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Mon hypothèse: une collision d'opportunismes

12.4.2020 Comment je peux nier les théories du franc complot, en intégrant malgré tout certains paramètres. Llllong billet. Voici mon scénario hypothétique de ce qui a déclenché cette avalanche qu’on appelle « la crise du covid ».

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.


Voici mon scénario hypothétique de ce qui a déclenché cette avalanche qu’on appelle « la crise du covid ».

Historique probable.

Une épidémie étrange à Wuhan. Bof, pas grave, c’est loin, on s’en fiche. Quelques cas arrivent chez nous : « c’est une gripette ». Les autorités n’ont pas encore pensé aux mesures d’enfermement. Mais on sent dans leurs déclarations comme du flou, ce qui n’est jamais bon pour l’opinion générale (si le Père symbolique tousse, c’est toute la famille qui se sent mal).

En même temps, circule l’hypothèse qu’il s’agit d’un virus échappé d’un laboratoire, pire : un des nouveaux virus chimères fabriqués par l’homme, une arme biologique. On apprend que cette gripette est mortelle et étouffe les patients. On n’a pas encore les statistiques par tranche d’âge. Les médias avides de sensationnel s’emparent de cette info pute-à-clic, montent la mayonnaise. Qui prend très bien, car on est arrivé dans un état où l’homme ne veut même plus entendre parler de la mort. A tel point qu’il porte foi aux délires transhumanistes de la silicon valley : on pourrait vivre mille ans. La terreur s’installe. J’ai peur de mouououourrrrir !

Jusqu’ici, pas de réaction dure des gouvernements, sauf en Asie.

D’autant plus que l’OMS ne déclare pas encore l’état de pandémie. Normal, rien ne s’y prête. Mais Gates a vu l’aubaine, il recrache au bassinet de l’OMS, qu’il finance déjà à un tel niveau qu’il est presque maître à bord. De l’ordre de 45 millions de dollars pour un projet xyz (je dois retrouver le détail dans mes notes, c’était début mars). Le lendemain, l’OMS déclare la pandémie, le processus que Gates adore et sur lequel il glose depuis des années.

Quelques jours plus tard, les gouvernements européens annoncent des mesures dures et ne parlent plus de « gripette ». Tous, ou quasi, parlent de « guerre ». Ont-ils eu des infos confidentielles sur l’origine réellement chimérique de ce virus ?

D’où a bien pu provenir cette réaction de panique des gouvernements ? Illogique, irrationnelle, non scientifique ?

Je continue les hypothèses.

Sur ces quelques semaines, quelques acteurs ont observé cela avec le même regard que moi, mais d’autres intentions, plus égoïstes (ou malveillantes). Et c’est là, je crois, que tout s’est emballé car chacun a tiré la couverture à soi.

Premier acteur. Les firmes pharmaceutiques ont vu arriver un tout beau bonus : profiter de cette peur pour faire du bénéf’ (ou faire le bien de l’humanité, qui saura jamais ?). Produire des antiviraux et des vaccins, pour lesquels ils ne devront même pas faire de pub lorsqu’ils seront disponibles. Le bon peuple est si effrayé, sidéré, paralysé par ce coronavirus qu’il prendra tout le lot, sans réfléchir. Mais il faut leur laisser le temps de préparer ces médicaments. Ils avaient justement préparé des simulations (en 2010, le Lockstep de Rockefeller ; en 2019, le Event 201 de Gates). Il n’a pas été difficile de souffler aux gouvernements que la seule solution était de confiner tout le monde, vaillants et personnes à risques mélangés. Sous le prétexte ahurissant d’écrêter la courbe, dont je ne comprends toujours pas que tant de gens intelligents ont pu le gober. Le confinement sera prolongé de 15 jours en 15 jours, le temps qu’ils développent leurs produits. C’est la seule explication pour cette aberration médiévale qu’est le fait de confiner des personnes valides.

Amusant de lire dans tant d’articles tout récents que la population demande presque de prolonger le confinement, alors que Macron annonce la réouverture des écoles : il est ici piégé par son propre piège. Suivant en cela les conseils de Big Pharma (toujours mon scénario, j’imagine, n’est-ce pas), les instances gouvernementales avaient laissé gonfler la dangerosité du virus, en trafiquant les stats (ça ce n’est pas de l’imagination, on a toute la doc à dispo). Résultat : la majorité croit désormais, dur comme fer, que ce virus est atrocement dangereux. Maintenant que le président veut rouvrir les écoles, réaction forte : ah, non, on va mourir du virus ! Tu es bien piégé, choupinet, non ?

Deuxième angle : sans savoir ce qu’allait faire Big Pharma, Big Finance a vu la belle aubaine. On pouvait mettre sur le compte du virus la bulle de délire financier qui menaçait d’éclater, la récession économique qui nous pendait au nez. Le confinement et le suicide économique qui s’ensuit est une excellente opportunité pour eux. Non seulement ils cachent la merde au chat (pardon de la vulgarité, mais c’est si parlant), mais ils vont au surplus demander des subsides faramineux – gagnants sur les deux tableaux. Je gage qu’ils ont fort poussé à la charrette pour confiner et provoquer cette récession qui de toute façon allait se produire. En gros, Big Finance a vu ici l’occasion de faire un « reset », de rebattre les cartes car eux-mêmes ne tenaient plus les rènes de leurs chevaux furieux.

