9.9.2022 Je me lance dans un début de dossier sur le shedding vaccinal : il s'agit de l'excrétion du vaccin par les vaccinés, qui vaccinent ainsi sans le vouloir les personnes qui ont choisi d'être non-vax.
Nouveaux arrivants : ce blog me sert de stock à fiches de travail ; les billets sont à lire comme tels. J’ai réuni ici quelques billets vk, ce sont mes premiers jets d’écriture.
Ceci est plus qu’une page du blog, c’est un chapitre entier, très long à lire.
Le shedding: un quidam vax peut transmettre un virus vaccinal à une personne non vaccinée. Ce mécanisme est reconnu dans les études, pour certains types de vaccins à virus vivant. En matière de « vaccins » covid, il s'agit de l'excrétion du vaccin par les frais vaccinés. Ils contaminent en relâchant sur un autre humain, par la sueur (?) les baisers (?), la respiration ( ?) la spike, l'ARN ou des nanoparticules. Le mécanisme est encore flou, ce qui n’est pas surprenant puisque TOUT le reste est flou dans cette thérapie génique expérimentale. Les bricolages autour des ces pseudovaccins sont tels que la meilleure volonté ne peut PLUS avoir confiance dans nos chercheurs. Où va cet ARNm vaccinal? Durée de vie? Inclusion possible dans l'ADN? Vie pour la spike? Du travail d'amateur, sans vrai contrôle. En matière de shedding/excrétion, je ne m'attends pas à avoir des réponses définitives des biologistes des labos vax. Sur ce thème-là, ils seront aussi flous que sur le reste. Bien sûr la spike est une protéine et non un virus. Mais qui sait ce qui se passe dans les systèmes dynamiques complexes que sont nos corps? Qui sait les mutations qui surviennent? La spike n'est pas transmise telle quelle, si ça s'avère, mais bien encapsulée dans des nanoparticules.
Ne pas confondre le shedding ou la transmission du vaccin avec la contagion du virus. On parle alors d'excrétion du virus (virus shedding). La transmission covid par vaccinés est avérée chez les vaccinés – et même chiffrée : ils sont deux à quatre fois plus contaminants que les nonvax. Le lot des vaccinés : j'en connais qui ont autant de gros covids que de doses de vaccin.
Nous nous intéressons ici à la transmission de la spike artificielle contenue dans le vaccin "ARNm spike shedding".
NB. 11.11.22 Hélène Banoun @BanounHelene vient de publier un article scientifique qui expose la plausibilité du phénomène: "Shedding vaccinal: État actuel des connaissances sur l'excrétion de l'ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19 ; possibilité de contamination de l'entourage des personnes vaccinées par ces produits"
La version grand public est La contamination par les vaccins à ARNm est-elle biologiquement plausible à partir d’un sujet vacciné ?
NB 29.9.22 J'ai aussi publié un relais de vidéo où le chercheur israelien Hervé Seligmann expose son hypothèse "Shedding vaccinal: le cas des enfants?" fondée sur des analyses statistiques reproduites par un collègue américain: en 2021, en particulier, les vagues de vaccination d'adultes dans 23 pays sont suivies par des vagues de décès infantiles hors normes.
Les raisons de ma recherche sont personnelles.
Depuis mi-2021, je vis une infernale PPR (artérite/bursite dans les épaules et les hanches, parfois les genoux - si ça c'est pas une atteinte endothéliale...), qui est survenue sans prévenir, sans faiblesse préalable, sans choc majeur. Je suis assez familière des maladies graves pour savoir que ce ne sont jamais des coups de tonnerre dans un ciel bleu, qui surviendraient comme un accident de la route, par exemple. Il faut des atteintes à l’hygiène de vie, une forme de sciage de la branche sur laquelle on est assis, pour qu’une maladie dégénérative se manifeste. Or, ce qui a surgi à l'été 2021 a été très soudain, sans prémices. Je peux comparer ce que je vis avec ce que j’ai vécu lors d’autres maladies invalidantes: hépatite, epstein-barr, cancer du côlon, rectocolite ulcérohémorragique, encéphalopathie myalgique. J'oublie au passage les petits bobos quotidiens que j'égrène depuis ma naissance, qui m’autorisent à me déclarer « malade professionnelle », sourire en coin.
Vu que c'est une atteinte endothéliale (c'est un artérite - rien dans mon historique perso, rien dans mon génogramme), on pense franchement à misteur spike. Certes, j'ai eu ce que je crois avoir été le covid première variante, en février 2020. J’en suis sortie en cinq jours, sans médicament mais avec mes techniques naturo extrêmes (avec une frousse du diable – même la tumeur de 92 à 94 ne m’a pas terrorisée à ce point, bizarre). Ce n'est donc pas un "covid long".
Si la PPR était une maladie autoimmune apparue à l’occasion d’un vieillissement accéléré (je n’ai que 67 ans, voyons), les cures que je pratique habituellement auraient été efficaces, car elles sont souveraines pour calmer le désordre profond. J'ai fait à plusieurs reprises deux de mes cures (dont un jeûne) sans aucun effet positif (ni négatif).
