Eliminer la spike de l'organisme: deux posters utiles, chez dr Ealy

7.7.23 Que la spike soit virale ou vaccinale, on est nombreux à chercher comment l'éliminer de l'organisme. Deux posters utiles, chez le dr américain naturopathe Ealy. Au passage, mon petit mantra sur la médecine comme art plutôt que comme manifestation de rigueur intellectuelle.

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.

Que la spike soit virale ou vaccinale, on est nombreux à chercher comment l'éliminer de l'organisme. Deux posters utiles, chez le dr américain naturopathe Ealy.

Vu chez @DrHenryEaly cette affiche qu'il commente sur son compte tw. C'est le contenu de l'affiche qui m'importe. J'aime qu'on puisse cibler l'action spécifique sur la spike:

1/ sortir la spike (SGP) de ses cachettes dans le corps

2/ la neutraliser

3/ la dégrader

4/ la lier pour pouvoir l'excréter

J'utiliserais 1/ le sauna sec; 2/ l'ivermectine, 3/ la vitamine C à haute dose 4/ l'argile ou le charbon de bois (en fait, j'alterne les deux, d'un jour à l'autre)

Je reprends son commentaire pour info ci-dessous. A prendre avec des pincettes, car ce titre de docteur aux EU est aussi donné aux naturopathes, ce qu'est Ealy. Je ne vois aucune source ou référence scientifique sur son compte twitter ou son site. A première vue: peu fiable.

"Doc, est-ce que la désintoxication de la glycoprotéine spike (SGP) est suffisante ? Non... pas du tout. C'est très important, mais (...) , vous devrez en fin de compte vous attaquer à la racine du problème... les plasmides infectant le microbiome. Je continue à voir des gens faire un peu de ceci et un peu de cela, mais cela ne marche pas. Il s'agit d'une infection génétique qui doit être traitée en tant que telle. Il est essentiel que les personnes qui réduisent leur charge en SGP choisissent au moins une des quatre catégories afin d'éliminer la SGP. Les IgIV et l'ivermectine figurent dans la catégorie des neutralisants. Cela aide beaucoup mais ne s'attaque pas à la cause première, à savoir un microbiome chargé en arme biologique. Pour cela, il y a d'autres choses à faire, notamment utiliser des composés qui guérissent les plasmides comme la quercétine et des antibiotiques naturels ."

Voici donc un commentaire qui semble attirant, mais comment le suivre si je n'ai AUCUNE référence? J'adore la naturo, mais vous venez de découvrir le piège typique: exposé de postulats sous le couvert de certitudes.

Bref, merci à Ealy pour cet exposé clair des voies d'élimination possibles de la spike.

traduction poster automatique, à réviser

1. Déloger - Séparer le SGP de l'endroit où il est coincé, ce qui provoque une réponse immunologique, y compris l'interféron. Interstitium au pH alcalin ; saunas infrarouges et secs - (>131'F) ; tabac (récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine, du glutamate et autres), (la choline avant le stade 22 est contre-indiquée car elle entraîne une augmentation des nAChR) ; la plupart des tisanes (réduction de l'effet de la glycosylation en tant que précurseur de la coagulation).
2. Neutraliser - Réduire la capacité de la MCS, une fois délogée, à causer des blessures. Anticorps (endogènes, monoclonaux, IgIV), (dépendants de l'énergie) ; Ivermectine ; Withania somnifera, (Ashwagandha) ; Glycyrrhiza glabra, (racine de réglisse) ; Vitex agnus castus, (baie de gattilier) : Mucuna pruriens, (fève de velours) ; Oolong Tea & Lavender, (Nerolidol - Terpene).
3. Dégradation - Casse S1, S2, RBD en molécules plus petites. Attention : Certains segments de protéines dégradées peuvent encore causer des lésions. Autophagosomes-Lysosomes, (IPP et statines contre-indiqués), (énergie dépendante) ; Peroxyde d'hydrogène de qualité alimentaire, (doit être dilué) ; Vitamine C ; NAC ; Glutathion, (peut induire une forte symptomatologie. A utiliser avec une extrême prudence en début de traitement) ; thérapie à l'ozone.
4. Lier - Lier les segments de protéines dégradées pour les éliminer par la voie biliaire, la sueur (si possible) et l'urine. Argile bentonite hydratée ; poudre de cosse de psyllium, autres fibres d'accord.