Troisième acteur : ceux que l’on appelle les mondialistes, les globalistes, que je vais personnifier en Kissinger et Attali. Ils rêvent d’un gouvernement mondial (ce n’est pas un secret, ils l’exposent haut et fort) et, pour ce faire, doivent faire perdre tout crédit aux autorités nationales (ça c’est mon hypothèse). Le citoyen qui aura perdu confiance en son gouvernement sera prêt à se relier à un « nouvel ordre mondial ». Ce sont eux qui ont financé le GIEC, les manifestations pour le climat , des groupes comme Extinction Rébellion, et qui soutiennent le Green New Deal (qui est une imposture qu’on prendra le temps de dénoncer après la crise). Ils ne sont contrés que par les souverainistes, qu’on appelle « patriotes » en anglophonie. Trump et Poutine sont des figures de proue patriotes. En France, on trouve parmi les souverainistes Arnaud Montebourg, Jacques Cheminade et Lepen, les acteurs du Comité Valmy, Michel Onfray pour n’en citer que quelques uns. Quasi tous les medias consensuels sont aux mains des « globalistes », ce qui fait que pour monsieur toutlemonde je suis une atroce négationniste du climat quand j’ose émettre des critiques sur le Green New Deal. Or, je suis GIECo-sceptique et non climato-sceptique. Je pense que leurs hypothèses ne sont pas validées par « la majorité des scientifiques », que leurs solutions risquent de faire pire que bien. Et je ne suis pas seule, bien sûr…. C’est une anecdote pour qu’on comprenne bien les deux mouvances qui s’opposent.

Les globalistes ont tout intérêt à ce que nos gouvernements cafouillent (perte de confiance du citoyen) et prennent les mauvaises décisions. Il n’est pas exclu que leurs think-tanks aient soufflé l’idée du confinement, car ainsi la récession économique était quasiment garantie. Affamé, effaré, le peuple acceptera ainsi mieux ce « gouvernement mondial » qui ne peut que faire mieux que nos instances nationales.

Quatrième intervenant : les fous de technologie de surveillance, probablement représentés par les lobbies des GAFAMs. Qui ont dû rappeler aux autorités à quel point il était difficile de faire passer le néolibéralisme face à tous ces citoyens qui réfléchissent encore : ces manifestants partout dans le monde qui sont prêts à braver les armes brutales des gouvernements pour faire entendre leur mécontentement, pensons gilets jaunes, mains arrachés, yeux crevés (vous avez bien noté que les manifestations d’Extinction Rébellion, en revanche, sont carrément protégées par les forces policières, pas de gaz, pas de LBD). Ce petit peuple continue à réfléchir et à manifester, malgré les excellentes techniques de manipulation des cerveaux que maîtrisent les GAFAMS, facebook en tête. Depuis dix ans et plus, ils font tout pour casser l’intelligence collective, pour empêcher le péquin de réfléchir (désormais on ne lit plus, on regarde des vidéos), pour le brancher en mode émotion pure plutot que réflexion (ah ! le pouvoir de l’image), pour morceller l’humain, pour le couper de tous les liens classiques (familiaux, village, traditions, etc), pour le narcissiser, pour le déconnecter du réel (sous le prétexte d’être hyperconnecté, n’est-ce pas drôle ?), pour le rendre si fragile en somme qu’il peut être encore plus manipulable qu’il ne l’était auparavant. J’ai produit un long dossier sur le sujet sur mon site taty.be. Les télécoms ont vu la belle aubaine aussi dans ce confinement : ils allaient enfin pouvoir installer leur délire technologique d’une 5G dont personne n’a besoin, sauf les industriels de la croissance délirante et bien sûr le capitalisme de surveillance. Non, chers amis complotistes, ils ne veulent pas nous cramer ave la 5G, ils sont même peut être sincères quand ils sont aveugles aux études annonçant le désastre sanitaire. Ils croient à ce progrès et comme tout croyant ils sont aveugles à la réalité.

Il doit y avoir d’autres acteurs qui ont poussé les boules de neige qui sont devenues une avalanche. La boule de neige serait l’angoisse de la mort de l’Occidental actuel, que dis-je, l’angoisse? L’évacuation de la mort. Sans elle, rien ne serait advenu. Une poignée de porte peut désormais nous tuer : il faut la désinfecter. Une poignée de main aussi : on ne se touche plus. On voit bien qu’on est ici en psychiatrie, n’est-ce pas ? Un récent mouvement nous a mis la puce à l’oreille: le succès du véganisme est une marque de ce qu’on veut aujourd’hui évacuer la mort (et la vie!) de notre pensée.

