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Sauvez votre corps : développez votre immunité mentale et physique

7.8.2020 Je m'adresse à ceux de mes congénères qui veulent se réapproprier leur santé, réhabiter leur corps et refusent le hold up médicocratique actuel; je m'adresse à ces personnes qui sont convaincues qu’elles sont maîtres de leur santé, qu’elles peuvent développer des stratégies personnelles pour se défendre lors de la prochaine épidémie, soutenant en cela la thérapeutique qu’elles auront choisie avec l’aide de leur médecin.

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.

Je m'adresse à ceux de mes congénères qui veulent se réapproprier leur santé, réhabiter leur corps et refusent le hold up médicocratique actuel; je m'adresse à ces personnes qui sont convaincues qu’elles sont maîtres de leur santé, qu’elles peuvent développer des stratégies personnelles pour se défendre lors de la prochaine épidémie, soutenant en cela la thérapeutique qu’elles auront choisie avec l’aide de leur médecin. Ah ! que j’aurais aimé lire des infos si pragmatiques dans la presse depuis le mois de mars ! Le gouvernement a aussi loupé une belle occasion de protéger son peuple, lui qui a soigneusement évité de nous rappeler ces évidences pendant ces quelques mois.

Défendre sa souveraineté en matière de santé, apprendre à gérer les stress


Vous pensiez que j’allais aborder le volet alimentaire, vu ma profession? Eh bien non, il y a mieux à faire d’abord. J’ai déjà exposé dans mes livres à quel point le stress, l’anxiété permanente, l’incompréhension, la colère quotidienne peuvent saper l’immunité. Cette vision n’est pas l’apanage du monde naturo, elle est partagée par quantité de chercheurs en psycho-neuro-immunologie. L'immunité est attaquée par divers facteurs dont neuropsychologiques. Il s'agit soit de trouver soi-même, soit de se faire aider pour trouver, quelle solution est efficace pour vous, ici et maintenant, afin que vous puissiez gérer le stress majeur que représente la crise actuelle: dans ses contraintes arbitraires tout autant que dans la violence de ce que la crise dite sanitaire a révélé des marécages de nos sociétés.

Lire dans « «COVID-19 and the ‘Echo Pandemic’ of Suicide and Mental Illness : «Nous savons, grâce à des études sur les animaux et les humains, que l’anxiété imprévisible et sans fin est le pire type de facteur de stress en ce qui concerne la réponse inadaptée au stress. Ce que beaucoup de gens expriment très clairement, c’est leur frustration et leur colère. Ils sont furieux qu’il ne semble pas y avoir de stratégie de sortie ou de date de fin claire, et cela constitue en soi un facteur de stress.» (Lorenzo Norris, MD, assistant professor of psychiatry and behavioral sciences at George Washington University, Washington, DC, spoke with Roger S. McIntyre, MD, professor of psychiatry and pharmacology and head of the Mood Disorders Psychopharmacology Unit at the University Health Network at the University of Toronto).

Pour ma part, je revendique le droit à l'immunité et le droit à ma souveraineté en santé. C'est le travail d'une vie, ce n'est pas un billet sur un blog qui vous donnera les outils.

Le confinement lui-même est source d'affaiblissement de l'immunité. Lire par exemple https://www.msn.com/en-gb/news/coronavirus/lockdown-and-social-distancing-could-make-our-immune-system-weaker-says-scientist/ar-BB162J0W . Le confinement et la distanciation sociale pourraient affaiblir notre système immunitaire. Les gens qui ne sont pas exposés aux germes ne développent pas de défenses qui pourraient les protéger contre de futures pandémies, avertit une épidémiologiste d’Oxford (la formidable professeur Gupta dont j’ai déjà relayé le courage fin mars).

La solution serait de se frotter à des virus, bactéries, champignons, afin de garder l’immunité bien vive. Respirer à pleins poumons est une de ces voies, sortir sous masque permanent est l'antivoie. Et accepter l’Autre sous toutes ses formes y compris microbiennes (sans prendre de risque, comme se lécher les doigts après avoir farfouillé dans la poubelle, bien sûr).

La voie biochimique par la théorie du terrain

On peut aussi développer mes défenses naturelles par la voie biochimique simple. Etant donné que ces concepts sont peu représentés en médecine classique et, par voie logique, dans les médias qui en sont le reflet, il faut ici placer un pilier essentiel : la notion de terrain individuel. J’utiliserai cette image sans source qui circule sur le net depuis quelques mois. Lire aussi le paragraphe "Phobie des microbes" ci-dessous.

