Page 23 du dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), début 2020. Depuis mars, j'ai l'impression de faire un stage dans une secte, où le gourou impose certains termes, certains phrasés et surtout certains rituels. On ne peut même plus penser ce que l'on veut, se gérer comme on veut. Ce qui était désiré par certaines élites auparavant est désormais devenu un mot d'ordre, enfin dévoilé: tout le monde au pas, qu'aucune tête ne dépasse. Le vaccin est notre graal.
Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement.
Avis au lecteur, 30/11/2020: ce sont encore des billets collés les uns derrière les autres.
Les liens seront établis sous peu, pour un texte suivi.
Nous sommes beaucoup à être choqués face aux «white supremacists». Pourquoi accepter avec tant de facilité les sciento-suprémacistes?
L’apport de la science remplit UNE facette du réel, merci aux scientifiques de contribuer ainsi à la connaissance du monde.
En faire TOUT le réel revient à pratiquer de l’hégémonie.
Le druide Panoramix de nos bandes dessinées s’appellerait aujourd’hui Hégémonix.
Depuis mars, j’ai l’impression encore bien plus forte qu’avant de faire un stage dans une secte, où le gourou impose certains termes, certains phrasés et surtout certains rituels. On ne peut même plus penser ce que l’on veut, se gérer comme on veut.
Ce qui était désiré par certaines élites auparavant est désormais devenu un mot d’ordre, enfin dévoilé: tout le monde au pas, qu’aucune tête ne dépasse. Le vaccin est notre graal.
Je propose qu’on utilise ce nouveau terme de sciento-suprémacistes. Ce billet n’est qu’un premier jet, mais déjà je me sens en amour avec ce nouveau mot.
Le dialogue qui suit est extrait de «Knock ou le Triomphe de la médecine», de Jules Romains - bien connu par l’interprétation de Louis Jouvet. Je l’ai vu passer dans un article de Jean-Paul Brighelli et je lui trouve très bonne figure dans le contexte actuel: «tremblez, bonnes gens, le circus virule et vous n’êtes que des fétus de paille, il ne fera qu’une bouchée de vous».
«KNOCK : Ce que je n’aime pas, c’est que la santé prenne des airs de provocation, car alors vous avouerez que c’est excessif. Nous fermons les yeux sur un certain nombre de cas, nous laissons à un certain nombre de gens leur masque de prospérité. Mais s’ils viennent ensuite se pavaner devant nous et nous faire la nique, je me fâche. C’est arrivé ici pour M. Raffalens.
LE DOCTEUR : Ah ! le colosse ? Celui qui se vante de porter sa belle-mère à bras tendu ?
KNOCK : Oui, il m’a défié près de trois mois… Mais ça y est.
LE DOCTEUR : Quoi ?
KNOCK : Il est au lit. Ses vantardises commençaient à affaiblir l’esprit médical de la population. «
Le film de Guy Lefranc (1951), avec Louis Jouvet, est en vision gratuite. Faites-vous plaisir!
J’ai extrait quelques instants savoureux du film en vision libre: https://www.youtube.com/watch?v=F0LTkqgctFA. Extraits que j'ai publiés ici:
On n’oserait pas, en pleine crise hospitalière, et pourtant j’ose. Sur base d’un cas célèbre:
«Boris Johnson, 55 ans, a été admis à l’hôpital St Thomas de l’autre côté de la Tamise, venant de la Chambre des communes dimanche soir, après avoir souffert de symptômes persistants de coronavirus, y compris une température élevée et une toux, pendant plus de 10 jours. Mais son état s’est rapidement détérioré au cours des 24 heures suivantes, et il a été transféré lundi dans une unité de soins intensifs, où les cas les plus graves sont traités, au cas où il aurait dû être mis sous ventilateur. Il était toujours conscient, a déclaré son bureau.»
Vous avez noté comme moi que, similaire à tant et tant d’autres cas, le patient s’est aggravé dès lors qu’il est entré à l’hopital? Attendons quelques mois qu’on puisse analyser les circonstances, qu’on découvre quel traitement quel pays a favorisé en hopital, quel environnement électromagnétique était actif, etc. Je gage que si Johnson était resté chez lui, avait laissé la fièvre faire son travail, avait jeûné (eh oui, la ringarde avec ses remèdes de grand mère) et arrêté de bosser, ou avait pris de la chloroquine et un antibiotique, il s’en serait sorti sans hospitalisation. Comme nous le faisons tous avec les grippes saisonnières. Mais les circonstances... mais la surmédicalisation...
Je n’ai rien à dire sur Johnson en particulier, mais cela défie mon entendement que, d’un même coeur, TOUS les medias répercutent cette chanson de l’hospitalisation inéluctable. Sans mentionner l'immunité naturelle, le fait que le gars est probablement en syndrome métabolique (forme de prédiabète) si l'on en juge par quelques critères extérieurs, etc. Enfin, le contexte, quoi!
Culture générale du dimanche: une journaliste allemande enquête sur l’OMS et ses décideurs (en partie basé sur l’après première «campagne médiatique» ratée pour nous faire paniquer sur la grippe 2009). Ceci est le trailer, en sous-titres français: https://www.youtube.com/watch?v=fB-VQ-dNxxs. Quel courage elle a, voir les menaces même pas voilées du fonctionnaire mafieux à la minute 1.19
J’ai trouvé la version française sur primevideo.com, je regarde en filant la laine et «je vous dis quoi»
Dites, m'sieur, nous, on veut vraiment ne pas y croire, vous savez. Croire à quoi? Ben, à une forme de préméditation...
Le film «Hérissons» a été publié en 2016 par des réalisateurs chinois et parle d’un virus respiratoire chez les humains.... pensé initialement avoir commencé chez les animaux.
