7.4.2020 Ah si seulement cette crise avait ce bénéfice de pousser certains internautes à plus chercher ce qui se cache sous les pierres du chemin… Depuis le début de cette crise, je creuse une intuition forte qu’une campagne médiatique est en cours. Je ne suis pas complotiste, mais j’ai toujours aimé la diplomatie, la politique, la sociologie et j’adore lire des romans policiers. Je regarde les évènements en cherchant les angles diplo/sociologiques et en investiguant : « à qui profite le crime ? ». Le crime étant ici de consacrer toutes les unes au corona et rien qu’à lui. Plus personne ne souffre à Idlib, ni aux frontières grecques, ni en Afrique. Il n’y a que le corona, la peur et la culpabilité. Et aussi pas mal de photos de policiers, tiens…
Personne n’a inoculé un virus délibérément, sinon l’opinion aurait été manipulée dès décembre, survenue du cas zéro en Chine. En revanche, il se peut que quelques uns trouvent avantage à verser de l’huile sur le feu de la panique ambiante, ce qui a débuté fin février.
Cette intuition dérive de mon impression de déjà-vu : « je veux que vous ayiez peur, que vous vous sentiez coupable ». On a entendu cette rengaine mille fois depuis 2 ans, par la bouche d’une petite à nattes qui parcourt le monde (occidental) pour secouer les foules. Rengaine peu soutenue par des arguments élaborés, détaillés, stratégiques, d’ailleurs – comme ce refrain-ci sur le covid-19 : « il faut se confiner pour écrêter la courbe », ce qui ne veut absolument rien dire quand on analyse le fond. Ou alors je suis soudainement tombé à moins 42 de QI.
Dans les deux campagnes on entend en boucle: « peur/culpabilité ». Un criminel se profile par le fait qu’il utilise toujours les mêmes mécanismes, on n’est pas toujours créatif même dans le monde obscur. Je voudrais vivre encore dix ans, pour savoir le fin mot de ce qui se trame ici.
J’en profite pour exposer une autre façon de regarder la « petite à nattes » dont seuls quelques naïfs croient encore qu’elle a agi de son propre gré. Thunberg est (hélas pour elle) une construction médiatique, comme le démontrent la journaliste d’investigation Cori Morningstar et d’autres, documents et faits à l’appui. Pardon aux croyants si vous le découvrez, cela fait toujours un choc. Je suis émue pour cette pauvre fillette, si jeune et déjà mise en scène. Honte à ses parents !
Je réponds à ceux qui, en direct, m’accusent de « m’en prendre au messager plutôt qu’au message » qu’on ne s’en prend pas au messager ici, mais au mensonge incarné par ce messager : une mise en scène théâtrale n’annonce jamais que du vide. Puisqu’on joue à la culpabilité, honte aux escrologistes aussi, qui véhiculent ce message du Green New Deal (GND) incarné par le mouvement Greta: continuons à rouler à toute allure vers l’abîme, mais en voiture électrique, mais avec des éoliennes, mais avec tout l’attirail des nouvelles technologies qui utiliseront la 5G …
Le GDN est une imposture, une façade qui cache des intérêts capitalistes, prédateurs, de croissance aveugle.
Voir l’article de Françoise Degert «Quand la conservation de la nature sert de couverture aux technosciences mortifères» (4/2/2020)
«C’est confirmé : les conservationnistes déroulent le tapis rouge devant les pires techno-sciences, au profit des multinationales et de riches investisseurs «
En gros, cela nous promet une robotisation à outrance, le forçage génétique, une agriculture asservie à l’industrie, la main basse sur les ressources et de la géo-ingénierie à la docteur Mabuse. Chers camarades écolos, êtes-vous conscients de ce que vous soutenez avec ce GND ?
Je suis en particulier irritée d’entendre que la rengaine de Thunberg, outre qu’elle n’est pas élaborée, détaillée, stratégique comme je viens de l’écrire (ce qu’elle aurait pu être, quand on sait les forces intellectuelles qui sont derrière elle), n’a pas de volet politique, pas de regard pour les esclaves modernes. J’en profite pour partager un montage photo qui résume ce que j’entends ici. Montage qui amuse ma part cynique.
Le personnage de théâtre a été bien calculé : une femme, jeune, « autiste » devrait devancer toutes les critiques. Car à la première question, on répondra « tu t’en prends aux femmes » - je suis féministe depuis que je réfléchis ; « tu es dérangée par les autistes » - je n’ai aucun souci avec les cerveaux alternatifs, qu’elle soit vraiment « autiste» ou pas, d’ailleurs, ce qui est largement discutable ; « tu es trop vieille, elle représente le monde nouveau » et là je n’ai rien à rétorquer.
Qui a remarqué que la pièce se joue à guichets fermés en Occident seulement ? Si vraiment la planète est l’enjeu, pourquoi pas de manif’ climat à la Thunberg en Chine ? En Inde ? Pourquoi se concentrer ainsi que l’Occident ? J’ai mon idée, mais ce coup-ci, je me la garde.
Qui a remarqué les coulisses de cette triste pièce ? Un exemple, il y en a plein d’autres: une gamine qui ne veut pas prendre l’avion et traverse l’océan en voilier, bateau prêté par un milliardaire. Quasi tout l’équipage est revenu de New York en avion : quel gâchis ! Peu répercuté dans la presse, n’est ce pas ? Ce n’est qu’un coup de comm’, quels que ce soient ceux qui tirent les ficelles.
