Des gars surdiplômés qui "croyaient" que l'injection restait dans le muscle!

15.7.2022 Ecouter la présentation en slides de Marc Girardot - statisticien Panda, MBA, plus pointu en biologie que certains chercheurs ;) - présentation auprès du CSI.

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.

Le dossier n'est pas terminé, je l'étoffe de jour en jour. Patience, il sera prêt en livre sous peu.

En fin de billet, écouter un teaser pour la présentation en slides de Marc Girardot - statisticien Panda, MBA, plus pointu en bio que certains chercheurs ;) - présentation auprès du CSI que je suis grâce à @BanounHelene. Hélène Banoun qui, un jour, nous exposera peut-être le mécanisme du shedding (contamination par vacciné). Quand ses journées auront 25 heures...

Noter que Girardot a bossé sur les vaccins géniques anticancer, y croit fermement et pourtant... sa présentation souligne toutes les dérives de ces nouveaux "vaccins".

Je retiens pour ma propre chapelle sa réponse dans les échanges, captée en vidéo: "les gens qui ont conçu ces vaccins" (dont il chante les louanges par ailleurs, ce sont ses collègues) "pensaient que l'injection resterait dans le muscle et ont tout pensé ainsi. Ne pas penser que le produit peut pénétrer le système circulatoire et surtout risquer d'y être injecté directement est un vrai problème".

Ce n'est pas un problème, c'est la suite logique d'un état de fait. Les chercheurs sont enfermés dans un aquarium avec leurs pairs, or on ne peut lire l'étiquette quand on est dans la bouteille.

Les chercheurs se croient des dieux, ils sont victimes de la même hubris: pas un pour racheter l'autre! Et pourtant, comme j'aime admirer leur rigueur, leur brillance, leurs talents. Il leur manque l'essentiel: le bon sens paysan que je privilégie et l'écoute d'autres systèmes de pensée (on peut combiner la force de la technoscience occidentale à la finesse de pensée d'une médecine traditionnelle chinoise). Disons qu'ils se concentrent sur des chiffres et je me concentre sur des faits. On pourrait faire une belle équipe, mais voilà le monde est castifié (en castes, quoi).

Mon mantra: la recherche en biologie est devenue folle cinglée, sans contrôle, sans barrière (amusant: c'est le thème de recherche du dr Eric Menat qui le mentionne au cours de l'échange; or, il ne faut pas chercher les sauts de barrière dans le biologique, mais dans le mental!). Biologie qui est devenue monomane: TINA est son refrain (There is no alternative). Voir la montée en puissance sur les réseaux et dans les media de grand chemin des NFM, ces cryptozététiciens qui prétendent traquer le fake et être sceptique, alors qu'ils ne sont que les petits soldats d'une rationalité à bout de souffle (NFM: no fake medecine, qu'une amie appellent les "défakers", ç me fait sourire).

Bref. Tel est le coeur du problème, illustré par des gars surdiplômés qui "croyaient" que l'injection restait dans le muscle!

Et qui assistent aux dégâts incroyables de ces thérapies géniques, toutes générations confondues (accidents post-vaccins de l'ordre de 1 sur 20 selon Girardot, pourtant prêtre de l'Eglise de Vaccinologie, tout éminent rationaliste qu'il soit par ailleurs).

Ajoutons à cette imbécillité aveugle de chercheurs ivres d'eux-mêmes la cupidité de Big Pharma et la corruption de nos élites et voici la recette d'une belle soupe toxique. Celle qui touche le vivre ensemble au sein de nos sociétés, et individuellement quantité parmi les crédules qui se sont fait vacciner...

Qui touche y compris des nonvax comme moi qui sont hypothétiquement victimes de contamination par vacciné (je viens de rencontrer le 3ème médecin qui envisage cette piste pour comprendre la PPR qui m'handicappe sérieusement depuis un an), un comble pour un défenseur du libre choix vax depuis plus de quarante ans...

Un jour, je comprendrai comment cela fut possible (transmission d'ARNm codé? de spike?). En attendant, j'ai l'impression qu'un petit lutin sabote de l'intérieur tous mes essais de rétablissement, comme s'il s'amusait avec un revolver à inflammatoires, qu'il dirige sur les hanches et les épaules. Si c'est ça "vivre avec les effets endothéliaux du vaccin", c'est pas la joie.

Si j'arrive à comprendre le mécanisme, je chercherai une solution pour désamorcer cette contamination.

Le clip ci-dessous est un court teaser pour le long exposé au CSI, que je vous invite à écouter attentivement.

Je partage ici un dossier avec les slides de la présentation, que je télécharge en copies d'écran quand je trouve une vidéo qui me donne à penser. Regarder les slides à nouveau m'aide à mieux les réfléchir.

NB terminologie pour les non pros comme moi, qui ai dû vérifier: "La transfection est le processus par lequel les cellules sont pénétrées par les vecteurs vaccinaux : nanoparticule lipidique, pseudo-virus, virus atténués…"