Enquête perso: comment l'imposture de la croissance verte a convaincu les masses. 1/ L'algèbre
Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.18.1.2023 Le discours hébété de la pseudoécologie, que l'on répète sans vraiment le comprendre (focalisation CO2, réalité même d'un CO2 comme "coupable", décarboner...), ne tient que parce qu'on attribue un pouvoir transcendantal au chiffre.
Ceci fait suite à la série "imposture de la croissance verte".
Bis repetita: merci petit corona d'être venu dévoiler de grands pans de nos servitudes. Cette semaine, série de billets pour mes amis écolos-ikea autour de l'impasse d'une croissance verte, oxymore s'il en est.
Le discours hébété de la pseudoécologie, que l'on répète sans vraiment le comprendre (focalisation CO2, réalité même d'un CO2 comme "coupable", décarboner...), ne tient que parce qu'on attribue un pouvoir transcendantal au chiffre.
Ecouter Roland Gori sur le sujet, chez Librairie Mollat. En court teaser ci-dessous.
L'interview complète, où bien d'autres sujets sont traités. Comme "le drame de notre époque (dont le fascisme est la vérité), c'est qu'il y a une dissymétrie entre les progrès techniques, industriels, économiques et la capacité que nous avons de les intégrer socialement et psychiquement. Nous avons fait comme si la sagesse suivrait l'émancipation apportée par les sciences..." (merci à Loïc pour la transcription)