Citation exacte de la fin :
«Je suis heureux d’annoncer que nous avons découvert un vaccin ! Nous n’avons plus à vivre dans la peur ; chacun peut revenir à sa vie normale.» Littéralement. Un film pour enfants. A propos des vaccins qui sauvent l’humanité.
Capture d’écran: tout le monde enlève ses masques en annonçant qu’un vaccin a été découvert:
J'ai aussi en stock une bd financée par la bureaucratie européenne, qui montre une pandémie, grrrraaaave, et le sauvetage parce que nous agirons tous ensemble, unis (sous-entendu accueillant ainsi la gouvernance mondiale). Me rappelle plus: vaccin, traçage, etc. J'ai retrouvé le lien, je ne le vois qu'en anglais: https://op.europa.eu/en/publication-detail/-/publication/4cc2ea93-d003-417e-9294-1103a6ee877d<
Ecouter la vidéo ci-contre https://www.youtube.com/watch?v=ejqgV0Vzryk ou faire soi-même le petit travail extrêmement rigolo de cocher les cases sur la dérive sectaire que pointe Céline Rouge: les récentes mesures arbitraires de nos élus font-elles de chaque gouvernement une secte? En utilisant les principes que je copie ci-dessous.
J’aime particulièrement quand dans la vidéo l’animatrice rappelle que les sectes commencent leur emprise en imposant des rituels qui semblent anodins, souvent absurdes.
Merci à Jorge d’avoir relayé. J’avais entamé un chapitre «On est enrolés de force dans une secte médicale» dans mon dossier "Le circus virule" (https://taty.be/articles/CVD_tdm.html). Voici qui le nourrira bien!
Le document original, commenté dans la vidéo, est ici: https://www.unadfi.org/rubrique/cles-pour-comprendre/la-notion-de-derive-sectaire
«Les dérives sectaires se caractérisent par la mise en œuvre de techniques d’emprise, de pressions ou de menaces, ou par des pratiques favorisant le contrôle sur les personnes et les privant d’une partie de leur libre arbitre. Elles ont pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter, chez une personne, un état de sujétion psychologique ou physique ayant des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage voire pour la société.
Pour définir la dérive sectaire et apprécier sa dangerosité, des critères ont été établis sur la base de différents travaux d’experts et des différentes commissions d’enquête parlementaire.
Le détail (https://www.unadfi.org/cles-pour-comprendre/la-notion-de-derive-sectaire/caracteristiques-des-sectes-selon-l-unadfi/):
Pour qualifier un groupe de « secte », on retiendra le critère de la nocivité ou de l’extrême dangerosité du groupe par la conjonction de trois caractéristiques : la manipulation mentale, une triple destruction, et une triple escroquerie.
La manipulation mentale
– Endoctrinement.
– Contrôle de la pensée.
– Mise sous dépendance
– Pressions
Cette manipulation utilise trois registres de techniques :
– la technique cognitive : à partir d’un message séducteur mais réducteur, l’adepte est soumis à un véritable bourrage de crâne, (multiples réunions, cours, stages, séminaires, études, lectures, auditions de cassettes, prières) qui vont lui faire perdre progressivement son esprit critique en ce qui concerne les théories, méthodes et pratiques de la secte.
– la technique comportementale, bien connue des psychologues ou des psychiatres, qui consiste à faire accomplir des actes anodins au départ, mais de plus en plus accaparants, qui provoquent une soumission et une dépendance, entraînant une perte du libre arbitre.
– la technique affective : les adeptes passent par trois phases, – la séduction par le message, le leader, le groupe, – la destruction psychologique, – la reconstruction selon les normes du groupe.
Une triple destruction
Une destruction de la personne, sur les plans :
– Physique : alimentation carencée, manque de sommeil, travail intensif, traitements médicaux dangereux …,
– Psychique : altération de la personnalité, du comportement et de l’esprit critique,
– Intellectuel : rétrécissement des champs de connaissances extérieures à la secte,
– Relationnel : régression des capacités de communication, coupures avec les proches,
– Social : rupture avec la société,
Une destruction de la famille :
– Attaques, injures, calomnies.
– Eloignement imposé ou suggéré, rupture de la relation parents-enfants.
– Séparations, divorces induits.
– Embrigadement des enfants et obstacles à leur socialisation.
Une destruction de la société :
par une stratégie d’ingérence, d’infiltration, soit par une stratégie du désert :
– Soit en demandant à des adeptes d’infiltrer tous les réseaux de la vie économique, politique…
– Soit en pratiquant diverses illégalités pour l’expansion du groupe.
– Soit en empêchant les adeptes d’exercer leur citoyenneté en participant à la vie sociale, culturelle et civique de leur pays.
Avec à la base, une triple escroquerie
– L’escroquerie intellectuelle : l’adepte est littéralement trompé sur la qualité de la marchandise qu’il venait chercher. Le message séducteur de la secte se révèle réducteur et destructeur.
– L’escroquerie morale : si elle n’est pas générale dans toutes les sectes, de nombreux adeptes ont été ou sont victimes d’abus en tous genres.
– L’escroquerie financière : par leurs manoeuvres frauduleuses, les sectes parviennent à constituer de véritables empires financiers.
Je partage ci-dessous un relais fb d'Isa Joffre, en appelant au code de Nurenberg pour nous protéger d'une éventuelle vaccination obligatoire "pour notre bien".
