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5.2.2025 Comme suite aux billets précédents Des labradors en labo? (pourquoi des antiparasitaires, molécules redirigées, sont-ils efficaces pour lutter contre le cancer) et Repenser les traitements alternatifs du cancer: discernement! (radicalité de bleu de méthylène ou dioxyde de chlore), écouter le dr Makis présenter sa pratique actuelle, en vidéo.
Je radote: on peut tester le bleu de méthylène ou le dioxyde de chlore, mais il faut d'abord se renseigner sur les effets sur le terrain. Pas mal de réactions négatives, si on compare à la chanson qui les vante. Je trouve dommage qu'une personne cancéreuse ne se voie pas proposer d'autres solutions, qui n'ont jusqu'ici manifesté aucun effet secondaire: des antiparasitaires comme l'ivermectine ou le fenbendazole, utilisés par de nombreux médecins américains pour les cas de cancer.
Le dr William Makis en est un ("médecin canadien ayant une expertise en radiologie, en oncologie et en immunologie. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs").
Ecouter le Dr Makis chez "Science Unleashed" à partir de la minute 26, retranscrit sur son substack
Dans les premières minutes il parle des cancers supersoniques (synonyme que j'utilise à la place du terme consacré que j'évite, censure oblige, terme qui signale des cancers foudroyants, chez les jeunes, apparus depuis deux ans, et qui ne répondent pas aux traitements classiques):
Hors son substack, le congrès entier n'est pas sur YT, je l'ai vusur rumble, hélas interdit aux amis français (encore?). Makis apparaît à la minute 1h03
Ces deux produits ivermectine et fenbendazole (généralement appelée "fen ben" par les praticiens) ne sont pas seuls, il y a une floppée de médicaments repositionnés qui ont montré de beaux effets contre le cancer. En général, hors brevet, donc peu étudiés. Une survivante du cancer, Jane Leland (profane comme moi, prudence! elle n'est pas le pape) en a fait un livre et anime un groupe privé sur fb: https://www.facebook.com/groups/off.label.drugsforcancer. Leland n'est pas très holistique, ses choix de molécules sont très conventionnels. Son site: https://www.howtostarvecancer.com
Mebendazole est la version humaine de fenbendazole,mais c'est ce dernier qui a testé largement par les patients depuis le cas de Joe Tippens. il y a dix ans. Tippens, condamné, a été invité par un ami véto à tester un produit qui s'était révélé puissant anticancer sur des souris; il n'avait plus rien à pedre. Lors d'une étude clinique sur le cancer, les souris parasitées ont été traitées au fenben et il a été impossible de les rendre cancéreuses. Sérendipité! Depuis lors, Tippens prospère et a fait connaître la bonne parole. Le mebendazole coûte plus de 600€ la pilule (!) aux States. La dr Kathleen Rudder a trouvé une version de mebendazole à 1/600è du prix américain en Inde.
Une autre oncologue, la doctoresse Kathleen Rudder, a par hasard suivi avec bonheur des patients qui se soignaient avec des antiparasitaires. Elle a décidé d'amorcer une étude d'observation pour évaluer la durée de survie de cancéreux après ces antiparasitaires. Qu'ils se sentent mieux et que la tumeur régresse, cela ne fait pas de doute; les témoignages sont innombrables. Mais on n'a pas encore de recul. En labo, l'ivermectine au moins semble niquer les cellules souches cancéreuses (CSC), celles qui sont responsables des rechutes et qui résistent tant aux rayons qu'aux chimios. Sur l'humain, si Rudder peut démontrer une absence de récidive et une survie plus longue, cela signfiera pêut-être que chez l'humain, les CSC sont éliminées par ces antiparasitaires, lorsque le patient y est répondant.
Ecoutez-la converser en toute fluidité et honnêteté avec le dr Stefan Hartmann, médecin fonctionnel en Floride: "Cancer treatment: iodine & antiparasiticals with Kathleen Ruddy MD and Stefan Hartmann PA"
Un os à ronger: l'ivermectine en covid est efficace rapidement, et dès qu'on arrête, pas de rebond. Tandis que le dr Harmann dit ici l'utiliser pour des troubles de prostate et d'érection chez ses patients: grand succès, mais deux jours après l'arrêt d'IVM tout revient comme avant. Cela me confirme dans l'effet antiparasitaire, car si le patient ne change pas l'environnement, forcément cela va rebondir. Ceci est un avis de profane...