Si c'était une contamination de spike, cela aurait été passager car je pratique aussi des techniques de drainage très efficaces en cas d'intoxication.
Depuis la fin 2022, je penche donc, en compagnie de mon médecin traitant, pour un shedding d'ARNm, car primo la PPR est un effet secondaire classique de ce vaccin; et secundo, l'inflammation persiste quoique je fasse (atténuée avec corticoides et antibios + acupressure, mais réapparaît en force si je diminue les doses). Tout porte à croire que j'ai une usine à spike dans l'organisme. Or, étant prédiabétique depuis ma jeunesse, je pense avoir un profil à récepteur ACE2 fragiles. La spike produite en boucle par le vaccin n'est donc pas mon amie. Disons-le en français de profane: j'ai l'impression qu'un petit soldat est réfugié au plus profond de mon corps et que, chaque fois que j'essaie une nouvelle technique, un nouveau traitement (hors corticoïdes et antibios, ma bithérapie depuis de longs mois), il relance les bombardements intensifs. Cela ressemble à ce logiciel fou de Pfizer, qui produit de la spike en boucle si j'ai bien compris. Discuté hier avec une amie de mon âge aussi en PPR (déclenchée après vaccin chez elle), qui a sauté de joie avec l'image du petit soldat: "c'est exactement ça!"
Je pense déjà aux contradictions possibles, ce qui m’est facile puisque nous sommes dix à habiter dans mon cerveau: si le shedding est possible, pourquoi toi-même n'as-tu pas contaminé tes proches depuis un an que tu en es victime? Mon soupçon: mes tout proches, ceux que je touche à qui mieux mieux, ne sont pas des profils de prédiabétiques comme moi, ils ont de bels et bons récepteurs ACE2.
Sur un plan moins physico-matérialiste, je vis depuis toujours un effet collatéral de mes talents de medium -- méfiez-vous, je lis dans les pensées! vrai, en plus ;) --, cet effet secondaire étant que je prends facilement les humeurs de mes contacts, mais aussi... leurs petits bobos. J'ai une empathie extrême au point que si un ami me décrit ses remontées d'acide, le lendemain, j'en vis les symptômes.
NB avril 2023. Je suis seule dans ma cohorte, et je n'ai pas de personne extérieure pour noter toutes les variables. Ceci étant posé, depuis deux mois que j'ai enfin accepté que ce shedding était possible, et que j'évite les contacts épidermiques avec les vaccinés, j'ai pu arrêter les médications, je remarche quasi normalement.
Je ne me prends pas pour le énième profane qui se la joue décodeur d'études, je le répète. Je note les sources qui me permettent d'émettre l'hypothèse que je serais victime de shedding vaccinal. Depuis que j'en parle, j'ai entendu nombre de témoignages de personnes qui le soupçonnent aussi.
Ma demande d’une confirmation par des pros est motivée par une autre raison: peu me chaut personnellement qu'on ne me suive pas, qu'on ne me croie pas. En revanche, je pense aux autres potentielles victimes qui seraient moins des têtes de mule que moi et qui seraient moralement plus fragiles face aux jugements à l'emporte-pièce "tu dis n'importe quoi".
Merci à @BanounHelene qui nous a donné des pistes valides pour évaluer cette possible contamination par vacciné. Il est vain pour des profanes de rechercher sur le net sans avoir un pro qui filtre le bon grain du givré...
Je tiens un carnet de route de mes recherches en santé (NB octobre : dont on trouvera les derniers billets sur le possible shedding à partir d'ici de la page 19 ). Je ne suis pas la seule à vivre les possibles effets de ce qu'on appelle le shedding ou la contamination vaccinale. D'autres personnes ont vu apparaître des symptômes tout à fait nouveaux, bien différents du simple effet d'un stress (après le confinement et le cirque corona, on aurait compris).
Il n'est pas fantaisiste d'imaginer que l'on puisse être contaminé par la protéine spike produite en grandes quantités par les vaccinés, par l'ARNm, ou par des nanoparticules lipidiques. Je ne signale pas la contamination de graphène, suggérée par certains, car je ne connais pas de chercheur sérieux qui ait soulevé cette piste. Astrid S, ex-"experte OMS", qui le suggère n'est pas chercheur et me semble depuis le début un cas psy, très convaincant, mais totalement perché.
Pour l'anecdote, j'ai fait faire une analyse sur sang vivant par un spécialiste belge qui s'y connaît vraiment, à l'automne 2021. Si du graphène ou des formes bizarres avaient été présents dans mon sang, transmis par contamination vaccinale, on les aurait vus. Or: que pouic.
Je n'embraye d'ailleurs pas sur les thèses des complotistes francs comme JJC, selon qui le vaccin est une arme biologique destinée à réduire la population. Les complotistes "francs" comme je les appelle sont tout aussi victimes d'hypnose et d'une formation de masse que les covidocroyants. Ils n'entendent même pas ma réponse pourtant simple: "pourquoi vouloir réduire une population occidentale, qui est déjà en dénatalité franche?".
