27.7.2023 En voiture hier, j'ai entendu une grande partie de l'émission belge Ceci n'est pas un selfie: "Victoria Defraigne, transféministre (texto), militante et autrice". Je m'amuse de la coquille "transféministRe" sur le site radio, qui signale bien que la typographe lui donne de l'autorité ;)
Cette entrevue est un exemple idéal pour illustrer mon analyse en trois points: narcissisme exacerbé, matérialisme, non-pensée du mouvement (et, au passage, aveuglement des journalistes "bien-pensants")
En voiture hier, j'ai entendu une grande partie de l'émission belge Ceci n'est pas un selfie: "Victoria Defraigne, transféministre (texto), militante et autrice"
Je décode ici à l'intention qui voudraient comprendre pourquoi leurs ados sont tentés par la transitude, le cas échéant. Une petite parcelle de l'analyse, que je tenterai de creuser un peu plus dans le reste du dossier "Leave the kids alone".
L'émission n'a fait que confirmer mon analyse: les transgenres sont des narcisses matérialistes, peu pensants. Trois caractéristiques qui méritent un billet chacune.
Je n'ai ni haine ni mépris envers les transgenres (c'est leur mantra victimaire). Je trouve qu'on perd beaucoup de temps à écouter les plaintes d'une âme qui se cherche sans vouloir vraiment se trouver, qui n'a pas une once de pensée réflexive.
J'invite tous mes amis psys à écouter l'émission et à se délecter des gigantesques failles de logique, des réponses à côté de la question, de la torsion du réel pour le faire coller à ce que la miss en question veut croire de sa vie. En post-diffusion ici (sur inscription): https://auvio.rtbf.be/media/ceci-nest-pas-un-selfie-c..
Je les invite à compter le nombre de "je", "moi", "mon" et à décoder les phrases selon ce nombrilisme exacerbé. Les psys analyseront tous les non-dits de son discours, qui ouvrent une brèche béante dans l'analyse à distance de ce que la transidentité de cette personne est le signe qu'elle veut sortir du lot, être vue. Rien de plus.
Malgré les questions fines et pensées du journaliste, mamzelle la militante n'a que des réponses vides de chez vide.
Le billet présent existe car mamzelle se dit militante et a écrit un livre de prosélytisme. Donc non seulement elle nous pompe l'air pendant une heure avec des discours d'une vacuité inouie, mais elle veut aussi convaincre d'autres personnes que l'idéologie du genre a du sens?
Je me permets d'entrer dans son territoire puisque cette personne s'expose: 3/4 des jeunes tentés par la transition se révèlent être tout simplement des homosexuels qui n'osaient pas le dire; pour certains des homos qui préfèrent entrer dans la lumière des projecteurs du net qu'entrer dans un bar homo. Victoria donne toutes les clés pour comprendre que son changement d'apparence est de l'homosexualité refoulée. Rien à voir avec une prétendue "théorie" du genre, qui n'est en fait qu'une idéologie, quasi une religion. Mantras, slogans, mais peu d'arguments, ce que j'investigue dans le deuxième chapitre: "Les trans sont des machos comme les autres".
Parents d'ado, ce dossier devrait vous intéresser au plus haut point, afin que vous sachiez ce que vos ados se font déverser dans la tête. On voit par ailleurs ce qui leur est proposé sur le net, par des adultes, figures d'autorité, on voit ici ce qu'ils peuvent entendre à la radio.
De nombreuses entrevues sont dispo sur le net, en vidéo, où vous entendrez et verrez des amateurs transgenres jeunes exposer leurs vues. Vous vous ferez une idée du prosélytisme de ces âmes en peine.
Je n'ai à ce jour entendu que de la victimisation à outrance, du narcissime exacerbé; et pour 90% des intervenants, des refrains appris par coeur dans la communauté.
J'en ai tiré mon analyse en trois points, qui suivra dans un autre billet.
Je suis confuse que des journalistes de la radio belge ou française (France Inter: pareil) donnent la parole à des personnes de cet acabit, sans relativiser et mettre en contexte: "nous interrogeons ici des personnes victimes de troubles psychiques, merci de votre compassion".
Présentation de l'émission :
"Elle était venue nous présenter son livre "Les transidentités expliquées à mes parents" il y a quelques semaines de cela. Un livre touchant, éclairant et qui s'adresse à toutes et tous pour mieux comprendre ce phénomène de transidentité dont on commence à parler, parfois sans jugements. Victoria Defraigne est aujourd'hui étudiante, militante et nous propose de mieux comprendre son parcours, sa quête, et la découverte de son genre et de ce que cela a changé dans sa vie"
Les transgenres font fort: ils contaminent des journalistes, qui nous signalent par là leur « dysphorie de vie moderne ». Dysphorie: une perturbation de l'humeur caractérisée par un sentiment déplaisant et dérangeant d'inconfort émotionnel ou mental, symptôme de la tristesse, de l'anxiété, de l'insatisfaction, de la tension, de l'irritabilité, ou de l'indifférence.
La dysphorie n’est pas que de genre. Quiconque ne prend pas du recul face au monde fou d'aujourd'hui est condamné à vivre ces "perturbations d'humeur", anxiété, insatisfaction, etc. Pas étonnant qu'un journaliste de notre radio nationale belge, qui a dû avaler tant de couleuvres pendant la crise covid, se retrouve dans le miroir d'un jeune transgenre. Ils partagent les mêmes tristesse, ,anxiété, insatisfaction, irritabilité, tension, etc.
C’est en tout cas ainsi que j’analyse pourquoi tant de journalistes tendent le micro à des victimes de troubles mentaux ou, pire, des fétichistes sexuels que ces reporters croient vraiment défendre les minorités: tendraient-ils les mêmes perches à des anorexiques prosélytes, aussi en souffrance mentale que les transidentitaires ?
Le transgenrisme s'installe petit à petit chez nous. Tuons le projet de prosélytisme dans l'oeuf, faisons connaître aux parents la réalité de ces pseudothéories, qui n'ont de succès que dans une ambiance de victimisation et de narcissisme exaltés.