Contraire aussi au code de Nuremberg, outre les vaccins discutés ci-dessous, les deux initiatives d'apprenti sorcier:
1/ le récent déploiement de la 5G sans évaluation biologique sur le vivant
2/ et le largage prochain de Frank-insectes dans notre environnement, aussi sans évaluation biologique préalable ni consultation publique (bioingénierie OGM voir ici: https://www.pollinis.org/publications/insectes-ogm-issus-du-forcage-genetique-pollinis-pointe-de-graves-lacunes// - Des laboratoires envisagent de lâcher dans les champs des insectes OGM issus du forçage génétique, conçus pour imposer leurs modifications à toute une population, voire une espèce. Dans le cadre d’une consultation publique lancée par l’EFSA, POLLINIS s’alarme des risques démesurés et demande un débat public. L’association réclame par ailleurs un moratoire d’urgence.)
NB: et qui trouve-t-on dans le lobbying du forçage génétique? Vil gates soi-même! La preuve que c'est pour votre bien...
NB2. Ben oui on dégaine notre Nurenberg, c'est pas excessif si l'on juge "qu'en face" la méthode est lourdingue et vicieuse en même temps
Isa Joffre:
« La vaccination obligatoire, qui revient à une expérimentation humaine sans consentement, est contraire au Code de Nuremberg », expliquait Mary Holland, docteur en droit et professeur d’Université à la tribune des Nations Unies, le 4 mai 2016.
En effet, à la suite des atrocités médicales nazies, le monde a adopté le Code de Nuremberg qui affirme que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ».
Le pacte international relatif aux droits civils et politiques souligne également l’interdiction de l’expérimentation dans son texte de 1966.
Il stipule : « Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. »
Opposer le Code de Nuremberg et le pacte des droits civils et politiques à la vaccination de force est parfaitement approprié.
Nous sommes bien confrontés à une expérimentation humaine de génie génétique d’ampleur mondiale qui comprend deux volets :
1°) le volet chimico-biologique puisque les vaccins contiennent du Phénol, Thimerosal, Mercure, Aluminium, Ethylène Glycol, Formol, Benzetonium, Squalène, SV40, cellules cancérisées, Benzonase, ADN et ARN viraux, Edulcorants, OGM, albumine humaine, antibiotiques sous forme de trace de néomycine, polymyxine B, kanamycine, gentamycine, streptomycine, trométamol.
Ces éléments combinés sont mutagènes et à une certaines doses mortels.
2°) le volet nanométrique puisque les vaccins contiennent des nano-composants de tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…
Les preuves de la présence de ces nanocomposants vaccinaux ont été apportées par les docteurs Antonietta M Gatti et Stefano Montanari pour le Conseil National de Recherche d’Italie.
Les résultats de leurs nano-diagnostics ont été publiés dans l’International Journal of Vaccines le 23 Janvier 2017. (voir Morphéus n°81).
Les résultats de ce nano-diagnostic sur 44 vaccins dont les onze obligatoires sont sur les bureaux de tous les fabricants de vaccins.
Ces derniers, n’ayant aucune réponse scientifique à apporter, s’empressent de mettre leurs sbires aux postes des ministères de santé publique.
Ils entendent tuer dans l’œuf cette information et prendre des mesures très coercitives pour imposer leurs vaccins.
Protections juridiques. Il existe d’autres protections juridiques par exemple : l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme, le nouveau Code civil qui reconnaît le principe du respect à l’intégrité du corps humain, l’article 36 du code de déontologie médicale, les différents arrêts de la Cour sur l’information transparente due au patient.
Citons aussi la loi Kouchner disant qu’aucun acte médical ne peut être pratiqué sans consentement libre et éclairé du patient. Enfin, l’article 1111 de la santé publique dit que tout citoyen a le droit à la liberté d’accepter ou de refuser un acte médical, et la vaccination est un acte médical.
Cependant, la preuve est faite qu’il s’agit d’une expérimentation vaccinale nano-chimico-biologique sans le consentement des populations, cela relève bien du Code de Nuremberg et du pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Il s’agit donc bien de traduire tous les acteurs de cette folie vaccinale expérimentale devant une Cour de Justice Internationale qu’ils aient réussi ou non à imposer leurs soupes vaccinales…"
Commentaire internaute.
-- "Très intéressant, je n'avais jamais entendu parler de cette technologie de forçage génétique. Voici un article plus nuancé qui parle des applications possibles, limites de la technologie et implications éthiques. Tout n'est pas noir ou blanc et il faut éviter de verser dans le luddisme ;) https://www.nature.com/articles/d41586-019-02087-5"
à quoi je réponds:
-- " Je refuse "la nuance" quand on joue avec la santé de mes enfants, de mes petits enfants et de la vie sur terre. Je respecte votre message, mais c'est grâce à de tels commentaires que les OGMs se sont installés, très rapidement, dès 1996 si ma mémoire est bonne. J'ai lancé à l'époque une campagne d'info. Je parle des vrais manipulations interespèces, pas des hybridations.
Les arguments sont toujours nobles, comme "On luttera contre la famine, etc" pour les OGMs. Résultat en Inde par exemple: des centaines de milliers d'agriculteurs suicidés (oui! centaines de milliers!), après avoir perdu leurs récoltes.
Pour votre gouverne et votre réflexion, le virus qui met nos démocraties à sang pourrait bien s'avérer issu de forçage génétique (essai de vaccin corona sur fond de vih, échappé de labo). Voilà ce que peut produire le largage dans l'inconscient collectif de ces inventions d'apprenti sorciers.
J'assume ma posture de néo-luddite (selon le terme de Roszac: "Cult of information"). Je suis une geek, une fana de nouveautés, fan de biochimie depuis l'adolescence: mais je refuse qu'on joue au petit chimiste avec le vivant.
Depuis quelques jours, j’ai des crampes au ventre, la nuit, le jour, tout le temps, que je mange ou pas. Je connais la part de somatisation, quand on respire une ambiance aussi anxiogène. Je sais pourtant qu’au plan physique je peux calmer rapidement ces douleurs.
Que fais-je au plan physique ?