Je me dois de citer ces sources, car une recherche sur l'excrétion vaccinale nous amène souvent chez eux. Soyons prudents. Quelqu'un qui arrive à faire preuve d'aussi peu de logique et de rationnel ne me donne pas envie de le suivre...
C'est un comble d'avoir choisi de lutter contre la vaccination obligatoire pour se faire vacciner par ami interposé. Amis que je n'embrasse plus et que je ne touche plus (!) avant de découvrir s'ils sont ou non fraîchement vaccinés ou boostés. Je leur donnais 28 jours de délai après le vaccin - si les Nippons ont raison ce serait 50 jours?
NB avril 2023. Après de longs tests documentés, je suis contaminée à chaque contact épidermique avec un vacciné, même si sa dernière dose date d'un an auparavant.
Je ne veux pas culpabiliser mes copains, alors je tourne la tête ou je prétexte un rhume pour éviter les bises... Quand on me demande d'où vient ma PPR, je leur réponds "je te dirai dans un an, quand tout sera calmé" (tu parles! ce sera dans dix ans).
N’est-ce pas désolant d’en arriver à choisir de ne plus toucher des vaccinés, même s'ils ont passé le délai de 28 jours après la fléchette. J'ai pris ma leçon depuis mes "400 jours d'enfer avec le shedding". Je mélange dans ce titre la formule de Tatiana Ventôse, qui se la jouait drama queen avec une vidéo "dans l'enfer du corona" - et celle de Michel Onfray, une autre drama queen dans ses "500 heures sous covid" (qui ressemblait à tout sauf à un covid...). Je n’ai nulle envie de recommencer un tour dans les montagnes russes.
Chez les pros qui acceptent l’éventualité du shedding vaccinal ARNm, l’hésitation prédomine quant au mécanisme: quel élément est exactement excrété et transmis? L'ARNm, la spike, les npl (nanoparticules lipidiques, doublon artificiel de nos exosomes naturels - aussi abrégé en LNP)? J'ai opté pour l'ARNm histoire que mon médecin et moi trouvions une stratégie qui, inch'allah, me sortira du trou.
D'instinct et d’expérience anecdotique sur moi-même, je pense en effet que c'est l'ARNm qui peut passer. Pour les pros: via les exosomes (voir l'étude " Cutting Edge: Circulating Exosomes with COVID Spike Protein Are Induced by BNT162b2 (Pfizer–BioNTech) Vaccination prior to Development of Antibodies: A Novel Mechanism for Immune Activation by mRNA Vaccines "
A seminal paper by a research team in India investigated the role of exosomes in the cellular response to internally synthesized SARS-CoV-2 spike protein [50]. They wrote in the abstract: “We propose that SARS-CoV-2 gene product, Spike, is able to modify the host exosomal cargo, which gets transported to distant uninfected tissues and organs and can initiate a catastrophic immune cascade within Central Nervous System (CNS).” Their experiments involved growing human HEK293T cells in culture and exposing them to SARS-CoV-2 spike gene plasmids, which induced synthesis of spike protein within the cells. They found experimentally that these cells released abundant exosomes housing spike protein along with specific microRNAs.
Aussi lire un article par la formidable Stephanie Seneff (et al.) dans Food Chem Toxicology, où il est question du rôle des exosomes: "Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs ". J'ai déjà relayé deux fois le travail de Seneff.
Puisque le déni de ce phénomène se rencontrera surtout dans le monde médical ascendant vaccinaliste, je relaye une réponse à un commentaire typique, que j’ai reçu d’un anesthésiste qui me fait l'honneur de lire mon dernier billet sur vkontakte et qui écrit:
"Il est de plus en plus évident que l'ARNm " vaccinal " diffuse aux organes profonds ou il exprime la protéine S du SARS-COV-2, ce pourquoi il est fait. Aller jusqu'à dire qu'il puisse se transmettre d'un sujet à un autre exigerait des études précises et sérieuses avec des traçages pour le moins difficiles à mettre en place.
Gardons nous d'adhérer à toutes les théories après avoir été malmenés par des diafoirus et des escrocs durant deux ans ."
Ma réponse: Merci, honneur d'être lue par des pros.
Primo. Je suis loin d'être une complotiste ou une naïve, je mesure souvent mes termes et mes hypothèses, je suis d'ailleurs fière de faire partie des complotistes qui ont eu raison à l'avance. Voilà presqu'un an que je promettais le pass climatique, sur la foi du pognon de dingue que les industries avaient dépensé à installer des portiques à pass "sanitaire". Le prétexte sanitaire ne pouvait tenir, ils devaient savoir que d'autres pass seraient introduits.