Qui a remarqué que ses grands frères de Extinction Rebellion peuvent manifester en France et en Angleterre sans être blessés, matraqués, fliqués ? Alors que les gilets jaunes, pardon : et que je te crève un œil et que je te fiche en l’air une main… Les brutalités policières sont là presque organisées, au point qu’on les dirait stimulées.
Tandis que ces « mouvements climat » ne dérangent pas grand monde. Ils permettent simplement au capitalisme forcené de se peindre en vert.
Pour suivre sur l’imposture Gretchen, j’en ferai un billet officiel sur mon site, car qui ne comprend pas qu’on s’est fait entuber avec la climanoïa ne comprend pas le dossier #boeufemissaire.
Merci à Clelia pour cette vidéo du psychiatre belge Marc Reisinger, qui essaie d’interroger la p’tite à nattes. Révélateur!
Savoir que Marc, que je connais de mes années bruxelloises,, est d’une grande bienveillance, habitué qu’il est aux toxicos, d’une extrême douceur. La réaction de la petite ne peut être de la peur face à un méchant adulte.
Marc Reisinger est psychiatre, anthropologue social, philosophe et essayiste, Marc se consacre à l’analyse des mythes contemporains. Auteur de «Arrêter l’héroïne», «Lacan l’insondable» et «Opération Merah»
Description de sa vidéo. "GRETA : LE COUP DU BONNET
En février, une Marche pour le climat traversait Bruxelles, menée par Greta Thunberg. En interrogeant de jeunes participants, je me suis rendu compte qu’ils ne connaissaient pas le b-a ba de la cause pour laquelle ils manifestaient : le réchauffement climatique
Une semaine plus tard j’ai interviewé un professeur du secondaire qui encourage ses élèves à manifester pour le climat : il n’en connaissait pas plus.
Partant du principe qu’il vaut mieux s’adresser au Bon Dieu plutôt qu’à ses saints, j’ai décidé d’interviewer Greta Thunberg elle-même. Il y a 8 jours, j’ai pris l’avion pour Stockholm (j’avoue) afin de la retrouver devant le parlement suédois, où elle mène sa grève scolaire tous les vendredis. Pas de chance, elle avait pris le train pour manifester à Berlin.
De nature obstinée, j’ai repris l’avion (oui…) la semaine suivante. Après tout, Stockholm est une très belle ville. Victoire : ce vendredi Greta est à son poste. Elle bavarde avec un petit groupe de jeunes Français. J’attends mon tour pour l’aborder :
« Je vous ai vue à Bruxelles, il y avait beaucoup de monde... J’ai entendu que vous suggériez aux jeunes d’étudier le climat. J’aimerais avoir un petit entretien à ce sujet. Je suppose que vous l’avez étudié… »
Elle opine du bonnet quelques fois, mais je la sens craintive, mal à l’aise : j’ai l’impression qu’elle dit « oui », mais pense « non ». A ce moment, elle retire son bonnet. C’est un signal. Instantanément, une femme blonde d’une cinquantaine d’années portant des lunettes noires, qui suivait la scène derrière moi, s’interpose :
« Hello, désolé, nous avons quelque chose à faire maintenant. Je dois l’emmener, merci… »
Fin de l’interview. Un garde du corps habillé de noir - dont on voit qu’il me surveillait également - les accompagne quelques mètres plus loin (comme on le voit dans la dernière séquence de la vidéo) : il ne s’agissait que de mettre Greta à l’abri des questions. Un peu plus tard, un 2e garde du corps arrive à vélo, avec le sigle Greenpeace dans le dos d’un K-way qu’il replie aussitôt.
Contrairement aux manifestantes de Bruxelles, Greta n’a répondu à aucune question. Je me suis trouvé face à une petite fille éteinte, sans passion, une poupée dégonflable, manipulée par des gens inquiétants. Une enfant sous terreur.
Elle est programmée pour des speechs apocalyptiques et provocateurs de quelques minutes devant les grands de ce monde. Peut-être évoquera-t-on son « mutisme sélectif » lié à l’autisme, mais on remarque qu’elle a répondu complaisamment aux questions (plus personnelles) posées par des jeunes avant moi.
Etrange leader climatique qui n’accepte pas qu’on lui pose une question sur le climat. On peut seulement se prosterner, et le monde ne s’en prive pas : Angela Merkel, Macron, Juncker, le jury du prix Nobel, à quand le Pape… ?
Quelques heures plus tard, en repassant au même endroit, Greta est toujours là, aussi éteinte, parmi quelques personnes. Ses gardes du corps ont été remplacés par deux autres gorilles. Sur un signal indécelable, elle va brusquement chercher son panneau « SKOLSTREJK FÖR KLIMATET » (Grève pour le climat) et, comme un automate, s’installe contre la rambarde du fleuve pour une photo de groupe avec des enfants. Le ballet publicitaire est parfaitement réglé…
On m’a accusé de « piéger » de jeunes manifestantes. On m’accusera peut-être aujourd’hui de blasphème. Mais ce que j’observe c’est une foule d’aveugles menés par une aveugle, comme dans la parabole biblique."
Voir le chapitre Le Green New Deal à l'horizon de la crise covid - voir la table des matières du dossier