1. Je connais les postures de yoga (appelez-le stretching si le terme yoga dérange) qui soulagent ma bidoune. Dont acte deux fois dix minutes par jour.
2. J’utilise la bonne vieille bouillotte de nos grands-mères, souveraine pour calmer les tensions.
3. Je pratique 3 * 3 minutes de cohérence cardiaque par jour, technique dont je sais qu’elle calme le circuit du cortisol, directement lié au stress et à l’anxiété.
4. Je prends des gélules d’origan en huile essentielle, dont j’ai pu tester depuis le temps l’efficacité sur ces crampes. Si j’avais trouvé un médicament classique aussi efficace, je le prendrais. Les huiles essentielles ne sont pas une religion chez moi.
5. Je me repose couchée un quart d’heure toutes les deux heures, pour lire, ce qui est une autre technique antistress et réparatrice.
6. Si mon homme est là, je lui demande une application des mains sur la zone douloureuse, ce qui est souvent bénéfique.
7. Je sais les aliments que ma bidoune n’aime pas, mais alors vraiment pas du tout, parmi les nourritures vraies et saines : quasi tous les légumes et les fruits, même lorsqu’ils proviennent de mon propre jardin. C’est mon profil, atypique je l’accorde. J’ai mis assez de temps à l’accepter, vu qu’il est diamétralement opposé à ce que je prêche dans mes livres. Pendant le temps de guérir ces tensions, exit donc tous les légumes et tous les fruits.
8. Je suis bien consciente de ma fragilité mécanique aux fibres dures, en particulier celles des légumineuses, des oléagineuses et des céréales complètes. Exit ces dernières.
9. Rescapée d’une maladie autoimmune grave des intestins, je sais quels types de molécules entraînent l’irritation chimique (et non plus mécanique, comme avec les fibres) : le lactose, le saccharose et le maltose. Je ne prends donc que des fromages affinés, exempts de lactose ; du miel sans saccharose et le moins de farineux possibles (tous riches en maltose).
En quelques jours, je sais que les crampes seront calmées, même si le l’agent stressant est toujours présent.
NEUF points d’entrée pour soigner, en outre individualisés. Et on voudrait qu’on ne guérisse du corona qu’avec un antiviral, ou qu’on se protège avec un seul vaccin ? Le même programme pour tous?
Vous comprenez pourquoi, vu d’ici, on a l’impression d’être enrolés dans une secte médicale: une seule voix, la parole du gourou, simplifiée à l’extrême et répétée comme une prière lancinante par tous les medias.
Svp ne commentez pas sur l’une ou l’autre technique, mais bien sur le fond: on nous désapproprie de notre santé, de notre corps, de notre immunité. L’historiette ne sert qu’à illustrer le propos par la pratique, je l'ai inventée, je n’ai plus de crampes merci .
NB. Vidéo = extrait du célébrissime sketch des Inconnus sur la secte de Richnou https://www.youtube.com/watch?v=dOJwGl3yLMU
Nous sommes les otages d’une secte médicale, sauvez-nous! Plutôt: sauvez-vous, sauvez votre corps (le titre d’un livre-clé de la doctoresse Kousmine).
Si vous aimez l’approche classique, interventionniste, du monde médical «je sais mieux pour vous», ne lisez pas la suite. Vous seriez perturbé. Restez dans cette approche, qui vous a convenu jusqu’ici.
Si en revanche vous préférez vous réapproprier votre santé, vos sensations, avec l’aide des médecins classiques ou homéo, mais en toute autonomie et en conscience, en étant maître de vos rouages personnels, ce billet est pour vous.
Si vous voulez savoir comment faire, lors de la prochaine épidémie (je continue à refuser de jouer le jeu fictif d’une «pandémie»), pour vous protéger, vous-même et vos proches, voici quelques idées, en plusieurs billets.
Le premier a trait à l’immunité et au stress.
Vous avez certainement lu via les réseaux sociaux des billets de naturopathes, rappelant comment booster ses défenses naturelles avant ou pendant une épidémie. Je n’ai rien vu de tel dans les médias, je n’ai rien entendu sur le sujet dans le discours de nos élus.
Nos chers élus: en Belgique en particulier, nous sommes résignés à ce qu’ils ne soient plus que des relais économiques pour l’industrie, néolibéralisme oblige. Je n’en attends pas grand chose. Mais on aurait imaginé un peu plus de créativité ou de réactivité de la part des médias classiques.
Ces derniers ont raté une belle occasion de nous rappeler que la psycho-neuro-immunologie PNI est une science neuve mais bien documentée: elle explore les interactions entre l’immunité, le système nerveux et la psychologie du sujet. Le cinéaste Alain Resnais a mis en image les concepts développés par Laborit sur le sujet il y a près de cinquante ans (le film «Mon oncle d’Amérique»). Le docteur David Servan-Schreiber a publié un best-seller où il citait quantité d’études sur le sujet et leur impact sur la guérison (son livre «Guérir le stress, l’anxiété, la dépression sans médicaments, ni psychanalyse»). De nombreux chercheurs ont déjà démontré à quel point nos défenses naturelles sont fonction de nos gènes (nous ne sommes pas tous égaux, je suis là pour en faire la preuve, ma santé déplorable en étant témoin), de notre historique de vie, de notre alimentation et hygiène de vie mais surtout de notre tonus psychique et de notre état nerveux.
La PNI a été suggérée sous un autre terme par Hans Selye dans les années ’20. Nous avons beaucoup progressé. La dernière vague de recherches a été motivée par la première guerre du Golfe et les innombrables bras cassés qui en sont revenus, sans que l’on puisse relever aucune atteinte physique, alors que leur état de santé était déplorable. Auparavant, c’étaient des femmes qui somatisaient au principal; or on sait bien que total mulier in utero, n’est-ce pas. C’était «de l’hystérie». Mais quand des braves soldats ont marqué les mêmes signes, là, plus d’utero qui tienne, les fonds ont été libérés pour évaluer ce qui pouvait bien expliquer leurs troubles physiques lorsqu’ils n’étaient générés que par des agents stressants. Et pas par des tirs de balle ou des chutes.
