taty lauwers

cuisinez selon votre nature

en quête d'un devenir-soi nutritionnel
  

On m'a dit que les vaccins subissaient des tests sophistiqués

13.2.2023 Billet spécial pour ma copine soignante: "on m'a dit que les vaccins subissaient des tests sophistiqués". Dans ce teaser, le contexte est encore aggravé, car l'avocat Siri révèle la très grande légèreté des labos pour un vaccin dont aucun nourrisson n'a besoin (hépatite B: sexuellement transmissible), et qu'on inocule ***à la naissance***

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.

Le dossier n'est pas terminé, je l'étoffe de jour en jour. Patience, il sera prêt en livre sous peu.


Billet spécial pour ma copine soignante: "on m'a dit que les vaccins subissaient des tests sophistiqués". Ce n'est pas ce que j'ai appris dans ma longue investigation sur le sujet des vaccins, depuis quarante ans; et qui est résumé dans le récent ouvrage par des scientifiques israeliens "Turtles all the way down" (bientôt en français). Dans le teaser ci-dessous, le contexte est aggravé, car l'avocat Siri révèle la très grande légèreté des labos pour un vaccin dont aucun nourrisson n'a besoin (hépatite B: sexuellement transmissible), et qu'on inocule ***à la naissance***.

Ecouter un court teaser, extrait d'une plus longue entrevue en deux parties, où l'avocat américain Aaron Siri expose à Jan Jiekielek, d'American Thought Leaders, ce qu'il a appris sur la vaccinologie en potassant les dossiers comme avocat. Il a mené plusieurs affaires très médiatisées contre des fabricants de vaccins et des agences sanitaires fédérales depuis le début de la pandémie de COVID-19. On peut faire confiance aux cabinets américains, ils regorgent de bouledogues souriants et lumineux comme ce gars, qui ne lâchera pas une si belle proie. Ils sont souvent très factuels, très curieux, et arrivent à défaire des noeuds de fils de pêche, soigneusement emmêlés pour cacher les fraudes.

NB. Je suis amateur de la version française, merci de me prévenir quand un internaute la double ou sous-titre


 

Comment le CDC bloque les stats: enfants vax versus non vax

 

J'ai extrait un autre petit morceau de l'entrevue avec Aaron Siri, sur un sujet que je ne connaissais pas: en 2000 les scientifiques s'intéressaient de trop près aux données du CDC qui auraient permis de comparer la santé des enfants non vax par rapport à ceux qui recevaient les +- 30 vaccins avant leurs 3 ans.

Que fit l'instance officielle?

Le CDC a transféré les données vers une société commerciale, censée représenter les HMOs (health maintenance organizations), ce qui empêchait les curieux d'avoir accès aux données. "Protection commerciale".

Parlez moi encore d'erreurs administratives en Eglise de Vaccinologie... Ce sont tout simplement les lobbies qui ont le couvert mis au CDC lui-même.

 



Vidéo complète


partie 1: https://www.theepochtimes.com/aaron-siri-part-1-why-are-vaccine-manufacturers-the-most-protected-companies-in-america_5035884.html

partie 2: https://www.theepochtimes.com/aaron-siri-part-2-how-the-vaccine-paradigm-has-led-to-medical-coercion-and-conflicted-health-agencies_5041802.html

 

partie 1: "Les fabricants de vaccins sont les entreprises les plus protégées d'Amérique ?"