A gauche : le poisson survit dans une eau sale, probablement contaminée. C’est le marécage intérieur dans lequel certains humains doivent survivre : le sang, les fluides, les organes mêmes sont surchargés de polluants divers, d’excès de sucres, de déchets d’inflammation chronique, de bactéries qui n’ont rien à faire dans certains lieux de la physiologie de l’humain, de débris cellulaires qui devraient normalement être éliminés facilement mais qui ne le sont plus, en raison de divers facteurs qui ont TOUS à voir avec la modernité folle.

Imaginez le travail de titan que doit réaliser le corps, pour assurer le fonctionnement quotidien. Il n’est pas étonnant que les infections, les inflammations s’installent sur des personnes dont le terrain est un véritable marécage. Je parle en connaissance de cause, j’ai vécu de phénomène pendant 40 ans, croyant être victime de tant de maladies par malédiction génétique ou divine. Ce n’est que depuis ma révolution verte intérieure que, malgré que j’avance en âge, je ne connais plus ces cascades de bobos et maladies graves. On parlera un autre jour du concept d’épigénétique : non, vous n’êtes pas condamné par votre bagage génétique, car on peut éteindre certains gènes et privilégier l’expression d’autres gènes en cours de vie, parfois même passé quarante ans.

A droite : ne nous trompons pas, l’eau de l’aquarium n’a pas été passée à la javel ! Elle a simplement été débarrassée de tous ces intrus, ce que j’ai personnellement réalisé en quelques années d’une pratique naturo à la Kousmine. « Quelques années » ? Eh oui, en naturologie, on compte que, pour se requinquer, il faut en moyenne passer un cinquième du temps qu’on a mis à scier la branche sur laquelle on était assis. Un enfant se reprogrammera très vite, dès lors qu’on a compris ce qui le tannait, individuellement, ici et maintenant. Un jeune adulte aussi. Pour une surdouée de la malbouffe et du stress telle que j’étais, grande fumeuse et polymédicamentée de surcroît, il a fallu un peu de temps. Dix ans,, en gros.

Bref, vous avez tous les outils en main pour drainer l’eau de votre petit bocal intérieur et vous assurer une belle fluidité dans les échanges cellulaires, la garantie d’une immunité de béton. Voyons lesquels sont accessibles à tous, sans sou férir et sans se fier à des compléments alimentaires ou des médicaments. Les justifications théoriques sur l'utilité de ces pratiques arrivent enfin, grâce à des chercheurs futés. Ce sera l'objet d'un autre billet.

Respirer au grand air, s’oxygéner à pleins poumons sont suffisants pour créer de justes et bonnes défenses naturelles. L’un ou l’autre amateur de sport insistera pour que vous sortiez courir, jouer au tennis, faire du vélo. C’est son choix perso : le sport intensif lui fait du bien individuellement. Grand bien lui fasse. Ne vous laissez pas impressionner par sa bonne mine et ses discours péremptoires. Marcher, respirer profondément, du ventre et non du thorax uniquement : voilà qui est bien suffisant. L’essentiel est de quitter le divan et la télé, de bouger, de marcher au grand air. S’activer chez soi, à ranger, ne vaut pas : cela équivaut à piétiner. Le sport fait aussi suer. Vous n'aimez pas courir? Pratiquez le sauna hebdomadaire, vous profiterez de la sueur sans courir.

Exposer la peau à la lumière, sans avoir au préalable poncé la peau au détergent, est un autre moyen illustre pour capter ce qu’il faut de vitamine D. Vous aurez jusque fin septembre pour faire le stock qu’il faut de cette vitamine. Si vous sortez les bras et jambes couverts, offrez au moins le visage au soleil.

Parmi les techniques physiologiques pour entretenir l’immunité, techniques qui ont déjà été largement avérées en études, vous serez surpris de découvrir que toucher le vivant, caresser, embrasser sont des gestes capitaux. Si vous vous privez d’embrasser l’autre, pour cause de crainte covid, caressez au moins un animal de compagnie ! Hors physiologie pure, je ne connais pas d’étude qui aurait évalué l’impact dans l’intégrité de votre immunité du lien affectif, de l’impression d’être relié aux autres. Vous voyez où je veux en venir : le confinement, la stratégie de la peur permanente (pour celui qui suit les medias classiques), le port du masque partout, la distance physique sont une série de techniques parfaites pour bousiller l’immunité de chacun. Je n’ai pas grand espoir de convaincre ceux qui se laissent faire qu’ils se préparent à un hiver de tous les dangers. Certainement pas par écrit, ce qui est le lieu de toutes les incompréhensions. Je parle ici aux personnes déjà ouvertes à cette approche, qui veulent se protéger, eux-mêmes et leurs proches.

