedding Mon covid à moi m'a mis sur les genoux durant 7 semaines alors que je ne suis plus vaccinée depuis plus de 20 ans aussi et que je n'avais plus fait de grippe depuis une dizaine d'années".
Le shedding, alias la contamination vax ou excrétion, n'est pas la contagion d'un variant par un vacciné, ce qui peut produire une vilaine grippe ou un vilain rhume.
Le shedding est le transfert entre humains du contenu de l'injection génique, qui marquera éventuellement des effets secondaires de type post-vax, à moyen et long terme: urticaires, maladies autoimmunes, troubles neurologiques, etc. Dans mon cas ce fut majoritairement une inflammation des artères aux épaules et aux hanches, qui paralysait les muscles + d'autres bricoles casse-pieds mais moins invalidantes. Le shedding est donc de la vaccination non souhaitée.
Le nom français du shedding est celui que Pfizer même utilise dans sa documentation: "transmission environnementale". Shedding est devenu le terme courant.
Le shedding est documenté pour les anciens vax à virus atténué, mais nous sommes en zone floue pour ces récentes injections. J'ai réuni de la doc dans le dossier signalé ci-dessus. J'y ai repris la recherche d'Hélène Banoun (alias Minotte Degun sur fb) quant à la plausibilité de contamination. Chercher sur la page https://www.taty.be/articles/CVD_vaccingetorix.html#shed
J'ai aussi relayé en septembre 2022 les dépiautages de statistiques d'Hervé Seligmann, chercheur biomédical, ex IHU de Marseille, qui est le seul autre chercheur à s'intéresser au shedding: https://www.taty.be/articles/CVD_sheddingkids.html.
Nexus publie une récente vidéo sur son travail à ce jour (1/2/2025, disponible aussi sur YT). Je ne relaye pourtant plus ce formidable chercheur, car ses hypothèses entrent en contraste avec l'observation du réel, chez des médecins comme le dr Kory et Midwestern doctor (une équipe en fait, anonyme), ou des médecins belges de ma connaissance: ce sont les non-vax qui se plaignent des EI typiques du vax, là où Seligmann prétend que le shedding se manifeste de vax à vax. Si vous souhaitez suivre son travail, il a une chaîne bitchute: https://www.bitchute.com/channel/t9YbK81tG4ZP
Contraste: cela risque donc d'induire de la confusion dans le grand public qui, de toute évidence, confond déjà le shedding avec la contagion d'un variant. Or, il faut marteler une chose et une seule: ces injections sont contaminantes, plus personne n'est libre de choisir de se faire vacciner ou non.