"Ils allaient cesser de produire ces vaccins parce qu'ils ne pouvaient pas faire de bénéfices, le montant de la responsabilité qu'ils devaient payer dépassant les recettes."
Lorsque nous avons enfin eu ces données, nous avons compris pourquoi ils ne voulaient pas que le public les ait, car elles ont montré que 7,7 % des plus de 10 millions d'utilisateurs de V-safe ont déclaré avoir eu besoin de soins médicaux après un vaccin COVID-19." Aaron Siri, associé directeur du cabinet Siri & Glimstad, a mené plusieurs procès très médiatisés contre les fabricants de vaccins et les agences fédérales de santé depuis le début de la pandémie de COVID-19. "S'ils l'emportent ... dans cinq à dix ans, ce qui se passera, c'est que cela réinitialisera la base normale de la santé en Amérique pour les problèmes cardiaques et cardiovasculaires, n'est-ce pas ? Ce sera la nouvelle norme", déclare Siri. Dans cet entretien complet en deux parties, Aaron Siri explique comment les fabricants de vaccins ont obtenu des protections sans précédent contre la responsabilité il y a trente ans. "À ma connaissance, aucun autre produit ne bénéficie d'un tel niveau de protection", explique Aaron Siri. "Quand vous regardez autour de vous, tous les produits dont vous faites l'expérience chaque jour, ils sont plus sûrs parce que le fabricant s'inquiète de la responsabilité." On a toujours dit à Siri que les vaccins étaient sûrs. Mais si un produit est sûr, explique-t-il - du moins de la manière dont les agences de santé publique le projettent au public - les blessures seraient excessivement rares, et il ne serait donc pas nécessaire d'accorder au fabricant une immunité de responsabilité. "Ils allaient cesser de produire ces vaccins parce qu'ils ne pouvaient pas faire de bénéfices, le montant de la responsabilité qu'ils devaient payer étant supérieur aux recettes", explique Siri. "Vous apprenez des choses en cours de route que vous ne pouvez tout simplement pas désapprendre".

partie 2: "Le paradigme de la vaccination a conduit à la coercition et à des conflits entre agences de santé


On m'a toujours dit que les vaccins étaient sûrs. Et si un produit est sûr, pourquoi faut-il donner au fabricant... essentiellement une immunité de responsabilité pour les blessures que ce produit cause ? Parce que si le produit est sûr, certainement de la manière dont nos autorités de santé publique le projettent au public, il ne devrait y avoir aucune blessure, ou alors une sur un million, comme on l'entend souvent."

Dans la première partie de mon entretien avec Aaron Siri, associé gérant de Siri and Glimstad, il a expliqué comment les fabricants de vaccins ont obtenu des protections sans précédent contre la responsabilité il y a trente ans.

"Les vaccins COVID ne sont pas nés dans le vide. Ils s'inscrivaient dans un paradigme et une façon de faire établis depuis très longtemps", explique Siri. "Ils avaient un discours sur l'immunité naturelle qu'ils ont jugé conforme à leur politique. Et les études ont suivi pour y parvenir."

Dans la deuxième partie, nous discutons de l'immunité naturelle de COVID-19 et de ce qu'il a découvert dans les essais de sécurité clinique d'autres vaccins, comme l'un des produits contre l'hépatite B : "147 enfants. Cinq jours de surveillance de la sécurité après l'injection. Rien n'indique qu'il y avait un groupe de contrôle", dit Siri.

Les vaccins COVID-19 ont été qualifiés de "précipités". Ils ont dit que les essais cliniques avaient été bâclés. Ils ont dit que le développement était précipité. Mais la réalité est que les essais cliniques des vaccins COVID-19 que l'Américain moyen a reçus, comparés aux essais cliniques de presque tous les vaccins pour enfants, étaient les études les plus solides qui aient été faites sur les vaccins."

Nous nous penchons également sur les conflits d'intérêts entre les agences sanitaires américaines et les entreprises pharmaceutiques.

"Pensez à ce modèle commercial. Vous avez un vaccin. Vous ne pouvez pas être poursuivi pour des préjudices. Vous avez un marché garanti parce que les enfants sont obligés de le recevoir pour l'école. Et vos agences sanitaires en font la promotion pour vous et se défendent contre tout préjudice", explique Siri.

 

image 1, citée par l'avocat, source: https://www.fda.gov/vaccines-blood-biologics/vaccines/recombivax-hb

 


image 2, source: https://clinicalinfo.hiv.gov/en/drugs/hepatitis-b-vaccine/recombivax-hb-injection-suspension