Une immunité saine s’entretient et se construit en se confrontant à une série de microbes, qu’il faut une fois pour toutes arrêter de voir comme des « agresseurs » systématiques. Arrêtez de tout désinfecter, de surlaver, de poncer la peau avec des détergents qui la privent de la très fine couche de bactéries qui l’aident par exemple à métaboliser la vitamine D si capitale.

J’en viens enfin, en dernier lieu, à ce que l’alimentation peut faire à vos fluides intérieurs, aux échanges cellulaires et à l’immunité. Un autre pilier qu’il faut placer bien au milieu de toute conversation autour des diètes : non, non, et non, la façon de manger n’impacte pas que le poids ou le volume de chacun. Il faut le marteler car cette vieille rengaine est encore bien présente : « oh mais je suis mince, je peux manger ce que je veux ».

Cette dame serait étonnée d’apprendre qu’elle peut être un TOFI (thin on the outside, fat on the inside = mince à l’extérieur, grasse à l’intérieur), ce qui est un terme joli et court pour exprimer ceci : la minceur n’est pas garante d’une absence de marécage. Un naturo regardera d’autres signes, comme la qualité de la peau, un fin voile sur les yeux, les ongles cassants, la quallité du sommeil et de la gestion nerveuse, etc. Je connais des personnes en surpoids qui tiennent une forme remarquable, ce sont des FOTI (fat on the outside, thin on the inside, leurs organes ne sont pas engorgés de graisses).

Les choix alimentaires sont mon dernier élément-clé pour développer ses défenses immunitaires car on marche sur des œufs : ce domaine est le lieu de liens affectifs forts (alimentation familiale en bas âge, souvenirs de l’amour maternel) et de croyances quasi religieuses (voir toutes les mouvances sectaires, chacune plus sûre de son droit que l’autre). Pour contourner ces freins émotifs, j’ai développé un concept personnel, hors normes connues : les nourritures vraies, soutenues par une assiette intuitive. J’aurais pu souligner qu’il faudrait « manger bio », mais voilà qui marque aussi son appartenance à un groupe de bien-pensants. Les nourritures vraies (par association phonétiques avec « frais ») sont tous ces aliments frais, de source saine, sans résidus à la culture ou à la production ,que l’on cuisine chez soi à l’aide de techniques douces. L’adjectif « vraies » est, je vous l’accorde, un peu flou mais il touche l’humain dans sa part de croyances, en la volonté d’authenticité dans ce monde devenu duplique.

Ce choix de titre me permet de penser en positif et de contourner l’injonction négative : « ne mangez pas d’aliments hypermanufacturés, sursucrés, riches en polluants divers et en additifs », ce qui relèverait de la stratégie de la peur. Je préfère la stratégie de la joie : j’offre à mon organisme les aliments les plus nobles, les plus aptes à l’entretenir.

Ma petite cerise sur le gâteau, dans mon livre «Nourritures vraies» (voir quelques extraits ici: https://nourrituresvraies.com/bonus.html ou des posters ici: https://nourrituresvraies.com/infogra.html - extraits qui vous éviteront l'achat du livre...), je ne prévois aucune exclusion si ce n’est celle des aliments hypermanucturés et des plastigraisses, mais j’invite à pratiquer de sages rotations : je ne connais aucune raison démontrée scientifiquement de refuser le gluten, les laitages ou les viandes, mais j’invite le mangeur à les choisir de source première, et à pratiquer de courtes pauses régulières. Les sujets découvriront alors avec étonnement qu’ils assimilent alors quasi tous les aliments que, croyances du monde bio aidant, ils croyaient « toxiques ».

Si vous voulez soutenir l’immunité, si pas reconstruire une immunité défaillante, le premier pas est d’atteindre une proportion de 80% de nourritures vraies au quotidien. Ce qui implique d’acheter des aliments frais et de les cuisiner chez soi. Ancienne célibattante débordée, je sais comme le quotidien peut être un tourbillon. J’ai donc développé la cuisine nature pour les Jules pressés, où je prend le défi de faire cuisiner des aliments frais, variés, sains, sans additifs à des personnes ayant peu de connaissance en cuisine et ne disposant que de 20 minutes par jour en tout et pour tout pour cuisiner. Un peu d’organisation, une bonne dose de planning, un minimum de lectures pour s’informer et zouip, le tour est joué.

