3.8.21 A propos de l'IA qui fait la une de toutes les conversations, IA dont j'essaie de puis un an de rabaisser le drapeau sur mes comptes RS, faisons appel à un surdoué du numérique comme on les aime, un peu barjot, atypique, brillantissime : Benjamin Bayart
A propos de l'IA qui fait la une de toutes les conversations, IA dont j'essaie de puis un an de rabaisser le drapeau sur mes comptes RS, faisons appel à un surdoué comme on les aime, un peu barjot, atypique, brillantissime : Benjamin Bayart*. Je l'apprécie aussi pour son engagement politique et social, en faveur des démunis. Un frère d'âme, quoi.
Dans cette interview Thinkerview, j'ai capté ce qu'il a à dire de l'I.A.: en tant qu'informaticien formé à l'IA (sa thèse), il refuse d'utiliser ce terme quand il interagit avec le grand public. A cause des confusions sur la réalité de ce que sont les robots IA: des équations poussées, combinant statistiques prédictives et structurelles. Point barre.
Ecouter la suite sur: https://youtu.be/VBsLSfPs2PE?t=2948
* Bayart qu'il faut absolument soutenir avec sa Quadrature du net, qui défendent les libertés bec et ongle au lieu de nous faire la classique "indignation sur canapé". Bayart que j'ai suivi sur les RS, et dont je reconnais qu'il est hyper, hypermatérialiste comme j'en connais peu, mais tant pis c'est lui alors voilà. Les geeks de son acabit vivent dans une autre réalité que la nôtre, il faut l'accepter. C'est de la part des autres crétins à lunette type Gates que c'est inacceptable, car leur "autre réalité" empiète sur la nôtre, vu qu'ils veulent nous mettre en laisse. Pour apprécier son humour, il avait bidouillé la vidéo ci-dessous pour qu'elle annonce "Benjamin Bayart, vieux con des internets" plutôt que l'officiel "Benjamin Bayart, Grand sorcier de l'internet";
Ecouter la dernière entrevue sur le même sujet: " Intelligence artificielle, bullsh*t, pipotron ?" chez Thinkerview, le 4 avril 2024. Nous sommes si englués dans la propagande pro IA que nous n'avons plus de recul. Le seul génie de l'IA est de s'être fait passer pour une révolution. "Parole, parole, parole" chantait Dalida...