Ce pauvre petit virus, qu’il soit une chimère fabriquée par l’homme ou pas, ne fait qu’aggraver la fragilité de personnes en fin de vie, très probablement polymédicamentées, plus que probablement fragilisées par une surexposition aux pollutions diverses (dont l’électromagnétique, qui est un vrai poison pour l’immunité). C’est l’humain qui fait les morts : par la peur, par l’intubation (qui, déjà connue pour provoquer des dégâts en temps normal, s’avère d’autant plus délétère que les complications de ce virus ne sont pas une pneumopathie ordinaire, mais bien une forme d’embolie, cas où intuber est carrément contre-indiqué si j’ai bien compris), par la désorganisation des services hospitaliers (lire l’historique en Italie, c’est édifiant). Et par le mensonge : la médiatisation des morts est une leçon de politique pour tous nos jeunes, apprenez comment manipuler l’opinion par médias interposés pour arriver à vos fins politiques. Oui, mais le coach américain de 25 ans ! Il avait une leucémie. Oui, mais mon voisin de 40 ans qui a dû être hospitalisé. Primo, l’aurait-il été pour une grippe ? Non, on l’a fait paniquer. En outre, le gars dort la tête sur sa boîte wifi et est diabétique . Il est hors norme. On peut revoir tous les cas à l’aulne d’une analyse des paramètres environnementaux. Allez, encore une petite, elle est trop bonne : vous avez vu les images par drone des cimetières improvisés près de New York ? C’est l’île de Hart, où depuis longtemps on enterre les SDFs et personnes sans famille. On peut faire la même image chaque semaine de l’année, la seule différence est que les ouvriers ne sont pas en combinaison.

Chacun voit midi à sa porte pendant cette crise. Pour ma part, je rêve que l’humain sorte un peu plus éduqué, un peu plus critique face à toutes les formes d’autorité.

On peut aussi décoder l’avalanche en observant les politiques : autant Trump que Poutine ont refusé les mesures de confinement et la panique, le temps qu’ils ont pu, jusqu’à ce que leurs citoyens les forcent ( un comble, non ? Eh oui, la peur de la mort est mauvaise conseillère). Ces dirigeants ne sont pas fous, malgré ce que la presse consensuelle veut faire croire (voir ci-dessus, le 3ème acteur). Ils ont dû avoir des informations sur la non virulence du corona et comprendre qui était à la manœuvre dans cette coronoïa. Estimer que sacrifier leur peuple n’en valait pas la peine. Ce n’est d’ailleurs pas étonnant que Trump arrête de financer l’OMS. Il signale par là à qui veut l’entendre qu’ils n’agissent pas dans l’intérêt du peuple américain. J’ai bien aimé les vidéos des élus italiens qui se filmaient, brulant le drapeau européen dans leur bureau – sur la même hypothèse : l’Europe ne défend pas ses citoyens. Mais ça on le savait, elle est un facilitateur commercial pour les multinationales.

Bref, divers acteurs sont intervenus, sans se consulter. On se retrouve presque dans un combat des dieux mythologiques, à la grecque ou à l’indienne.

Si vous avez tenu jusqu’ici, vous avez compris que je fais oeuvre hypothétique. Je joue à Miss Marple, sans preuve.

Voilà à ce stade comment je vois, en mode John Le Carré, la plume en moins, ce qui a bien pu se passer pour qu’en arrive là.

Là ? c’est à dire sur cette crête représentée en image ci-dessus, où il faudra bien choisir par où l’on veut aller ensuite, vers plus d’ombre ou vers plus de lumière. Pour moi l’ombre est cette société frigide où nous devenons des robots, dépossédés de nous-mêmes, au service d’une minorité d’oligarques. La lumière serait un monde d’après recentré sur le local, l’humain, le lien à l’environnement, l’autonomisation (empowerment = l’octroi de davantage de pouvoir à des individus ou à des groupes pour agir sur les conditions sociales, économiques, politiques ou écologiques auxquelles ils sont confrontés). Je soutiendrai toutes les initiatives dans ce dernier sens de «lumières».

NB. J’ai choisi une image de moutons. Le jeu de mots est trop facile avec « covidés ».

NB2. Pour les personnes qui ne me connaissent pas, je prends toujours un ton mémé, pour le plaisir de faire la tatie de service. Derrière cette apparence, j’ai toute la doc’ à disposition pour confirmer mes hypothèses, cela va sans dire. Quiconque veut chercher les trouvera aussi.

NB juillet 2020. J'ai publié sur fb une longue série de billets entre-temps, qui confirment ma première intuition. Les plus avertis des lecteurs n'ont pas besoin de se référer à ces sources. Ils ont leurs yeux pour voir et leur cerveau pour réfléchir ce qu'on est en train de vivre: une récession économique sans précédent et l'avènement d'un totalitarisme digital, soutenant une technico-hygiéno-cratie sans contre-pouvoirs. Disons adieu en douceur à la démocratie représentative...