Notule pour ceux qui débarquent sur le blog. Je me laisse aller à ma plume naturellement acide dans ce dossier de l'été 2018 sur le véganisme/antispécisme, car leurs chefs de horde sont torquemada modernes. Que l'on mange rouge, bleu ou tout congelé, peu me chaut. Liberté de choix avant tout. Qu'on aie envie de montrer au monde qu'on a fait un choix si malin, chouette alors! Mais qu'on nous empêche de manger rouge, bleu ou congelé, et là je monte au créneau.
En outre, le végétarisme est un plan optimal pour certaines personnes, c'est un beau projet d'une nouvelle assiette. Le véganisme, que l'on amalgame hélas ! avec le végétarisme, est un mouvement sectaire, porté par des ahuris peu informés, porteur de potentiels dégâts mentaux et physiques lorsqu'on les suit un peu trop longtemps. J'ai de la peine à les voir polluer la réputation de ma famille de coeur, le végétarisme équilibré, bio au surplus. Répétez à l'envi autour de vous, auprès de vos proches non férus de nutri: ces gugusses n'ont rien à voir avec notre mouvance bio, flexitariste à la rigueur si vous voulez un nom, respectueuse, intelligente, généreuse et ouverte.
Pour penser ce que le véganisme vient nous dire, j'ai tourné une interview "a fresco" avec le philosophe Frank Pierobon - en voir la présentation
NB. 17.11 La conférence est en ligne