26.9.2022 Je nourris le dossier "danger du vaccin" non plus seulement pour ma copine du potager, mais pour une amie adorée qui sort d'un an et demi de traitements très lourds pour un cancer. Et qui morfle sec, malgré l'arrêt des agressions médicamenteuses.
Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.
Le dossier n'est pas terminé, je l'étoffe de jour en jour. Patience, il sera prêt en livre sous peu.
Je nourris le dossier "danger du vaccin" non plus seulement pour ma copine du potager, mais pour une amie adorée qui sort d'un an et demi de traitements très lourds pour un cancer. Et qui morfle sec, malgré l'arrêt des agressions médicamenteuses.
"C'est normal, après les chimios", me dit-elle, répétant les termes de son oncologue et de son rhumatologue. Je la comprends, on ne peut supporter ces traitements que si l'on a décidé de garder confiance dans les autorité médicales. Il est capital qu'elle garde confiance, mais je me permets de douter de ces affirmations. Dès lors qu'on arrête les chimios, on est certes fatigué, mais on ne vit pas une neuropathie généralisée comme la sienne, qui rend la vie infernale, la marche difficile, les moindres mouvements pénibles. Et qui n'est qu'un des facteurs de santé pitoyable. Le fait que les marqueurs de cancer ont récemment flambé n'est pas anodin non plus.
Je dois vérifier mes notes, j'ai le souvenir qu'assez tôt les cancérologues américains ont lancé l'alerte, voyant une augmentation forte des cancers et des rechutes de cancer. On parle désormais d'épidémie de turbo cancers après la vaccination, même chez des jeunes. Difficile de croire à un hasard, une corrélation malheureuse.
Pendant 20 ans, j'ai cotoyé dans mon métier de nombreux cancéreux et ex-cancéreux. Je n'ai pas le souvenir que les effets des chimios étaient si durables. A l'arrêt du cycle, fatigue et regénérescence indispensable, certes (raison pour laquelle je les voyais en cours privé de nutrition). Mais pas de prolongation des effets collatéraux des chimios.
C'est probablement le vaccin il y a dix mois qui lui donne ces effets secondaires. On sait que la spike est produite en boucle et cible tous les organes, portant une inflammation chronique choisie selon le profil du sujet: chez l'un myocardite, chez l'autre maladie neurologique, chez le dernier troubles du cerveau ou de la peau.
Or, ce vax est un médicament particulier, dans la mesure où on ne peut pas arrêter l'ingestion et observer les effets de calme.
La pharmacovigilance n'a plus de sens ici. Les 3 challenges classiques, pour prétendre à un effet indésirable (EI):
1/ prendre un médoc, observer;
2/ l'arrêter, observer;
3/ le reprendre et observer si les mêmes effets secondaires se produisent.
Dès qu'on est vacciné, on ne peut pas se dévacciner pour passer à l'étape 2. On est déjà bloqué à la première étape de la pharmacovigilance. On comprend pourquoi, depuis toujours, les vaccins ne sont pas soumis aux mêmes règles que les médicaments, dans les réglements officiels (pssst! je chuchote, on pourrait nous entendre: ces règles vaccins sont très, très légères...).
Pour le vaccin actuel, comment observer les effets après l'arrêt, puisqu'il fabrique une usine à protéines toxiques permanente, comme si un feu chronique
était entretenu. Boucle sans fin!
Mêmes les vaccins précédents ne pouvaient répondre aux 3 challenges habituels, car pour le sujet vax qui surréagit à l'aluminium, dès que cet adjuvant est injecté, il reste dans le corps et produit des dégâts permanents. "Arrêter l'aluminium": on peut pouffer? Je sais, on n'est plus dans le rationnel, on est dans l'Eglise de Vaccinologie.
En espérant que ma copine le lise, je transmets une lecture de The Atlantic, gauche américaine antiTrump radicale et provaccin tout aussi radicalement. On y lit une ode aux vaccins, à l'occasion d'une aggravation de cancer chez un immunologiste belge - après vaccin covid. Merveilleuse lecture pour découvrir la Force du Déni.
L'article conte le périple de Michel Goldman (ULB) et l'aggravation foudroyante de son cancer dès le vaccin. Qu'il avait demandé "pour se protéger". Pensons qu'on était déjà il y a un an, et que même Mamie Croûton ici présente savait le nombre désastreux d'accidents post-vaccin (voir images dans le billet précédent). Et savait que les immunodéprimés étaient protégés du covid, outre qu'elle savait que le covid n'était dangereux que si l'on ne soignait pas.
Or, Mr Goldman, "l'un des champions européens les plus connus de la recherche médicale", aussi "chef du service de médecine nucléaire à l'hôpital de l'Université libre de Bruxelles", ne s'est même pas renseigné sur les médicaments efficaces AVANT de se faire vacciner? sur la composition du vaccin? Sur la qualité des tests préalables? Il n'a probablement pas voulu écouter le professeur Montagnier qui avait décrypté l'essence de ces thérapies géniques et annoncé soit des cancers soit des aggravations de cancer existants...
Que mes amis ne soient pas renseignés auparavant, quoi de plus humain, puisque le rapport patient/médecin repose sur la confiance en ce qu'il est informé. Mais un grand médecin?
Et notre bonhomme, tranquillou, continue à se faire injecter ses doses... Il reste malgré tout "incertain quant à son quatrième vaccin".
La force du déni!
L'auteur de l'article fait tout son possible pour minorer l'impact de l'injection chez Mr G. Difficile tâche! Collectif pour la science sur tw relève dans le même article, à l'intention qui croient que le cancer de monsieur est un hasard et extrait en particulier: "L'amas asymétrique de ganglions cancéreux autour de l'aisselle gauche avait déjà semblé «un peu dérangeant»; d'autant plus que les 2 premières doses avaient été délivrées de ce côté. Lorsqu'il a reçu un booster dans l'autre bras, l'asymétrie du cancer était inversée"
En sous-texte pour vous, chers amis profanes: Mr Goldman et ses clones sont donc le prototype des "experts" qu'on interroge dans la presse de grands journaux ou en télé. Ces personnes sont si embringuées dans la secte de la Vaccinologie qu'ils ne savent plus penser, auditer, analyser. Ni même s'interroger scientifiquement sur le contenu des produits qu'on lui injecte. Goldman est probablement un "des champions européens les plus connus de la recherche médicale". Mais ici, il nous fait plutôt penser au copain du café du commerce qui a trop écouté la télé.
Lire l'original:
https://www.theatlantic.com/science/archive/2022/09/mrna-covid-vaccine-booster-lymphoma-cancer/671308/
traduc automatique: https://www-theatlantic-com.translate.goog/science/archive/2022/09/mrna-covid-vaccine-booster-lymphoma-cancer/671308/?utm_source=apple_news&_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en
Pour les esprits curieux (donc je ne traduis pas), lire une merveille de démontage de l'article sur le cas Michel Goldman: "
Covid Vaccines Give Prominent "Misinformation"-Fighter's Immune System Cancer Further examining the case of the anti-anti-vax research leader who got Turbo Cancer after mRNA injection", par
de Brian Mowrey
Ce dernier s'est intéressé au contenu des rapports publiés depuis des années par l'anti-anti-vax qu'est Goldman et démonte en termes choisis et précis ce que moi je résume en profane: sa "croyance aveugle" au dogme du vaccin.