J’extrais ci-dessous quelques paragraphes de mon livre sur l’épuisement chronique : « Quand j’étais vieille » (https://quandjetaisvieille.com). La plupart des cas de ce qu’on appelle burn-out sont victimes d’une maladaptation aux divers stress modernes. Adaptez ce que j’y écris à ce que vous vivez aujourd’hui, toutes proportions gardées. Le texte est illustré en format image en annexe.
Quel que soit l’historique de cette branche médicale qu’est la PNI, plus aucun médecin ou spécialiste ne peut ignorer l’impact de la gestion du stress dans l’intégrité de nos défenses. Or, les « experts » de notre comité scientifique (pardon pour les guillemets, mais j’ai bien du mal…) ont décidé des mesures arbitraires en mars, sans fondement scientifique autre que leur doigt mouillé, mesures comme le confinement aveugle. Ce confinement brutal, mal expliqué, non justifié autrement que par un mythique écrêtement d’une courbe tout aussi mythique (j’ai assez glosé sur le sujet au début, dans mes billets) a mis le citoyen dans le même état qu’un rat de laboratoire qui ne peut ni fuir ni lutter. La recette parfaite pour plonger le péquin dans un état de sidération et un blocage de son immunité naturelle. Les mêmes experts ont découvert avec joie au fil des mois qu’ils pouvaient jouer avec le citoyen comme avec un rat de laboratoire, en instillant de la peur, si pas de la terreur, au quotidien, par medias interposés. On rajoute une couche de blocage immunitaire par voie psychologique : la peur permanente est le pire ennemi de votre immunité.
Je ne peux en vouloir à tous mes camarades qui répètent l’antienne du gouvernement, sans esprit critique, et en total contresens avec la réalité; qui iraient même jusqu’à demander un nouveau confinement alors qu’on a vu que, dans les faits, il provoque plus de mortalité. Ils se défendent avec leurs propres armes : pour soutenir leur immunité qu’ils sentent en danger, ils dévient la peur en s’alliant au maître, comme un rat de laboratoire lècherait la main de son laborantin, en une forme d’adhésion qui neutralise ses émotions profondes. Chacun se sauve comme il peut. Je ne peux le leur reprocher, mais je n’ai pas cette arme-là. En revanche j’ai appris à me défendre autrement.
Vu que nous ne sommes plus protégés par les instances habituelles, organisons notre protection. Apprenons à nous prémunir des agents stressants, à faire face.
D’abord comprendre le phénomène, voir les nombreux textes sur le sujet ou le mien propre ci-dessous et en images.
Ensuite, il s’agit de trouver ce qui, chez vous, ici et maintenant, permet de tenir l’agent stressant à distance. Pour l’un, l’oxygénation et le sport seront souverains. Pour l’autre, la méditation, la sophrologie et le yoga sont les remèdes. Pour un dernier, un sommeil profond, long, à heures régulières est tout ce qu’il leur faut pour faire face au stress. Pour ma part, je le garde à distance en… comprenant le contexte, tout simplement (d’où mes longs billets) et en jardinant.
Demain, j’explorerai d’autres pistes pour construire une immunité saine. Celle-ci devait être la première dans mes billets car, vu la terreur instillée par les déclarations officielles et les médias, nous sommes tous aux premières loges pour tomber dans une forme d’immunité déficiente. Il nous faut d’urgence nous protéger.
Pages 45 & 46 de mon livre « Quand j’étais vieille », illustrées par les images en annexe:
***Psycho-neuro-immunologie***
Quel que soit l’organe ou la glande endocrine (thyroïde, surrénales...) qui chante le plus faux, on observe chez les épuisés chroniques une base commune de troubles psychiques, nerveux et immunitaires. Certains se plaignent d’une sensibilité parfois extrême à tout stimulus un peu fort, sensibilité proche de celle que l’on vit lors d’autres chamboulements hormonaux (adolescence ou grossesse) : la télévision qui épuise, un bruit de fond qui scie les nerfs, l’aspirateur qui met en boule, le coup de klaxon qui fait pleurer — tous ces éléments d’un environnement urbain moderne que l’on supportait sans même les noter auparavant.
L’homme de nos jours possède les mêmes organes et les mêmes glandes que l’être humain d’il y a des centaines et des milliers d’années. À cette époque, les chocs auxquels ces glandes étaient supposées répondre par la production d’hormones étaient la protection du territoire, le manque de nourriture, la menace des bêtes sauvages, le manque de feu, etc. Aujourd’hui la nature et la quantité des stress a bien changé : tous les jours, nous sommes confrontés à un tigre de papier. Des micro-stress, peu décelables à l’œil, mais reçus comme tels par l’organisme s’accumulent… On se bétonne … mais on en arrive parfois à un trop-plein.
Encadré: Un agent stressant pourra stresser l’un et pas l’autre, ou pourra déclencher un stress chronique chez l’un et pas chez l’autre.
***Hyposurrénalisme***
Une réaction à un stress chronique peut résulter, comme l’a démontré le chercheur Selye (image annexe), en une inhibition de l’action : impossibilité ou difficulté à faire face à un agent stressant. Le sujet s’écroule au lieu de fuir ou combattre (le fight or flight des anglophones). Les surrénales se sont vidées et ne peuvent plus gérer le stress.
