25.4.23 J'ai déjà sous-entendu dans le précédent billet pourquoi je reprends les francs complotistes dans mon chapitre "Hallucination collective". Je partage pour ma part la vision d'un auteur américain installé en Russie, au regard très critique, Riley Waggaman, écrivant sous pseudo.
Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.
Le dossier n'est pas terminé, je l'étoffe de jour en jour. Patience, il sera prêt en livre sous peu.
J'ai déjà sous-entendu dans le précédent billet pourquoi je reprends les francs complotistes dans mon chapitre "Hallucination collective". Je partage pour ma part la vision d'un auteur américain installé en Russie, au regard très critique, Riley Waggaman, écrivant sous pseudo. Il est ici interrogé, fin 2021: "I believe we are facing an evil that has no equal in human history" et parle aussi de Diable, dans un autre contexte.
NB. Si je le connaissais, je lui dirais de se calmer, ceci dit. Ce que nous vivons semble le pire mal de l'humanité ***parce que nous le vivons***. Encore hier, sur terre, nous Occidentaux, faisions vivre l'enfer à certains pays colonisés. Ce n'était pas "le mal"? Avant-hier, au cours de l'histoire humaine, on a vu d'autres atrocités, dont la liste est superflue à tout amateur d'Histoire. L'apparence de "pire mal" vient aussi du fait que les malfaisants agissent désormais à l'échelle planétaire.
Traduction des derniers mots:
"Chaque jour qui passe, il semble que nous soyons coupés de force de notre propre passé. Nous sommes "recyclés" pour accepter un nouveau modèle de civilisation. Cela se passe au niveau local, régional, national et mondial. Les familles sont déchirées.
Je suis convaincu que nous sommes confrontés à un mal qui n'a pas d'équivalent dans l'histoire de l'humanité. Nous nous trouvons dans un territoire totalement inconnu et extrêmement dangereux. Néanmoins, nous pouvons tirer des leçons et des avertissements de l'histoire. L'introduction mondiale des passeports de santé numériques ressemble étrangement à l'adoption mondiale des passeports internationaux après la Première Guerre mondiale. Votre passeport est une relique de la Première Guerre mondiale. Il était censé être un document temporaire destiné à contrôler les flux de réfugiés et à empêcher les espions ennemis d'entrer sur le territoire. Mais ce n'était pas si temporaire que cela, n'est-ce pas ?
Le romancier autrichien Stefan Zweig a longuement décrit ce que ce nouveau système de contrôle signifiait pour ceux qui avaient vécu dans l'Europe d'avant-guerre : "On a fait sentir aux êtres humains qu'ils étaient des objets et non des sujets, que rien ne leur était dû et que tout n'était qu'une faveur accordée par la grâce officielle. Ils étaient codifiés, enregistrés, numérotés, estampillés... Les humiliations qui avaient été conçues pour les seuls criminels étaient désormais imposées au voyageur, avant et pendant chaque voyage".
Il ajoute : "Je devais toujours penser à ce qu'un Russe exilé m'avait dit il y a des années : "Autrefois, l'homme n'avait qu'un corps : Autrefois, l'homme n'avait qu'un corps et une âme. Aujourd'hui, il a aussi besoin d'un passeport, car sans lui, il ne sera pas traité comme un être humain".
Désormais, nous sommes tous soupçonnés d'être des risques biologiques, en plus d'être des criminels potentiels. À ce stade, les "masses non poignardées" sont-elles même considérées comme des êtres humains aux yeux de nos suzerains mondiaux ? Même ceux qui ont consciencieusement reçu leur piqûre de rappel doivent maintenant réaliser que leurs libertés ne leur seront pas rendues. Ce n'est pas comme ça que ça marche. Le député de la Douma, M. Delyagin, l'a évoqué dans son appel vidéo aux Russes : "Ils nous parlent déjà de la même manière qu'ils parlent aux animaux. L'État s'adresse maintenant au peuple de manière si grossière. C'est ainsi qu'ils parlent à la population des territoires occupés qui, pour une raison quelconque, ne comprend pas qu'elle est occupée".
Une observation remarquable, qui s'applique à la quasi-totalité du monde.
J'ai un jeune fils. Il est citoyen russe. J'aimerais qu'il soit traité comme un être humain.
La situation est extrêmement sombre. Personnellement, je crois qu'il y a un élément spirituel profond en jeu. Comment arrêter ce mal profond ?"
Lire la totalité: "I believe we are facing an evil that has no equal in human history"