Secundo: malgré tout le respect que j'ai pour les médecins qui m'ont soignée depuis ma naissance, malade professionnelle, et qui continuent à me soigner, il ne faudrait pas tomber dans le grand classique du déni: l'intuition, le flair d'un patient est souvent une bonne piste, quand on ne tombe pas par hasard sur un syndrome de Munchausen ou un mythomane franc. J'ai vécu ce déni cent fois dans ma carrière de malade et heureusement je suis têtue, il a parfois fallu consulter cinq médecins avant d'avoir les bons tests ou la bonne analyse de test. Depuis plus de quarante ans, mon obstination a payé, car j’ai enfin pu guérir dès lors qu’on a écouté la patiente que j’étais.
Chez Marc Girardot @GirardotMarc, expert en stats travaillant dans le domaine des vaccins anticancer, très informé), je n'ai trouvé qu'un article : "Have no fear of your "Vaccinated" friends' shedding the Spike! " juin 2022 - https://covidmythbuster.substack.com/p/have-no-fear-o... Hélas payant, ce que je comprends, mais je ne peux financer tous les blogueurs. Snif.
traduction intro:
"Un de mes amis en Afrique du Sud m'a demandé d'écrire cet article. Apparemment, certains d'entre vous ont peur d'être contaminés par les protéines spike excrétées par les "vaccinés". Comme vous le savez maintenant, la plupart des vaccins anti-COVID actuels détournent les cellules saines pour produire de grandes quantités de protéines Spike, ce qui est considéré par beaucoup comme nocif.
Dans les lignes qui suivent, je vais démontrer que, bien que l'excrétion de spikes encapsulés dans des exosomes soit effectivement possible, il n'y a vraiment aucune raison d'avoir peur. Les faits et la logique mettent en évidence que la mue est temporaire et infime. Nous devons ramener la raison et la science dans les deux camps, et nous en servir pour combler notre fossé."
Tout à fait d'accord, on peut se débarrasser assez facilement de spikes transmis, comme on peut se débarrasser de tout produit d'intoxication - mais je pense pour le vivre concrètement que, dans le mécanisme de shedding, c'est l'ARNm qui est transmis. Et qui produit des spikes à n'en plus finir. Ce n'est pas le même cas de figure!
De l'avis de l'un d'entre eux ( interview dès le début 2021 du dr Byram Bridle, professeur associé en immunologie virale à l’université de Guelph, Ontario, Canada), les chercheurs pensaient que la protéine spike était un excellent antigène cible, mais n'avaient jamais pensé que la protéine spike elle-même était une toxine. C'est par mégarde que l'on a décidé d'inoculer des pathogènes à des milliards de personnes. Eh bien dis donc, ça donne confiance dans "la science"...
Accessoirement, rayon ARNm, mon mec, codeur de génie, a choisi de ne pas faire le vaccin quand il a pu avoir accès au codage de Pfizer: "mais dis donc ils ont laissé une boucle de répétition infinie en queue de codage!".
Je peux ressentir, subodorer ce qui se passe en moi car, à 67 ans, j'ai enfin développé une forme d'écoute et de respect de mon corps. Malade depuis ma naissance, j'ai connu au passage des maladies graves. C'est à la faveur de ses épreuves multiples que j'ai développé une forme d'interprétation fine de ce qui se passe au plus profond de mes cellules. Sans avoir tout compris, cela s'entend.
Or, pour le moment, depuis juin 2021 et la survenue de cet orage dans un ciel bleu, qui continue depuis, je sens bien que les techniques de drainage habituelles n'ont rien fait; que les techniques de regénération que j'utilise sont inefficaces: chaque fois que je vais mieux, je sens comme un bombardement intérieur. Rien à voir avec ce que j'ai vécu avec la dernière affection grave, une maladie autoimmune en 2000, la RCUH.
Je répète que j'attends la validation par des chercheurs, dont Hélène Banoun @BanounHelene, chez qui j'ai lu cette hypothèse la première fois. Je n'expose que ce que j'ai pu glaner comme profane.
Il faut bien sérier dans les recherches car le terme shedding/excrétion est aussi utilisé pour qualifier la contagion d'un virus. J'ai donc cherché sur shedding ET thérapie génique.
Ce que j'ai comme doc à l'heure actuelle, mais que je ne peux dépiauter, n'étant pas du métier:
1/
Déjà en 2014, révision 2015, la FDA émettait des recommandations: comment mener des études d'excrétion au cours du développement préclinique et clinique, dans le cadre de produits de thérapie génique à base de virus ou de bactéries (produits VBGT - et accessoirement de virus ou bactéries oncolytiques , ce qui ne m'intéresse pas ici). Les thérapies géniques: j'en entends parler depuis 2000 au moins, ils ont donc dû observer des formes de transmission par la peau ou la respiration...
-> https://www.fda.gov/regulatory-information/search-fda..
2/
Dans un document publié en mai 2021 sur le net (daté de novembre 2020), Pfizer admet savoir que son injection d'ARNm a la possibilité de se transmettre des vaccinés aux non-vaccinés.