La justification théorique de l'utilité de "manger vrai" absolument est aussi l'objet d'un autre billet;

Et enfin, j’en viens au sujet qui fâche… dans un premier temps. Mentalement, vous vous braquerez, j’en suis quasi sûre. Si vous vous offrez la possibilité de tester ce que je vais proposer, ne fût-ce qu’une semaine, c’en sera fini du braquage mental. Car votre corps vous remerciera, vous entendrez vos cellules chanter et vibrer, vous en redemanderez.

Nous mangeons trop, de tout, tout le temps. Une technique bien connue est de jeûner régulièrement quelques jours, technique dont on a pu démontrer à quel point elle est souveraine pour rallumer de vieux feux dans vos défenses naturelles. Je propose ici une autre façon d’obtenir le même résultat : pratiquer un semi-jeûne deux jours par semaine ou un jour sur deux. Le rythme dépend de vous. Le jour de semi-jeûne, vous ne mangerez que peu en quantité et en calories, l’équivalent du quart de ce qui vous est habituel. La diète est connue sous le libellé « 5/2 » (5 jours gras, 2 jours maigres). J’ai formalisé cette technique en Stop & Go dans mon livre « Au-delà des régimes », j’y ai ajouté le concept de nourritures vraies et de choix alimentaires selon son profil individuel. Voir des extraits ici: https://audeladesregimes.com/bonus.html ou des posters: https://audeladesregimes.com/infogra.html.

Il reste un autre point clé, qui fera l’objet du billet suivant : comment éviter les polluants environnants, qui font de notre eau d’aquarium un véritable marécage et qui sapent les fondements de nos défenses naturelles.

Je résume les clés pour une immunité retrouvée ou dynamisée, sans ajout extérieur, sans dépenses excessives:

• calme nerveux et psychologique par toute technique comme la sophrologi

• bouger en plein air

• respirer à pleins poumons

• entretenir les liens affectifs, toucher l’autre, caresser un animal de compagnie

• se confronter aux microbes, ne pas tout désinfecter

• se prémunir des pollutions diverses, parmi lesquelles la pollution électromagnétique (billet suivant)

• nourritures vraies (https://nourrituresvraies.com/)

• Stop & go 2 jours sur 5 ou un jour sur 2 (https://audeladesregimes.com/bonus.html)

Un médecin, un naturo, un praticien de l’ayurveda vous proposera probablement des ajouts thérapeutiques. Je ne suis pas praticienne, je vous ai exposé ici ce qu’un profane peut mettre en place, sans révolution familiale, pour s’assurer une belle et bonne immunité.

Je ne suis pas naturo, je ne valide même pas la plupart des théories naturo (parce que théories, justement - les naturopathes sont de grands praticiens du postulat). Je suis une profane spécialiste des maladies par son historique personnel, qui a découvert comment devenir spécialiste de la santé. Je ne vois QUE la théorie du terrain qui soit efficace sur ce plan. Je ne connais personne qui reste en bonne santé grâce aux médicaments. Parmi les soixantenaires lumineux, je vois soit des personnes à la santé hors pair (qui ne se médicamentent donc pas, même à l'âge de la retraite), soit des personnes qui pratiquent ce que je viens de décrire.

La médecine allopathique n'est efficace qu'en cas de crise passagère. Elle n'apporte aucune solution pour le moyen et long terme. On peut donc marier les deux: utiliser l'allopathie si l'on veut, en cas de maladie critique ou d'opération; utiliser la théorie du terrain pour construire une santé résiliente.

 

Au sujet de la phobie des microbes

Je milite pour défendre nos libertés fondamentales sur ce compte depuis quelques mois. J’ai choisi cette posture politique plutôt que de me concentrer sur l’idéologie médicale officielle – dont je me distancie par pur empirisme personnel. En gros : « je ne suis pas sûre de croire aux virus » - ce qui ne manque pas de provoquer moult débats entre amis. Le sujet des libertés était déjà assez polémique, que serait-ce si je rajoutais une couche de questionnements encore, me disais-je… Eh bien, je m’y risque aujourd’hui.

J’écris ceci comme profane pour des profanes, en forme d’ouverture vers une autre forme de vision sanitaire.

Je suis foncièrement rationnelle, dans une autre vie je ferai ingénieur. La logique, les faits, les observations me confirment que la théorie de Pasteur qui est l’idéologie officielle ne tient pas la route face au réel – face à ce que j’ai vécu, jusqu’ici, dans ce corps-ci, malade depuis sa naissance et enfin résistant passé ses 50 ans. Je ne parle donc que pour moi.