Un agent stressant peut être un méchant patron qui vous fait crouler sous la tâche aussi bien que des micro-stress répétés : trop de bruit, de la dioxine en pagaille, de la pollution électro-magnétique et... trop d’additifs ou de produits allergisants tous les jours. Je cite quelques déclencheurs classiques page suivante.
Ne nous trompons pas de cible : toute agression sur le système peut être un agent stressant, mais elle n’est pas nécessairement responsable de votre état, elle n’a été qu’un élément déclenchant. C’est votre réponse personnelle à un agent stressant qui compose le stress.
Certain sujets épuisés sont arrivés dans un tel état qu’ils sont devenus adrénalinorésistants, blocage qui vient s’ajouter à leur insulinorésistance et à leur possible leptinorésistance. Quel enjeu de remonter ces obstacles dans l’autre sens...
Encadré. Les symptômes du burn-out semblent être aussi la manifestation extérieure d’un trouble plus profond de déphasage glandulaire. Personne ne peut vraiment pointer l’organe qui débloque.
Deuxième épisode de la série «je développe ma propre immunité». Toujours à l’intention de mes congénères qui veulent se réapproprier leur santé, réhabiter leur corps et refusent le hold up médicocratique actuel.
Vous pensiez que j’allais aborder le volet alimentaire, vu ma profession? Eh bien non, il y a mieux à faire d’abord.
Par exemple, se frotter à des virus, bactéries, champignons, afin de garder l’immunité bien vive. Respirer à pleins poumons, par exemple. Et accepter l’Autre sous toutes ses formes y compris microbiennes (sans prendre de risque, comme se lécher les doigts après avoir farfouillé dans la poubelle, bien sûr).
Lire par exemple https://www.msn.com/en-gb/news/coronavirus/lockdown-and-social-distancing-could-make-our-immune-system-weaker-says-scientist/ar-BB162J0W. Le confinement et la distanciation sociale pourraient affaiblir notre système immunitaire. Les gens qui ne sont pas exposés aux germes ne développent pas de défenses qui pourraient les protéger contre de futures pandémies, avertit une épidémiologiste d’Oxford (la formidable professeur Gupta dont j’ai déjà relayé le courage fin mars).
Je milite pour défendre nos libertés fondamentales sur ce compte depuis quelques mois. J’ai choisi cette posture politique plutôt que de me concentrer sur l’idéologie médicale officielle – dont je me distancie par pur empirisme personnel. En gros : « je ne suis pas sûre de croire aux virus » - ce qui ne manque pas de provoquer moult débats entre amis. Le sujet des libertés était déjà assez polémique, que serait-ce si je rajoutais une couche de questionnements encore, me disais-je… Eh bien, je m’y risque aujourd’hui.
J’écris ceci comme profane pour des profanes, en forme d’ouverture vers une autre forme de vision sanitaire.
Je suis foncièrement rationnelle, dans une autre vie je ferai ingénieur. La logique, les faits, les observations me confirment que la théorie de Pasteur qui est l’idéologie officielle ne tient pas la route face au réel – face à ce que j’ai vécu, jusqu’ici, dans ce corps-ci, malade depuis sa naissance et enfin résistant passé ses 50 ans. Je ne parle donc que pour moi.
Toute mon histoire de santé est le témoin que la théorie du virus est faible, si ce n’est indéfendable. Mon historique donnerait plutôt raison aux partisans d’Antoine Béchamp (un « camp » opposé aux idées pasteuriennes). Je laisse à tous mes amis leur position pasteurienne, je leur demande de respecter ma posture à la Béchamp.
C’est un très gros dossier, partagé par quantité d’homéopathes et naturos, j’ai longtemps cherché un document qui exposerait cette hypothèse simplement. Lorsque je donnais mes formations en « Profilage alimentaire », il était essentiel que je le fasse comprendre aux élèves non naturo : mon approche pragmatique en « profilage » n’a de .sens que si l’on accepte qu’il existe une autre façon de voir le réel que de dire « le virus m’a tuer ». Non, le virus n’est pas tout. Comme l’expose le docteur André Fougerousse dans le document ci-après, « Hommage a mon ami André Passebecq - au sujet de la phobie des microbes » :
« Ce sont (…) nos terrains déséquilibrés qui sont responsables des maladies qui nous touchent, et pas les microbes et virus ! Ces derniers ne font que se développer sur des terrains qui leur sont momentanément favorables. Il est illusoire de vouloir guérir le malade en tentant de les exterminer, car ils ne sont pas directement responsables, et ils sont capables de changer de forme pour aller se mettre à l’abri !! »
En outre « (…) bactéries, mycéliums (champignons) et virus sont des formes interchangeables, réversibles ( poly- ou pléomorphisme ), chaque fois que les caractéristiques du terrain se modifient » - ce qui rend particulièrement caduque la « chasse au virus et à lui seul».
Extrait en texte clair de ce document « Hommage a mon ami André Passebecq - au sujet de la phobie des microbes » accessible en pdf ici : https://www.taty.be/audits/phobiemicrobes_fougerousse.pdf.
Il y expose les théories des fondateurs de cette vision holistique : le Prof. Antoine BECHAMP, Louis Claude Vincent (bio-électronique), Corentin Louis KERVRAN.
« Avec quelques collègues et amis, nous avons créé en décembre 2011 une association dénommée ‘’ association BEVINKER ‘’, dont on m’a confié la Présidence.
(…)
Les membres fondateurs sont particulièrement indignés par la façon dont le monde scientifique a décidé d’ignorer les résultats fondamentaux des travaux incriminés (pourtant faciles à reproduire), ce qui relève d’une singulière et coupable malhonnêteté intellectuelle.