-> télécharger https://cdn.pfizer.com/pfizercom/2020-11/C4591001_Clinical_Protocol_Nov2020.pdf
Pages 67-68, que je reprends en image en anglais ci-dessous, il faut décoder le jargon. Double traduction : traduire en français ET traduire en langage non jargonesque légal. Quelle prouesse ! Je ne traduis pas en français, car ceux qui liraient ceci sont des pros du domaine.
Dans ce passage, on se focalise sur les cas délicats de grossesse, pendant les tests avant mise sur marché du produit, en l’occurrence la thérapie génique qu’on appelle « vaccin ». De toute évidence et malgré les laborieuses justifications (dont certaines hilarantes) de l’AFP , Pfizer BioNTech savaient donc qu’une transmission était possible, dès les tests. Ou alors, par volonté de suicide médiatique, ils ont prévu dans leur document tous les cas de figure stylistique… (aheum).
« Exposition environnementale » signifie ici que la dame peut être contaminée par une personne de la cohorte de tests. C’est ma traduction de ce jargon protecteur juridique, que j’ai bien connu dans mon temps de lobbying cigarettier. Ils envisagent « le cas d’une femme qui reçoit l’équivalent du produit injecté pendant l’étude d’intervention, et ce non par injection mais par contamination environnementale, càd qu’elle peut absor ber le produit testé pendant l’étude, par inhalation ou par contact cutané ». Ils envisagent aussi le cas d’un homme qui a été contaminé par un sujet de la cohorte et qui expose ensuite sa partenaire enceinte.
Traduction en profane : un mec peut contaminer une partenaire avec l’ARNm ou un autre facteur présent dans le produit.
Image extraite du document en anglais - EDP = Exposition pendant la grossesse
Pour rire un peu, un petit tour chez l’AFP qui prend la défense du fabricant. Des internautes qui se soupçonnaient victimes de shedding avaient repéré ce document Pfizer dès 2021. Vite, vite, on va les défaker… Dans cet article, sans surprise (on a l’habitude avec les factcheckers), les arguments sont de la soupe à la petite cuiller (soupe sans argumentation réelle, tout est mélangé, rien n’est documenté, on est prié de croire leurs arguments d’autorité, c’est le docteur qui l’a dit alors hein bon) : https://apnews.com/article/fact-checking-225957174726
J’aime particulièrement la créativité du médecin interrogé par l’AFP qui prétend que ce cas de figure a été prévu pour le cas où une femme enceinte serait proche d’une seringue contenant de le produit, sernigue qui se briserait accidentellement, et la contaminerait ainsi. Chers amis d’Hégémonix, c’est fatigant pour nous, profanes, d’être ainsi pris pour des couillons, systématiquement. Votre seringue contient un produit qui devait être maintenu à -80°C, l'injection devait être intramusculaire. Et soudainement, le produit pourrait avoir un effet cutané?
3/
Je n'ai rien trouvé chez AIMSIB ou d'autres de mes blogs habituels.
4/
Comment suis-je arrivée à soupçonner que la PPR qui me pourrit la vie depuis juin 2021 était dûe à une contamination par vacciné? Diverses sources, mais l'une d'elles est que dès 1996 j'ai suivi assidûment des forums de biologistes, qui discutaient des nouvelles techniques OGM. Certains assuraient qu'ils travaillaient sur des vaccins autodisséminants (autodiffusants), pour vacciner malgré eux des populations rétives. Ce procédé était déjà en route pour vacciner des animaux sauvages. A-t-il été autorisé entre-temps? D'autres envisageaient d'inclure les vaccins buccaux dans des légumes, par OGM interposé...
J'ai trouvé par exemple à base de "+self-disseminating +vaccine": "Self-disseminating vaccines to suppress zoonoses" 27/7/2020 https://www.nature.com/articles/s41559-020-1254-y et "Self-disseminating vaccines for emerging infectious diseases" https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26524478/ 2015. Mais je dois trouver des pros pour filtrer ces informations, comme je l'ai toujours fait en nutri (clin d'oeil à mes amis conseillers en nutri qui relayent des études sans oser dire qu'ils n'ont pas le premier mot pour les dépiauter).
5/
Dans la publication "Passive inhaled mRNA vaccination for SARS-Cov-2" ( https://www.researchgate.net/publication/346643240_Pa..) ai-je bien compris qu'il s'agit de vacciner "passivement" par inhalation? Ce qui permet donc la transmission hors choix personnel de se faire vacciner...
6/ Non utilisable dans un discours rationnel, mais je note qu'on lit de nombreux témoignages de femmes américaines qui, depuis mi 2021, disent vivre les mêmes effets secondaires que leurs amies vaccinées: rupture de cycle, hémorragies, etc. Lire une série sur https://www.infowars.com/posts/disturbing-unvaccinate..
Non seulement les vaccinés sont contagieux comme les autres, si pas plus (virus covid, récentes variantes: de deux à quatre fois plus contaminants que les nonvax), mais en plus ils seraient des bombes en marche s'ils peuvent contaminer leurs enfants, leurs proches, avec le contenu vaccinal, bien plus toxique que le covid lui-même.