Toute mon histoire de santé est le témoin que la théorie du virus est faible, si ce n’est indéfendable. Mon historique donnerait plutôt raison aux partisans d’Antoine Béchamp (un « camp » opposé aux idées pasteuriennes). Je laisse à tous mes amis leur position pasteurienne, je leur demande de respecter ma posture à la Béchamp.

C’est un très gros dossier, partagé par quantité d’homéopathes et naturos, j’ai longtemps cherché un document qui exposerait cette hypothèse simplement. Lorsque je donnais mes formations en « Profilage alimentaire », il était essentiel que je le fasse comprendre aux élèves non-naturo : mon approche pragmatique en « profilage » n’a de sens que si l’on accepte qu’il existe une autre façon de voir le réel que de dire « le virus m’a tuer ». Non, le virus n’est pas tout. Comme l’expose le docteur André Fougerousse dans le document ci-après, « Hommage a mon ami André Passebecq - au sujet de la phobie des microbes » :

« Ce sont (…) nos terrains déséquilibrés qui sont responsables des maladies qui nous touchent, et pas les microbes et virus ! Ces derniers ne font que se développer sur des terrains qui leur sont momentanément favorables. Il est illusoire de vouloir guérir le malade en tentant de les exterminer, car ils ne sont pas directement responsables, et ils sont capables de changer de forme pour aller se mettre à l’abri !! »

En outre « (…) bactéries, mycéliums (champignons) et virus sont des formes interchangeables, réversibles ( poly- ou pléomorphisme ), chaque fois que les caractéristiques du terrain se modifient » - ce qui rend particulièrement caduque la « chasse au virus et à lui seul».

Extrait en texte clair de ce document « Hommage a mon ami André Passebecq - au sujet de la phobie des microbes » accessible en pdf ici : https://www.taty.be/audits/phobiemicrobes_fougerousse.pdf.

Il y expose les théories des fondateurs de cette vision holistique : le Prof. Antoine BECHAMP, Louis Claude Vincent (bio-électronique), Corentin Louis KERVRAN.

« Avec quelques collègues et amis, nous avons créé en décembre 2011 une association dénommée ‘’ association BEVINKER ‘’, dont on m’a confié la Présidence.

(…)

Les membres fondateurs sont particulièrement indignés par la façon dont le monde scientifique a décidé d’ignorer les résultats fondamentaux des travaux incriminés (pourtant faciles à reproduire), ce qui relève d’une singulière et coupable malhonnêteté intellectuelle.

Les travaux fondamentaux du Prof. Antoine BECHAMP (Réf. 1), commencés à l’Ecole Supérieure de Pharmacie de Strasbourg (en 1851), ont vigoureusement remis en cause les interprétations de Louis PASTEUR, ce dont témoignent les Compte- Rendus de l’Académie des Sciences de l’époque (Réf. 2). Ces travaux ont fait l’objet d’une thèse soutenue par Madame Marie NONCLERCQ, Pharmacien, le 21 décembre 1981, devant la Faculté de Pharmacie de Strasbourg, et rendue publique en 1982 (Réf. 3, 4).

(…)

Il est dès lors inadmissible que ce travail de référence ne soit pas cité dans les mémoires bibliographiques des candidats médecins et pharmaciens, des chercheurs, parus depuis 1982, ce qui implique que tous les travaux relatifs aux microorganismes, qui négligent volontairement Antoine BECHAMP, sont entachés de grossières erreurs d’interprétation.

(…)

Les microbes sont à la base de toutes les structures vivantes (il est aujourd’hui reconnu que nous renfermons dix fois plus de bactéries que de cellules), et ils ne demandent qu’à vivre en harmonie, pour le bénéfice de tous les écosystèmes, de toute la biosphère.

Les charger de tous nos maux, prétendre qu’ils sont programmés pour nous détruire, et chercher à les exterminer sont d’une incommensurable absurdité, qui nous conduit à altérer et à dégrader de façon irréversible les structures intimes de la nature humaine, que nous léguons dans un triste état à notre descendance !

Nous avons tout intérêt à faire preuve de plus d’humilité devant les limites de nos connaissances, et d’accepter les complémentarités qui nous lient à l’univers bactériel, en commençant par interpréter avec plus de discernement, dans le monde vivant, les manifestations simultanées de phénomènes concomitants, et les relations de cause à effet.

Notre démarche relève de la logique des lanceurs d’alerte. «


Voir le chapitre "Sortir de l'impasse" - voir la table des matières du dossier
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