Les travaux fondamentaux du Prof. Antoine BECHAMP (Réf. 1), commencés à l’Ecole Supérieure de Pharmacie de Strasbourg (en 1851), ont vigoureusement remis en cause les interprétations de Louis PASTEUR, ce dont témoignent les Compte- Rendus de l’Académie des Sciences de l’époque (Réf. 2). Ces travaux ont fait l’objet d’une thèse soutenue par Madame Marie NONCLERCQ, Pharmacien, le 21 décembre 1981, devant la Faculté de Pharmacie de Strasbourg, et rendue publique en 1982 (Réf. 3, 4).
(…)
Il est dès lors inadmissible que ce travail de référence ne soit pas cité dans les mémoires bibliographiques des candidats médecins et pharmaciens, des chercheurs, parus depuis 1982, ce qui implique que tous les travaux relatifs aux microorganismes, qui négligent volontairement Antoine BECHAMP, sont entachés de grossières erreurs d’interprétation.
(…)
Les microbes sont à la base de toutes les structures vivantes (il est aujourd’hui reconnu que nous renfermons dix fois plus de bactéries que de cellules), et ils ne demandent qu’à vivre en harmonie, pour le bénéfice de tous les écosystèmes, de toute la biosphère.
Les charger de tous nos maux, prétendre qu’ils sont programmés pour nous détruire, et chercher à les exterminer sont d’une incommensurable absurdité, qui nous conduit à altérer et à dégrader de façon irréversible les structures intimes de la nature humaine, que nous léguons dans un triste état à notre descendance !
Nous avons tout intérêt à faire preuve de plus d’humilité devant les limites de nos connaissances, et d’accepter les complémentarités qui nous lient à l’univers bactériel, en commençant par interpréter avec plus de discernement, dans le monde vivant, les manifestations simultanées de phénomènes concomitants, et les relations de cause à effet.
Notre démarche relève de la logique des lanceurs d’alerte. «
Extase mystique du moment, illogique et irrationnel, on n’est pas sortis de l’auberge. Je relaye ici le touitte d’un médecin qui oublie la réflexion, le respect de chacun, l’étude factuelle des raisons d’agir et qui envoie ses clients chez des druides. Mais c’est toi le druide, mon chéri! On est dans le degré zéro de la démarche scientifique ici.
Je réfléchis tout haut, petit exercice de style pour démontrer que nos élus ne sont pas seuls à cacher un joli petit facho sous leur vernis bien éduqué:
1/ efficacité du masque quand on n’est pas malade? qu’on ne tousse pas?
1a/ quel type de masque? porté comment dans les heures qui précèdent? probablement n’importe comment et donc plus toxique que rien
2/ les personnes à risque portant un masque dans la salle d’attente sont protégées, quel intérêt de forcer les autres non malades à en porter?
Où sont les raisons de virer des patients?
J’ai fréquenté les médecins et les salles d’attente de mes six mois à mes 50 ans. Assidûment. J’étais souvent contagieuse, car j’attrapais tout ce qui passait. On ne m’a jamais accusée de contaminer quelqu’un dans une salle d’attente. Oups, j’ai tué sans savoir, pardon mon père? On ne m’a jamais demandé de mettre un masque, ni des gants.
Et tout soudain....
Cette comédie n’est que l’occasion pour chaque petit Duce en puissance de se révéler enfin.
NB. Depuis mes 50 ans, merci, je ne prends plus de médocs, je ne vois quasi plus de médecin (une consult’ tous les 4 ans). La réforme d’hygiène de vie dès mes 40 ans a mis 10 ans à installer ses effets positifs, ce qui confirme l’adage qui veut que l’on consacre à se requinquer 1/4 à 1/5 du temps passé à se déglinguer.
Lire en fin de billet la transcription du poster.
J’ose même plus: connaissant bien les victimes d’électro ou chimicosensibilité (ECS), je vois chez les personnes se plaignant de syndrome covid long qu’ils manifestent une grande part des troubles physiologiques que l’on observe en ECS.
Ce syndrome s’installe par rupture de tolérance, à la faveur d’un choc (le «TILT» des anglophones, Toxicant‐Induced Loss of Tolerance) : après ce choc, le corps ne supporte plus soit la pollution électromagnétique, soit la pollution par chimie de synthèse interposée, soit les deux!
Le terme de rupture de tolérance est précis: je n’ai pas connaissance de victime d’ECS qui soit revenue à la situation antérieure, qui ait récupéré son état préalable. Ils tamponnent les effets désagréables, sans plus. Ils s’organisent une vie hors de leurs réactogènes personnels, sans plus.
Les victimes de «covid long» ne s’en rendent pas compte, car le jour d’avant ils toléraient très bien les diverses pollutions urbaines. Personne ne leur a pointé que, désormais, ils devront jouer dans la cour des ECS: se protéger de l’esmog, se protéger de l’excès de chimie de synthèse.
En gros, le covid n’est pas la source, il serait parfois le déclencheur d’une forme d’allergie à la modernité.
J’espère qu’on a bien compris que je propose ceci comme UNE des voies de compréhension.
Une autre: il se pourrait que le virus reste dormant, comme beaucoup, et se réveille, comme beaucoup, à l’occasion d’un stress majeur. Il faut connaître la PNI (psycho neuro immunologie, amorcée par Laborit) pour comprendre. Mais on a vu plus d’un cas de borréliose qui ne se manifeste qu’après choc, alors que la piqûre de tique infectée date de plusieurs années. Idem les parasitoses dormantes après voyages lointains: pas de signes, puis choc (accident, deuil, accouchements en cascade...) et bims! les parasites prennent le terrain.
Classiquement on cible alors la borréliose ou la parasitose alors qu’il s’agit plus de requinquer le sujet. Vieux débat en naturologie.