Sujet très délicat au plan éthique, car nos copains si moralisateurs en temps covid ("kwwwwâ? tu n'es pas vacciné? tu veux nous tuer?"), qui ont eu du mal à entendre que les nombreux variants ont été créés A CAUSE de la vaccination ahurie, en pleine épidémie, auront encore plus de mal à découvrir qu'ils sont peut-être responsables de bien des souffrances. Je ne vois pas comment je pourrais exposer ce qui précède à mes copains proches qui me voient claudiquer et grimacer depuis plus d'un an, sans qu'ils se sentent coupables.
Pour le fun, j’ai réalisé un petit montage à partir d’une pub de l’ANS pro-vaccin :
Fun, c’est vite dit. J’en connais qui ne souriront même pas.
Si l'on veut en parler à son médecin traitant, quelle sera sa réaction?
Je relayerai la réponse documentée pour un pro dès que j’aurai le document promis par Hélène Banoun, qui précisera par quel mécanisme potentiel le contenu du vaccin peut être transvasé chez un nonvax. J'emploie délibérément des formules quasi domestiques, je veux insister sur mon approche de profane.
Je ne pense pas qu'on puisse trouver de relais sur le shedding ARNm dans la presse grand public ni chez les médecins covidistes et vaccinalistes.
Primo, ils sont victimes d'une religion, la Vaccinologie, qui est un océan d'incertitudes si l'on raisonne avec rigueur - raison du terme "religion". Secundo, ils ont promu ou injecté ces nouveaux "vaccins" qui sont des bricolages improvisés. Ils sont donc des acteurs. Or, ils ne sont ni sourds ni aveugles et ont bien vu les désastres sur le terrain, sur les plus fragiles: morts, blessés, par milliers. Comment pourrait-on imaginer qu'ils envisagent que ces bricolages ont des effets encore plus pervers, qu'ils peuvent se transmettre? Que, peut-être, l'épidémie d'hépatites chez les enfants (200 enfants en GB, par exemple), sans explication rationnelle, serait due au shedding par leurs parents? Il y a en effet de quoi devenir fou. La solution: fermer les yeux, nier.
Malgré tout, si vous voulez vous dévacciner, ou vous guérir d'un possible shedding vaccinal, il faudra bien parler à un médecin pour demander un traitement.
Mon intention ici: votre médecin traitant est-il supposé connaître le phénomène du shedding vaccinal? Pouvez-vous lui en parler sans vous faire contredire illico? La réponse est oui, le mécanisme est documenté depuis plus de cinquante ans sur les vaccins comme polio, varicelle, etc.
Cherchons ce qu'en disent les autorités, ce qui nourrit les croyances du ce médecin. Je fais comme d'hab: je partage mes notes de surf sur le net, avec commentaires. Cela ne vaut pas plus que des notes prises au vol, commentées par une profane.
Ceci vous convaincra plus, vous lecteurs, que le médecin. C'est déjà un premier pas. J'ai la chance de consulter une homéopathe qui a une connaissance fine du dossier, je n'ai aucun document à lui faire parvenir. Elle connaît déjà.
On lira ci-dessous que selon le CDC, "seuls les virus vivants" provoquent du shedding. Mes hésitations sur ces affirmations catégoriques sont dans le texte ci-dessous: ils ne donnent aucune source documentaire, ils affirment. Point. La question reste pour moi ouverte de savoir si un copain vax peut excréter une ARNm bricolée, qui se mettrait à produire à l'infini de la spike. Je documente mes recherches de profane.
Sur le site du CDC américain, il est dit que le shedding corona est un mythe.
FAIT : L'excrétion d'un vaccin est la libération ou le rejet de l'un des composants du vaccin à l'intérieur ou à l'extérieur du corps et ne peut se produire que lorsqu'un vaccin contient une version vivante affaiblie du virus.
Aucun des vaccins dont l'utilisation est autorisée aux Etats-Unis ne contient de virus vivant. Les vaccins à ARNm et à vecteur viral sont les deux types de vaccins COVID-19 actuellement autorisés."
Et avec ça, on est là, dit-on à Bruxelles. Equivalent de "ça nous fait une belle jambe". Pas de source documentaire, une affirmation péremptoire. Du tout beau Hégémonix dans toute sa gloire. En gros le CDC nous dit: "vous devez nous croire sur parole: le shedding n'est possible et documenté que sur les vaccins à virus vivant. Donc vos manifestations inflammatoires, les crises d'épilepsie en augmentation croissante chez les petits, les troubles menstruels, les maladies autoimmunes déclarées - tout cela chez des NONvax, sont des coups du hasard."
C'est d'ailleurs un hasard si ces maladies ressemblent aux effets secondaires des vaccins ARNm.
Dans 20 ans, ils reconnaîtront qu'ils n'avaient pas eu le temps de tester sérieusement des "vaccins" qui sont en réalité des bricolages génétiques (le dernier booster, testé sur la foi d'une étude sur 8 souris, non?). Et que, dans cet esprit, ils n'allaient tout de même pas tester la possibilité de shedding via vaccin à ARNm. Non mais des fois..
