5.7.2023 On peut drolement s'amuser à étudier certains pans de la médecine avec de la logique, à la Hercule Poirot, quand ils travaillent sur quantité de présupposés érigés en dogmes
La formation médicale est un véritable conditionnement aujourd'hui, les étudiants étant en partie "dressés" à suivre les consignes de Pig Pharma. Il est bien normal que, diplômés, les médecins projettent sur leur patient le même schéma: ils communiquent en slogans, désormais. En quelques décennies, la médecine s'est parée des vêtements de "la science" alors que c'est un art. Un praticien doit naviguer entre ces apparences et son intuition profonde du fossé. Il s'en sort en rejouant le conditionnnement, dans l'autre sens.
Peu de mes copains osent questionner la "science médicale" - à part des chercheurs en physique, et encore! - car lorsqu'ils ont peur de la maladie et de la mort, ils en perdent les neurones. La Parole du Père vient les rassurer.
J'ai un atout: je suis malade depuis ma naissance, et j'ai survécu à de graves épreuves, je n'ai plus trop peur ni de la mort ni de la maladie, ça me donne du recul, un esprit froid face à cette parole autoritaire.
On peut drolement s'amuser à étudier certains pans de la médecine avec de la logique, à la Hercule Poirot, quand ils travaillent sur quantité de présupposés érigés en dogmes (la virologie, par exemple - ou les traitements anticancer basés sur la théorie génétique).
Nous, profanes, pouvons sourire , mais un praticien ne pourrait agir sans ce tremplin de fausses certitudes. Je peux me soigner sans "croire" au virus, par exemple, mais mon médecin ne peut être un médecin tel que la majorité se les représente (ou tel que lui se représente sa fonction) sans croire à la virologie, et donc aux vaccins (car, tout bien réfléchi, qu'a donc apporté la virologie en matière de traitements si ce ne sont QUE les vaccins?).
Un oncologue ayant consacré budget, énergie, années, jus de cerveau à ce métier ne peut tout simplement pas reconnaître après douze ans d'études et peut-être douze ans de pratique que cette branche de la médecine fonctionne sur du rêve, des vérités autoproclamées. Regardé du point de vue du malade, en revanche: "les chimios guérissent du cancer et la terre est plate" (titre d'un livre par un médecin allemand, dont j'ai fait un de mes slogans).
Un praticien doit donc se baser sur un socle de croyances pour agir. Je comprends bien, mais ce serait tellement plus élégant de le dire...
Ces mensonges institués poussent ma part symboliste à énoncer que, désormais, la médecine agit plus que côté des Ténèbres que de la Lumière, dont le combat n'échappe à personne aujourd'hui.
Tout cela mérite un livre complet, je me limite à poser la question: méditez sur 1/ endoctorination et 2/ pseudocertitudes en médecine.
Voir le chapitre "Crise de foi(e) dans la médecine" - voir la table des matières du dossier