Cibler 3 populations distinctes

Je relaye aussi ce poster pour son utilité pratique. J'aime qu'on puisse cataloguer la population atteinte, pour pouvoir cibler l'approche, faire un audit au calme.

J'aime en particulier son hypothèse que les victimes de shedding ne sont pas contaminées par l'ARNm/spike, mais bien par des levures et bactéries chargées de toxicité, qui sont échangées entre humains. Cela expliquerait pourquoi je subis le shedding même par voie aérienne.

J'insiste: ceci est une hypothèse à faire vérifier par des chercheurs. Je ne relaye d'ailleurs pas le reste des dires du bon "docteur", car il fait au principal de la pub pour ses séminaires ou pour les compléments alimentaires qu'il vend.

Traduction du poster

3 populations distinctes

• Les infectés - Comprend tout le monde - y compris les longs covids - carences en nutriments, glycoprotéines spike, plasmides, effet d'incubation, possibles infections génétiques, systémiques, possibilité de Pseudouridine dans les cas de LH, erreurs dans la synthèse des protéines, mitchondries dysfonctionnelles.
• Les injectés - Ne comprend que les blessés, NE PEUT PAS inclure les longs covid - Graves carences en nutriments, présence de glycoprotéines spike, effet d'incubation, plasmides, pseudouridine, infections génétiques, systémiques, modification génétique possible, possibilité de Pseudouridine dans les cas de LH, erreurs dans la synthèse des protéines, mitchondries dysfonctionnelles, présence de nanoparticules lipidiques, adjuvants typiques toxiques.
• Les "sheddés" - Inclut tout le monde - Exacerbe les symptômes de covid long

  Carences en nutriments, plasmides dans les microorganismes génétiquement modifiés

  ("shedding": voir Shedding ou contamination par vacciné (9.9.22022))

Mon NB. On pourrait ajouter aux "sheddés" une partie supplémentaire, provenant de la colonne du centre. En effet, dans les études sur animaux après "exposition passive au vaccin ARNm", on a bien observé des modifications génétiques. Les sheddés ont la chance de ne pas transporter les adjuvants, oh quelle joie.

Médecins crédules

J'en profite pour taper sur mon petit clou favori. Cette crise "sanitaire" a ceci d'une crise qu'elle a cristallisé ce qui passait crème auparavant. On a pu voir, sans plus pouvoir les nier, certains mécanismes de nos sociétés.

L'un d'eux est la croyance excessive dans la "scientificité" du monde médical. Quel abîme entre un professeur Raoult, enseignant, chercheur et médecin; et un généraliste comme celui que je relaye ci-dessous.

"Médecin" ne veut pas dire rationnel, rigoureux. Démonstration avec le dr X ce matin (référence floutée sur image):, dont voici un touitte "C’était ma plus grande crainte… Les fameux plasmides se retrouvant au niveau du microbiome…"

Affirmation bien catégorique si l'on sait que cette généraliste relaye un naturopathe, qui n'est pas médecin classique et encore moins chercheur, qui ne donne AUCUNE source pour ses hypothèses. Qui vend des cours et des compléments alimentaires sur son site.
A la prochaine conférence, dr X. va nous ressortir ces plasmides comme une certitude. La dame a peut-être des infos que nous n'avons pas, mais elle ne les documente pas ici (ni dans sa conférence, que j'ai relayée par ailleurs). Ce serait dommage que la médecine devienne une série de postulats, à prendre ou à laisser.

Refrain: pratiquez le discernement, même chez les médecins alternatifs qui osent critiquer la doxa. Une hypothèse doit être documentée, puis validée. La science ne se fait pas au doigt mouillé.

Voir le chapitre "Vaccingétorix: une science, un business model ou une idéologie? " - voir la table des matières du dossier

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