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Questionner les vaccins: si les conventionnels s'y mettent!

12.8.2022 Je questionne la vaccinologie depuis longtemps pour des raisons quasi politiques: vu qu'ils ne protègent pas aussi bien qu'ils le prétendent, pourquoi m'imposer une thérapeutique qui ne répond absolument pas à mon choix de santé fondamental?

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.

Le dossier n'est pas terminé, je l'étoffe de jour en jour. Patience, il sera prêt en livre sous peu.


Mon immunité naturelle, celle de mes enfants et de mes proches, est assez solide; mes techniques naturelles sont assez efficaces pour faire face à d'éventuelles rougeoles, hépatites, etc. Quel besoin d'un vaccin?

En outre, je ne partage pas la doxa de l'Eglise de Vaccinologie selon laquelle il faut me protéger contre "UN" virus qui protègerait d'UNE maladie. Les fondements de la médecine conventionnelle sont si riches en incertitudes et prémices hypothétiques que je me permets d'être prudente. Le principe de contamination est un de ces présupposés assez flous.

Je fais totale confiance à la médecine d'urgence: si je tombe du deuxième étage, je file à l'hopital. J'adore les médecins quand ils font les mécanos.

En revanche, je n'accorde aucun crédit à la médecine classique face aux maladies de civilisation, chroniques: que d'échecs dans la lutte contre le cancer ou le diabète, que de flous marécages face au SFC (syndrome de fatigue chronique, si répandu depuis "le covid long"), que d'approximations face aux maladies auto-immunes ou à l'hyperactivité des enfants.Liste non exhaustive. Difficile à lire pour les "croyants" (le clergé en tête, càd mes amis médecins classiques), mais soutenu par des faits. Rien que des faits, des statistiques (non torturées par cabinet de conseil). Certes, on tient sous le pied les maladies, à l'aide de kyrielles d'antichti et de bloqueurs de brol. Dès l'arrêt, tout reflambe. Efficacité?

C'est le pan purement technique et mécanique de la science médicale qui m'intéresse, leur capacité d'intervention rapide sur un champ de bataille.

Pour le reste: entre ici ami homéo, ami naturo, ami médecin fonctionnel (la branche des docs classiques qui s'ouvrent à l'holistique) - les seuls dont les traitements ont été efficaces chez moi, chez mes proches, chez les personnes que j'ai suivies professionnellement quand il s'agissait de prévention.

Le domaine des vaccins étant un champ clairement préventif, hors champ de bataille, je ne vois pas ce que la médecine conventionnelle peut m'apporter, vu que leurs présupposés me semblent fragiles. Hein, quoi? Une profane qui remet en cause la doxa? Je fais pareil en politique, en économie, en jardinage... pourquoi pas défendre mon intégrité et celle de mes proches en matière médicale aussi? Le présupposé pasteurien du virus agressif qui vient fragiliser le gentil humain est ... un présupposé. Pas de démonstration sur le terrain, si l'on raisonne hors des ornières de la doxa. Mais cela nourrit une attitude politique, tel est son intérêt.

Le présupposé du méchant cancer qu'il faut combattre est aussi faible, car de toute évidence, c'est notre organisme qui développe ou inhibe le cancer. Rien d'un agresseur extérieur là. Quand j'ai vécu un cancer à 38 ans, on me demandait donc de lutter contre moi-même? La double peine, quoi.

J'ai beaucoup relayé le prof Raoult, dont j'adore la stature, la franchise, l'intelligence et le courage. Quand il joue au préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi vaccinaliste, je le suis moins et je suis attentive à toutes ses incohérences. Que j'ai aussi relayées ad nauseam. Il ne serait pas un humain s'il n'était pas si faillible.

C'est simple: urgence, mécanique, technique? Médecine conventionnelle. Chronicité, prévention, holistique, quotidien? Homéos & Co.

Un autre pan du questionnement face aux vaccins est celui de nombre de médecins homéopathes: les maladies d'enfance comme la rougeole ou la varicelle sont des étapes initiatiques utiles dans l'épanouissement immunitaire du petit. On aimerait qu'il ne soit jamais malade, mais voilà. Ces maladies d'enfance sont comme un entrainement de l'immunité, qui la renforce.

J'adore lire le dr Eades car, tout médecin classique qu'il soit, passé la retraite pourtant, il a gardé un mental acéré et est prêt à remettre en question toutes ses certitudes. Dans son dernier bulletin The Arrow, il commente la conférence TedX qu'il propose de suivre pour comprendre la science vaccinale ("Comment les vaccins entraînent le système immunitaire d'une manière inattendue | Christine Stabell Benn" https://www.youtube.com/watch?v=_d8PNlXHJ48):

"L'une des choses que vous apprendrez dans la vidéo est que le vaccin à virus vivant contre la rougeole améliore la mortalité globale.

Ce qui me fait me demander si la rougeole elle-même fait ça.

J'ai eu la rougeole quand j'étais enfant. J'ai été un peu malade pendant un jour ou deux, puis j'ai profité de mes deux semaines de vacances scolaires. Je me demande si moi, et les enfants comme moi, qui ont eu la rougeole, ne vivraient pas plus longtemps que les enfants qui ont été protégés et n'ont jamais eu la rougeole ? Est-ce que le fait d'avoir contracté le virus m'a non seulement immunisé contre une nouvelle infection, mais a également fait quelque chose d'autre pour améliorer mes chances de vivre plus longtemps ?

Ce genre de choses mérite d'être étudié. Et une discussion ouverte et vigoureuse."

Merci à tous ces médecins capables de revoir des pans entiers de leur doxa personnelle, après quarante ans de pratique pourtant.

Ma conclusion. Je ne jette pas le bébé avec l'eau du bain, comme mes amis radicalement remontés contre la médecine classique, qui, après avoir vu la faiblesse de leurs présupposés, ne veulent plus rien en entendre. Je fais un panaché dans mes choix thérapeutiques. Espérons que cela reste possible.

NB. Vidéo amusante à regarder, car Christine Stabell Benn y démontre que les vaccins montrent des effets non spécifiques sur d'autres pans de la santé. Des effets secondaires bénéfiques, en gros: ils confèrent une meilleure résistance face à d'autres infections. Ah oui? Patientons encore un peu, et Stabell Benn va découvrir que la maladie qu'elle a contré avec le vaccin faisait le même effet. Probablement.