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Aux sources de la bio-terreur, par Marc Reisinger

21.1.2023 Il apparaît de plus en plus que la “mère de toutes les batailles”, la source de la Terreur pandémique et vaccinale du Covid-19, se situe dans le “complexe industriel de la biodéfense” initié par l'armée et les services de renseignement américains

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.


(billet de Marc Reisinger, rapatrié de vkontakte avec son accord)

“We are all being played” Robert Kennedy Jr

Il apparaît de plus en plus que la “mère de toutes les batailles”, la source de la Terreur pandémique et vaccinale du Covid-19, se situe dans le “complexe industriel de la biodéfense” initié par l'armée et les services de renseignement américains (voir mon article précédent: «Le rôle de l'arméee américaine dans la vaccination»).

Robert Kennedy Jr analyse cette question dans le chapitre 12 de son ouvrage magistral : “Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma : leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique”.

A l'origine du complexe de la biodéfense se situe l'escroquerie à l'anthrax, qui a permis de faire passer “le budget de la biodéfense américain de $137 millions en 1997 à $14,5 milliards pour 2001-2004” (R.Kennedy Jr)

Pour rappel, voici comment s'est déroulée la mise en scène de l'anthrax, décrite dans mon livre: Marc Reisinger, “Le 11 Septembre a-t-il eu lieu?” (Ed. Amazon, 2018)

“Le PATRIOT ACT ("Providing Appropriate Tools Required to Intercept and Obstruct Terrorism") est un texte législatif de 342 pages, sorti des tiroirs de la Maison Blanche immédiatement après le 11 Septembre, réduisant certaines libertés fondamentales, et renforçant le pouvoir des agences de renseignement.

Il a été adopté par le Congrès sans débat, et sans même avoir été mis à la disposition de ses membres avant le vote. Le procureur général John Ashcroft insistait pour que le Congrès vote ce texte dans les trois jours, sans quoi il pourrait être tenu pour responsable de toute nouvelle attaque terroriste. Qui aurait osé ne pas se montrer «patriote» dans ces circonstances ?

Surtout après que deux sénateurs – qui avaient initialement remis la procédure en question – furent calmés par les courriers piégés à l’anthrax qu’ils reçurent : 31 personnes furent contaminées et les bureaux du Congrès évacués.

En 2008, on a finalement découvert que ces bacilles d’anthrax provenaient du laboratoire militaire de Fort Detrick, Maryland, le même laboratoire qui affirmait en 2001 que l’anthrax provenait des armes biologiques (imaginaires) de Saddam Hussein.”

Références:

“Anti-Terrorism Bill NOT Available For House Review Before Vote!”, Washington Times Insight Magazine, 10/11/2001

Glenn Greenwald, “Vital unresolved anthrax questions and ABC News: A top U.S. government scientist, suspected of the anthrax attacks, commits suicide. ABC News knows who is responsible for false reports blaming those attacks on Iraq, but refuses to say”, Salon, 1/8/2008.

Rôle de l'armée américaine dans la vaccination covid

Marc Reisinger, 18 janvier 2023

Selon Spinoza, tout organisme tend à persévérer dans son être. Schopenhauer estime, au contraire, que toute vie aspire à la mort. Cette ambivalence s'applique certainement à l'armée américaine. Avec un budget de 850 milliards de dollars, en constante expansion, l'armée américaine veille à sa propre survie, mais l'existence des autres et de l'humanité en général, ne semble pas trop compter.

L'investigation de la pandémie de Covid révèle un aspect peu apparent de l'histoire, à savoir le rôle de l'armée américaine dans la campagne de vaccination, qui comprend à la fois le développement du vaccin et sa distribution (il faudra étudier plus tard le rôle de l'armée dans la conception du virus lui-même, dans le cadre de la lutte bactériologique).

Dans le dernier chapitre de son livre magistral, “Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma : leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique”, Robert Kennedy Jr évoque l'Opération Warp Speed (dont le logiciel DeepL donne plusieurs traductions amusantes : “vitesse de guerre”, “vitesse de distorsion”, “vitesse de dérive”…).

L' Opération Warp Speed est décrite par Wikipedia comme un partenariat public-privé initié par le gouvernement des États-Unis le 15 mai 2020, avec un budget de 18 milliards de dollars, pour faciliter et accélérer le développement, la fabrication et la distribution des vaccins, des produits thérapeutiques et des produits de diagnostic COVID-19.

Le Chef des opérations était le Général Gustave F. Perna. La distribution du vaccin à la population américaine était assurée par le lieutenant-général à la retraite Paul Ostrowski, expert en logistique militaire.

Nous avons donc tous été victimes d'une opération militaire; c'est pourquoi il fallait mettre tout le monde au pas. Pas étonnant que le premier Résistant ait été le Professeur Didier Raoult, fils d'un médecin militaire : il connaissait la musique, on ne la lui fait pas.

Ceci permet aussi de recadrer le rôle de Bill Gates et des sociétés pharmaceutiques. Ce ne sont pas eux les grands Manitous : ils profitent, c'est tout - et nous payons. La mauvaise foi inaltérable de Fauci s'explique aussi: il se sent couvert par l'Etat profond. Les véritables moteurs de l'affaire sont les Docteurs Folamour du complexe militaro-industriel de la Défense et les services de Renseignement, qui sont passés de la Guerre Froide à la Guerre à la Terreur, puis à la Guerre contre les virus, immédiatement suivie par la guerre en Ukraine.

L'interview de Sasha Latypova, ancien cadre pharmaceutique, qui a obtenu grâce au Freedom of Information Act, une masse de contrats entre l'armée et le privé, nous apprend que les vaccins n'étaient pas considérés comme des produits pharmaceutiques normaux, mais comme des “contre-mesures” promues par le Pentagone et les agences de Renseignement, face à une situation d'urgence sanitaire.

Il s'agissait de véritables mesures de guerre, dispensées des processus normaux du développement des médicaments. Il en est résulté une absence totale d'études animales, une absence d'études cliniques véritables, et une absence de consentement éclairé des cobayes humains.

L'autorisation de mise sur le marché par la FDA n'était qu'une comédie. Pas étonnant que la FDA, obligée de rendre ces documents publics par un tribunal, ait tenté de ne les délivrer qu'en 75 ans, alors qu'elle a mis un mois à les approuver ! (75 ans, marque d'un grand crime, comme l'assassinat de John Kennedy... ).

Pas étonnant non plus que Pfizer, Moderna…, , tout comme Fauci, éprouvent un sentiment d'impunité : qui oserait aller contre l'armée américaine ? John Kennedy avait essayé…

source: https://vk.com/@763054622-role-de-larmee-americaine-dans-la-vaccination-covid



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