Comment peuvent-ils savoir que les ARNm ne sheddent pas? Puisqu'on ne connaît presque rien de ces nouveaux "vaccins": ni ce que l'ANRm modifiée cible, ni où la spike artificielle se balade, ni la durée de vie de l'un ou de l'autre. On n'a à ce stade que des hypothèses, des postulats: "on dirait que...".
Question profane au passage. Puisqu'au regard des études citées ci-dessous, le shedding vaccinal est courant, a-t-on déjà testé la présence de traces de shedding dans les eaux urbaines?
Une étude de fin 2018. Je précise que je ne commente pas, j'attends l'avis d'une pro comme Hélène Banoun. Nous, profanes, ne comprenons que pouic aux méthodologies, nous ne pouvons juger de la justesse d'une étude. Je cite pour info.
L'équipe a testé des échantillons de selles d'enfants vaccinés (EU et Mexique) afin d'évaluer les schémas d'excrétion. Au total, 84 % des enfants américains et 78 % des enfants mexicains ont excrété le virus du vaccin - durée moyenne d'excrétion de 17,4 jours pour les enfants américains et de 9,3 jours pour les enfants mexicains
source: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6206113/
Une étude de 2011 sur des nourrissons jumeaux, rotavirus humain, HRV (Rotarix™) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22008819/
"15 cas de transmission ont été signalés chez 80 jumeaux évaluables ayant reçu un placebo et le taux de transmission était de 18,8 %"
TL: Que les nourrissons témoins n'aient pas eu de gastroentérite à cause de ce virus n'est pas significatif ici: je veux simplement documenter la possibilité de shedding.
Que le shedding soit évalué dans les selles prélevées n'implique pas que le virus ne puisse se transmettre par d'autres voies (mucosales par exemple).
En 2008, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18922486/: "l'excrétion et la transmission virales étaient plus élevées avec l'ancien vaccin tétravalent contre le rotavirus rhésus qu'avec l'actuel vaccin monovalent atténué contre le rotavirus humain et le vaccin pentavalent réassortant bovin-humain"
TL: Même si le shedding diminue avec certaines formes de vax, le shedding d'un seul cas est un shedding de trop.
Une autre étude de 2013 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3719901) étudie l'excrétion du poliovirus et la réponse immunitaire au vaccin antipoliomyélitique oral chez des nourrissons zimbabwéens infectés et non infectés par le VIH.
TL: Le shedding vaccinal est donc un phénomène si anodin qu'on peut se permettre des études sur des détails: réponse ou non chez des immunodéprimés.
Dans une étude de 2004 Sabin oral poliovirus vaccine (OPV) (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15216480/), on découvre que le corps des gamins excrète des formes différentes de virus selon le timing: des mutants x y ou z selon les semaines après vaccination.
TL. Ben tu vois Jeanine, je te disais bien que le shedding n'était pas nouveau!
On retrouve même une étude en 1966 - polio: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2134687/?page=1
Toujours sur la polio: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16288372/ - 2005. étudie la durée et le taux d'excrétion dans les selles. Ai-je bien compris qu'ils se réjouissent que le reste de la communauté (sous-entendu non vax) est ainsi protégé?
2019 varicelle https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31471448/ où j'apprends que je devrais chercher sur " secondary transmission", synonyme de shedding. Ils ont colligé 20 articles - je souligne "transmission", lisez "shedding"
"Nous avons identifié 13 patients atteints de varicelle vOka après transmission par 11 personnes immunocompétentes ayant reçu le vaccin contre la varicelle. Dans tous les cas, le receveur du vaccin présentait une éruption cutanée : 6 varicelle-like et 5 herpès zoster. La transmission s'est faite principalement aux contacts familiaux. Un cas supplémentaire n'a pas été considéré comme une transmission directe à partir d'une personne vaccinée, mais le mécanisme était incertain. La transmission à partir d'enfants immunodéprimés vaccinés ne s'est également produite que si la personne vaccinée a développé une éruption après la vaccination. Les cas secondaires de varicelle causés par vOka étaient légers. "
Conclusion très personnelle de ce sous-chapitre « CDC »: on connait donc le shedding vaccinal depuis longtemps (1966 au moins, selon mes 20 minutes de recherche), votre médecin devrait être au courant. On pourrait donc, hypothétiquement, discuter avec lui de la possibilité d'une source vaccinale chez un non vax, quand on ne comprend pas pourquoi il est soudainement malade. En particulier d'une maladie qui est typique comme effet secondaire de ces nouveaux "vaccins". Et cela, même si on nous déclare de manière péremptoire que le shedding génique n'est pas possible ***sans l'avoir testé!***.