Voir aussi dans https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33144403/ «Long-term sequelae following previous coronavirus epidemics» par Oliver O’Sullivan , Defence Medical Rehabilitation Centre Stanford Hall, Stanford-on-Sour, UK
Traduction automatique: Avant la pandémie actuelle, il y a eu deux épidémies mondiales de coronavirus majeures depuis le début du siècle : le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV) et le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV). Les deux épidémies ont laissé les survivants avec une fatigue, un essoufflement persistant, une qualité de vie réduite et un fardeau important de problèmes de santé mentale
Il est probable que certains des problèmes chroniques rencontrés par les survivants du SRAS et du MERS puissent être pertinents pour la planification médicale des services requis pour les survivants de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) causée par le nouveau coronavirus SRAS-CoV-2. Compte tenu des similitudes entre les maladies, le rétablissement et la réadaptation des survivants de COVID-19 seront probablement axés sur les séquelles cardiopulmonaires, la fatigue et le fardeau psychologique de COVID-19, mais dans une population beaucoup plus large.
Transcription du poster pour les malvoyants:
Syndrome postcovid: les symptomes rapportés dans l’article BBC* du 13/7 “Why are people remaining ill for so long?“
* tableau issu de https://www.bbc.com/news/stories-53368768e
Tous les symptômes pointés par une flèche (beaucoup) se retrouvent quasi systématiquement dans le syndrôme d’épuisement chronique (CFS: chronic fatigue syndrome).
Une maladie virale mal soignée peut être le déclencheur de ce syndrome.
On n’est alors plus dans un post-covid mais dans un franc burn-out grave. Le covid a été l’agent comme l’aurait été un accident ou tout autre choc.
La voie de sortie serait alors une stratégie burn-out (voir mon livre www.quandjetaisvieille.com).
8.12.2020 En temps de corona, la doxa sanitaire des 4 D du gouvernement français: Doliprane, Dodo, Domicile, Décès*.
* la formule est du dr Erbstein
Ou comment le gouvernement français a indirectement tué une partie de sa population. Le terme fort est le mien, le documentaire dont je traiterai ici est bien plus subtil, plus doux.
***Pour accéder gratuitement au film en intégralité, rendez-vous sur https://www.revelation-covid.com/ ***
Tué? Comment qualifier autrement le fait qu’on a interdit des traitements efficaces, ce qui a généré des aggravations de santé et des décès qui étaient parfaitement évitables? Et qu’on n’a jamais médiatisé ou officialisé les indispensables réformes d’hygiène de vie, qui permettent de résister à de tels virus?
Pendant quelques jours, le tout nouveau documentaire sur le méga-scandale sanitaire de 2020 est disponible gratuitement: «MAL TRAITÉS - Covid-19 : comment les patients ont été privés de remèdes efficaces». Ou la face noire de notre système de santé, décortiquée en images qui bougent.
1h 30. Réalisation: Alexandre Chavouet.
Les sceptiques du récit corona n’y apprendront peut-être rien sur la puisssance de marketing d’un Gilead, sur la compromission des élites. Peut-être découvriront-ils les extraordinaires résultats anticovid de certains traitements tout à fait naturels: la vitamine C, la vitamine D, le zinc, les huiles essentielles.
Pour la forme, on est dans le documentaire type 2020 avec musique tintouin. Qu’on oublie vite tant le contenu est passionnant.
Formidable idée de la Fondation Hippocrate** (CH) de faire réaliser un documentaire anti-amnésie, afin que l’on n’oublie pas que notre système de santé préfère désormais les fluctuations boursières des grands labos à notre bien-être. Au passage, l’auteur du documentaire, Alexandre Chavouet et la Fondation Hippocrate (CH) sont amateurs de dons pour tourner la suite.
Ce documentaire est aussi à la gloire d’une autre médecine, de terrain, diverse et respectueuse. Les médecins interrogés présentent les autres solutions intégratives qui auraient pu être proposées.
On y écoutera avec plaisir des praticiens comme les docteurs Erbstein (généraliste), Eric Menat (normal, il est président de la fondation Hippocrate à ce que j’ai vu sur le net - généraliste nutritionniste), Cédric Annweiler (gérontologue), Dominique Baudoux (pharmacien, spécialiste des huiles essentielles), Claude Lagarde (pharmacien, micronutrition), Christian Perronne (infectiologie), Pierre Kory (pneumologie, Wisconsin, vitamine C), Michael Hollick (vitamine D, Boston), etc. Toutes des voix absolument tues dans les media classiques. Hélas! Leur apport est tellement pointu, tellement bien argumenté.
J’ai aimé en particulier la conclusion par chaque intervenant, qui explicite pourquoi, même si je ne rechigne pas à prendre des antibios ou de l’aspirine quand les huiles essentielles ne suffisent pas, je promeus les médecines intégratives de toutes mes forces: j’y trouve un respect de l’autre, des choix thérapeutiques de l’autre, qui est bien manquant dans le domaine de la médecine classique. J’y trouve une ouverture à la biodiversité, une humilité que je rencontre peu dans le monde classique.
Pour accéder gratuitement au film en intégralité, rendez-vous sur https://www.revelation-covid.com/
Vous donnerez une de vos adresses mail (les pourries qui ne servent que pour ce genre d’opération). Vous aurez ainsi accès au film pendant dix jours.
** J’ai dû un peu chercher ceci, qui n’est pas clair sur leur site. «La fondation Hippocrate est une fondation d’utilité publique en Suisse fondée le 26.08.2020 et domiciliée à 1003 Lausanne. Elle a pour buts: promouvoir et soutenir la médecine naturelle et intégrative, préventive et d’accompagnement, ainsi que les thérapeutiques holistiques; de soutenir financièrement les projets de recherche scientifique relatifs à ces thérapies ainsi que les médecins et acteurs qui appliquent et défendent ce type d’approche thérapeutique «.