20.4.23 Si, victime de shedding, vous vous voyez prescrire par le médecin un trio de médicaments dont l'ivermectine, n'ayez crainte: ce n'est pas que pour les chevaux; et c'est sans effet secondaire.
Quand,après contact épidermique avec un vacciné (par pseudovaccin), j'ai une crise de PPR et que je suis quasi paralysée, augmenter les doses de cortisone ne sert à rien; augmenter les doses de macrolide non plus (je suis abonnée aux deux, sans substitut possible, depuis que j'ai cette PPR, depuis juin 2021).
Seule l'ivermectine me permet de remarcher après 24 heures. On conseille 14mg par jour pour une personne de mon poids (70kg), en une seule prise. J'en prends la moitié, répartie sur deux jours, pour pouvoir sortir de mon lit. Je n'ai pas de crainte dans l'absolu, car on peut donner dix fois la dose d'ivermectine sans effet secondaire. Je sais comment mon corps réagit depuis toujours aux médicaments: je dois sous-doser sévère. Selon les praticiens, l'ivermectine n'est pas efficace chez tous: il faut sérier les répondants et non-répondants.
Lire une étude où l'on donnait 200 puis 100mg par jour (!) à la cohorte testée pour sa résistance au covid *
Ci-dessous le fil chez Resilients.TV 19/4/2023 - , l'étude était à télécharger https://www.medincell.com/wp-content/uploads/2023/04/20230401-Poster-SAIVE_VD.pdf, je ne la vois plus -> se fier aux copies d'écran chez Resilients.TV
NB * enfin partiellement testée, puisqu'un des paramètres était un PCR positif. Oh qu'il est difficile d'être chercheur et honnête aujourd'hui. Ils sont obligés de faire croire à cette fadaise de la fiabilité des tests PCR. Chers amis médecins, pardonnez l'impertinence d'une profane...(...) les résultats impressionnants de l'étude SAIVE, qui porte sur l'efficacité de l'ivermectine prise par voie orale en prophylaxie (prévention) du Covid, sont présentés au congrès ECCMID. Prenons le temps de les présenter. "L'essai SAIVE est un essai clinique randomisé, contrôlé par placebo, multicentrique, en double aveugle, en groupes parallèles, portant sur l'efficacité et l'innocuité de l'ivermectine dans une population post-exposition."
Une étude de haute qualité sur le plan méthodologique. L'étude portait sur 400 participants, 200 dans le groupe ivermectine, 199 dans le groupe placebo. Pour être inclus dans l'étude, il fallait avoir été en contact confirmé avec une personne testée (PCR) positive au Covid.
L'âge médian des participants était de 40 ans (18 à 64 ans), leur indice de masse corporelle autour de 26, un 5ème dans chaque groupe vivaient dans le même foyer que la personne positive au Covid.
Le critère principal était la proportion de cas positifs au Covid dans les 28 jours après le début de la prise d'ivermectine / placebo. Ils ont aussi évalué le délai avant l'infection, la gravité des symptômes et l'efficacité selon le variant. Et ont mesuré la charge virale.
Les doses utilisées étaient élevées: 200 mg le premier jour, puis 100mg chaque jour par la suite pendant la durée des 28 jours. Cela n'a posé aucun problème de sécurité majeur, puisque l'étude n'a enregistré aucun événement indésirable grave.
Quels sont les résultats? Sur le critère principal, on obtient 30 cas positifs sur 200 dans le groupe ivermectine et 105 cas positifs sur 199 dans le groupe placebo, une réduction du risque d'infection de 71.57% pour le groupe ivermectine, hautement significative (p<0.0001).
S'agissant de la gravité des symptômes, on observe également une différence significative en faveur du groupe ivermectine sur la base d'une échelle d'évaluation de la progression de la maladie (WHO Covid-19 Scale for disease progression).
On observe une différence significative dans le temps écoulé avant l'infection dans les 2 groupes. Les participants du groupe ivermectine sont donc testés positifs plus rarement, mais aussi plus tardivement après leur contact avec une personne infectée.
L'efficacité de l'ivermectine a été observée quel que soit le variant (BA 1.1 ou BA5). Tous les critères ont donc donné des résultats significatifs en faveur de l'ivermectine.
Et même contaminés, les participants du groupe ivermectine avaient une charge virale plus basse.
Les résultats de cette étude peuvent surprendre, dans la mesure où cette molécule fait polémique, avec des épidémiologistes estimables, comme @VPrasadMDMPH, qui m'a servi de référence pour mon travail en cours sur les masques, très sceptiques sur son efficacité.
Il est donc important de contextualiser cette étude. C'est vrai qu'elle se démarque par sa qualité, mais ses résultats ne sont pas du tout choquants si on les compare à ceux des autres essais contrôlés randomisés portant sur l'efficacité de l'ivermectine en prophylaxie.
Cette étude ne fait que confirmer les données disponibles. Mais il s'agit cette fois d'une étude "bien sous tous rapports": méthodologiquement excellente, et... menée en Europe par une entreprise européenne soutenue financièrement par de grands acteurs du monde de la santé.