La spike serait un bifidophage? Y compris par action via le lait maternel?

7.5.23 Non seulement on découvre que la spike du virus *et du vaccin!* se comporte en prion, mais il semble qu'elle agit comme bifidophage, y compris via le shedding au travers du lait maternel. Dommage quand on sait à quel point les bifidobactéries sont essentielles. Surtout chez les nourrissons, qui, ainsi démunis, sont promis à un potentiel autisme dans deux ans.

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.

Non seulement on découvre que la spike du virus *et du vaccin!* se comporte en prion, mais il semble qu'elle agit comme bifidophage, y compris via le shedding au travers du lait maternel. Dommage quand on sait à quel point les bifidobactéries sont essentielles. Surtout chez les nourrissons, qui sont ainsi promis à un potentiel autisme dans deux ans.

Le dr Sabine Hazan, gastro-entérologue et directrice générale de Progenabiome, chez Jan Jekielek de American Thought Leaders. Court extrait de 7min:

Ecouter la totalité

« Lorsqu'elle a commencé à étudier les microbiomes des patients atteints de COVID-19, elle a rapidement remarqué une tendance. "Les personnes atteintes d'une forme grave de COVID manquaient d'une certaine bactérie appelée bifidobactérie", explique-t-elle.

Dans cet épisode, elle explique l'impact d'un intestin sain sur les résultats du COVID-19 et les mesures à prendre pour améliorer la santé de l'intestin et l'immunité en général.

Grâce aux connaissances qu'elle a acquises en étudiant les microbiomes des patients atteints de COVID-19, Hazan a mis au point et breveté des protocoles de traitement combinant des vitamines et des médicaments qui augmentent les bifidobactéries, notamment la vitamine C, la vitamine D, l'hydroxychloroquine et l'ivermectine.

Nous discutons également de l'impact des vaccins COVID-19 sur le microbiome, y compris sur les microbiomes des bébés allaités par des mères récemment vaccinées. »

Extraits traduits:

Avec les quatre premiers patients, j'ai commencé à remarquer qu'un mois plus tard, le taux de bifidobactéries, ce microbe important, chutait chez les patients avant et après la vaccination. J'ai commencé à me demander : "Attendez une minute. Que se passe-t-il ici ? Est-il en train de créer un bifidophage ?" Il s'agit de médecine de précision et de médecine légale de l'intestin. Le microbiome était comme ça avant et comme ça après. Il s'agit du même patient, mais seul un certain groupe de microbes est tué. Il faut faire attention.

 

Dix, vingt, trente patients plus tard, nous constatons que les bifidobactéries sont tuées. Tout d'abord, il était hors de question que je publie cette étude, car personne ne l'aurait acceptée. J'ai donc décidé de la soumettre à l'American College of Gastro en tant que présentation, en tant qu'affiche. Il a été accepté par l'American College of Gastro en tant qu'affiche et a remporté le prix de la meilleure recherche en tant qu'affiche.

 

Tous mes collègues m'ont appelé et m'ont dit : "J'ai vu vos données. C'est incroyable. Comment pensez-vous que cela se produise ? Le vaccin est censé améliorer votre immunité. Nous savons tous que les bifidobactéries jouent un rôle important dans l'immunité. Comment pensez-vous que cela se produit ?"

 

J'ai alors répondu : "Je pense qu'il crée un bactériophage ou un bifidophage". Ce que nous avons remarqué chez les quatre patients que nous avons suivis, qui étaient dans une forme étonnante, c'est que nous les avons suivis pendant 90 jours et que, ensuite, leurs bifidobactéries sont tombées à zéro - d'un million à zéro. Elles persistaient.

 

Il y avait une persistance des dommages, et pas seulement après 90 jours, mais six mois, neuf mois plus tard. C'est ce qui a commencé à me faire paniquer. Puis, en examinant le microbiome des nouveau-nés de mères qui allaitaient, nous avons commencé à remarquer qu'il n'y avait pas de bifidobactéries chez ces nouveau-nés.

 

Nous nous sommes demandé pourquoi, car les nouveau-nés sont censés avoir une tonne de bifidobactéries. Quatre-vingt-dix pour cent du microbiome des bébés est constitué de bifidobactéries. Nous nous sommes demandé comment il se faisait que les bébés nés de mères qui allaitent et qui ont été vaccinées n'avaient aucune bifidobactérie. La protéine du vaccin passe-t-elle dans le lait maternel, dans l'intestin du bébé et tue-t-elle ce que le bébé essaie de construire ?"

 

Comme je travaillais sur l'autisme, j'ai remarqué que l'un des points communs avec les enfants autistes était la perte de bifidobactéries. Je me suis dit : "C'est peut-être comme ça que ça se passe. Peut-être que vous éliminez vos bifidobactéries et que deux ans plus tard, votre enfant cesse de parler."

 

Cette découverte a été un véritable heureux hasard (NB TL: sérendipiteux), car le fait de comprendre à quoi ressemble le microbiome dans la maladie d'Alzheimer chez les personnes âgées, chez les patients en surpoids, dans la maladie de Parkinson et chez les enfants en bonne santé m'a permis de tout mettre en commun.

 

 

J'avais une vision différente de celle des autres. Je cherchais comment traiter le virus en sachant quelque chose que personne ne savait. C'était un peu épique, mais en même temps je savais qu'ils ne pouvaient pas me prouver que j'avais tort. S'ils essaient de me prouver que j'ai tort, voyons pourquoi." Mais il faut absolument se pencher sur la question, car le microbiome joue un rôle très important dans les problèmes neurologiques, le cancer, la maladie de Crohn et la maladie de Lyme.

 

(…)

 

Il ne faut pas confondre les deux populations (NB à haut ou à bas risque covid ou complications). L'erreur que nous avons commise dans cette pandémie, pour revenir à votre question, et nous avons eu tort. Nous nous sommes trompés parce que nous avons généralisé, nous avons globalisé. Nous pensions que tout le monde était égal dans son microbiome. Ce n'est pas le cas.

 

Nous sommes tous différents. Les Africains ont un microbiome différent de celui des Américains. Ils auraient probablement été satisfaits du COVID parce qu'il y a de la diversité en Afrique. Si l'on compare la population amish à une personne vivant à New York, le microbiome est complètement différent.

 

J'ai traité des personnes dans la jungle amazonienne pendant la pandémie. Très peu de personnes étaient malades du COVID. Ils allaient tous bien et il était inutile d'aller les vacciner dans la jungle amazonienne. Ils vivaient dans l'environnement. Dans la jungle amazonienne, c'est la chute d'un arbre qui peut vous tuer.

 

Nous faisons l'erreur de penser que tout le monde doit être comme nous, avoir la même pilule et la même formule, mais nous ne nous rendons pas compte que chacun a une culture différente, une alimentation différente, un niveau de stress différent et un tempérament différent. Tout cela, à mon avis, joue un rôle dans votre microbiome.

Voir le chapitre "Vaccingétorix: une science, un business model ou une idéologie? " - voir la table des matières du dossier

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