Il serait édifiant que vous transmettiez au médecin le document Pfizer Biontech que j'ai relayé, où eux-mêmes envisagent les cas de "transmission environnementale" selon leurs termes, ce qui signifie qu'un mari peut transmettre le vaccin à son épouse non vax. Le CDC peut continuer à jeter ses affirmations autoritaires sans documentation, je me fie à celle de misteur pfizeur lui-même.
J'ai peu glosé autour des vaccins depuis la crise covid (malgré que je suis le dossier Vaccinologie depuis 40 ans...), car je cible le pan politique et néolibéral de cette forme de coup d'état sur les peuples. Je laissais les biologistes pointus s'en occuper. A titre perso, je n'ai même pas hésité une seconde à refuser cette pseudovaccination.
Je m'y intéresse pourtant, pour cet aspect particulier: un vax peut-il contaminer un non-vax? Et pendant combien de temps? "On" dit que la spike produite par l'ARNm vaccinal ne reste que 28 jours dans le corps. Que je pourrais donc à nouveau embrasser des amis, sauf fraîchement vaccinés. 28 jours? Déjà, au départ, les chercheurs avaient conçu ce "vaccin" en utilisant la spike comme antigène, la supposant toxique, mais en prétendant que le liquide ne restait que dans le deltoïde. Sur le terrain, on a bien vu que cette hypothèse des chercheurs était fausse: on retrouve le cocktail dans tous les organes, y compris dans le cerveau. Je me permets donc de douter des assertions ultérieures, vu le peu de fiabilité des premières: 28 jours, vraiment?
Lire chez Alex Berenson, un "vrai" journaliste d’investigation que cette légende des 28 jours n'a rien de vérifiable: "mRNA shots are the gift that keeps on giving - Physicians (not American, of course) find vaccine-generated coronavirus spike protein in skin lesions, months after vaccination"
(NB. Alex Berenson is a former New York Times reporter and the author of 13 novels, three non-fiction books, and the Unreported Truths booklets. His newest book, PANDEMIA, on the coronavirus and our response to it, was published on Nov. 30.)
Une étude récente (mi août 2022,sous forme de dossier d'investigation) assure avoir trouvé une preuve irréfutable de causalité entre les vaccins à ARNm et les lésions vasculaires et organiques, des mois après l'injection.
L'étude, menée par les microbiologistes Michael Palmer et Sucharit Bhakdi, s’appuie essentiellement sur les conclusions formulées par les pathologistes allemands Arne Burkhardt et Walter Lang. « Ls observations relatives à l’expression de la protéine spike effectuées neuf mois après la vaccination confirment soit l’intégration génomique de l’ARNm codant la protéine spike dans le génome des cellules qui l’expriment, soit que l’ARN messager synthétiquement modifié reste stable dans ces cellules des mois après s’être dégradé », déclare le Dr Lindsay.
"Cet article résume les résultats d'études expérimentales et d'autopsies de patients décédés après une vaccination. Les résultats collectifs démontrent que:
1. Les vaccins à ARNm ne restent pas au niveau du point d’injection. Ils se propagent dans tout le corps et s’accumulent dans divers organes.
2. Les vaccins Covid à base d’ARNm induisent une expression durable de la protéine spike du SRAS-CoV-2 dans de nombreux organes.
3. L’expression de la protéine spike induite par un vaccin provoque une inflammation de type auto-immune.
4. L’inflammation induite par les vaccins peut sérieusement endommager les organes, en particulier les vaisseaux sanguins, avec parfois des conséquences mortelles."
Site sur lequel on pourra télécharger une compilation des 750 études répertoriant les dégâts des "vaccins" actuels: https://doctors4covidethics.org/750-studies-about-the-dangers-of-the-covid-19-injections/
Lire aussi un long commentaire sur Epochtimes: https://www.epochtimes.fr/preuve-irrefutable-que-les-vaccins-a-arnm-provoquent-des-lesions-vasculaires-et-organiques-etude-2108059.html. On y lira le contenu d'une réfutation de cette étude, qui se contente de dire "eh ben même c'est pas vrai". Alors que Bhakdi et al ont utilisé des outils d'histopathologie et d’immunohistochimie pointus.
Le dossier "shedding" n'est pas terminé, j'attends les pistes des pros. En attendant, je me fie à ma légendaire intuition doublée de ma curiosité rationnelle. J'oriente ma propre stratégie pour sortir de la PPR en fonction de l'hypothèse shedding. Les résultats de mon nouveau traitement seront dispos, via le sommaire de mon carnet de route.
Je suis consciente que la toute grande majorité des médecins aura de la peine à suivre la pistee du potentiel shedding. Et pourtant: comme on vient de le voir, le phénomène est cité dans la d oc même de Pfizer BioNtech; on verra plus tard qu'on a pu valider que l'ARNm vaccinal passe dans le lait maternel; on a pu tester il y a quelques années l'excrétion d'ARNm vaccinal chez des animaux. Que d'éléments valides pour au moins se poser la question. Pour mon cas personnel, les faits continuent à me confirmer l'hypothèse d'une contamination par vaccin. En faut-il plus pour oser raisonner cette possible dérive?