24.4.23 Femmes enceintes et allaitantes: les documents Pfizer enfin publics révèlent qu'il ne fallait même pas SONGER à pseudovaccinner les femmes enceintes ou allaitantes. Un article de Sonia Elijah, journaliste d'investigation américaine, où l'on envisagera le shedding via lait maternel.
Depuis quelques années, les femmes enceintes sont interdites de tout par leur gynéco, au nom de la sécurité (pas de produits de lait cru, pas de ceci, pas de cela dans l'assiette, les médicaments sont choisis, etc.). Mais depuis deux ans, les autorités ont poussé à la pseudovaccination dans une folie aveugle exactement opposée à cette hyperprécautionnisme. On les a quasi forcées à se soumettre à une expérimentation en thérapies géniques.
Cela fait depuis la fin 2021 que j'entends, par la bande, des sages-femmes ébahies du nombre de fausses couches, de nouveaux-nés prématurés ou en mauvaise santé. Sages-femmes qui ne veulent pas témoigner ouvertement par peur des représailles. On les comprend.
Pfizer a été obligé par la justice de partager des documents qu'ils comptaient garder secrets pendant 75 ans. Leurs propres documents révèlent qu'il ne fallait même pas SONGER à pseudovaccinner les femmes enceintes!
Sonia Elijah, journaliste d'investigation américaine, a rédigé de nombreux rapports pour Trial Site News sur ces documents de Pfizer. Le document complet est Pfizer’s Pregnancy & Lactation Cumulative Review Reveals Damning Data
Je reprends ses dires entre autres parce qu'ils désignent une contamination vaccinale par lait maternel, ce qu'on niait jusqu'il y a peu - c'est le shedding dont une très longue page mienne expose le concept.
Je traduis ici ses tweets .
"41 (20 %) des 215 cas d'allaitement ont fait état d'effets indésirables chez des nourrissons indirectement exposés au vaccin par la voie transmammaire (par le lait maternel)... une longue liste d'effets indésirables a été rapportée chez des nourrissons allaités, allant de la paralysie faciale à la lymphadénopathie et à la vision floueLe document couvre la période allant de la mise au point du médicament au 28 février 2021 et contient des données inquiétantes. Six autres cas inquiétants sur 458 concernaient des bébés exposés au vaccin par voie transplacentaire, ce qui a entraîné un accouchement prématuré. (voir image )
Dans deux des cas d'accouchement prématuré, les bébés sont décédés en raison d'une détresse respiratoire sévère et d'un pneumothorax - les deux mères avaient reçu le vaccin ARNm de Pfizer-BioNTech au cours de leur deuxième trimestre. Dans un autre cas choquant, un bébé a développé une tachycardie fœtale (fréquence cardiaque supérieure à 180 battements par minute) dont "l'issue clinique était inconnue".
La FDA et Pfizer/BioNTech ont pris connaissance de ces preuves spectaculaires au début de l'année 2021, juste avant la grande campagne de vaccination des femmes enceintes, et elles ont montré que l'exposition indirecte (transplacentaire) au vaccin ARNm de Pfizer-BioNTech présentait des risques importants pour le fœtus, l'avortement spontané (fausse couche) étant l'une des conséquences connues de l'exposition. "
Lire l'article complet Pfizer’s Pregnancy & Lactation Cumulative Review Reveals Damning Data (paywall)