Shedding du vaccin ARNm: comment la transmission est-elle possible? Est-elle d'ailleurs avérée?

30.10.2022 . Quels seraient les mécanismes plausibles d'excrétion du vaccin? Je pointe ici, à l'intention des pros de la biologie, une étude de 2013 sur les nanoparticules lipidiques, qui pourrait ouvrir une voie. Ou pas. Tout dépend de la réponse de ces interlocuteurs que j'interroge ici.

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.

Toute profane que je sois, c'est en tant que potentielle victime de shedding que je partage ceci pour des pros. Shedding: contamination du vaccin à un non-vax, ce que je suis (je suis même encore vierge du nez, j'ai résisté à tous les PCRs - je suis vierge de tout vaccin depuis plus de 20 ans)."On" me dit que la transmission est impossible. J'ai pourtant pointé dans mon billet de départ que la doc de Pfizer BioNtech l'envisage, sous le terme de "transmission environnementale".

On sait que ce ne peut être la protéine qui est transmise, vu sa trop grande fragilité biologique. Qu'est-ce qui pourrait bien être contaminant: les NPLs, l'ARNm artificielle?

On a déjà reçu un début de piste lorsqu'une étude récente a évalué si le vaccin était transmissible via le lait maternel - lire mon billet "Thérapies géniques: oups, j'ai touché l'ADN !". Si l'on retrouve des traces d'ARNm artificielle dans un fluide humain, pourquoi pas dans tous les fluides?

Je demande ici à @BanounHelene (ou d'autres pros) si je peux envisager l'étude qui suit comme test de transmission: Biodegradable lipids enabling rapidly eliminated lipid nanoparticles for systemic delivery of RNAi therapeutics :


Dans cette étude de 2013, des chercheurs ont testé une nouvelle forme de nanoparticule lipidique, pour transporter de la SI-ARN (short interfering RNA). Au passage, ils ont testé la solidité de leur choix en évaluant l'excrétion des NPL dans les cohortes de rongeurs. Ils n'ont testé que les urines et les fèces, mais si les NPL se trouvent dans ces fluides, ils doivent se trouver dans la sueur et la salive.

Pour ma part, peu me chaut qu'on me contredise dans mon hypothèse, de plus en plus validée par divers faits, que je suis vaccinée à l'insu de mon plein gré et que je vis les effets secondaires de cette thérapie génique de SuperBricolo.

La seule autre option possible serait que je sois en biorésonance avec les autres humains, ce ne serait pas la première fois. Je gage que cette voie-là sera mise de côté par mes contacts biologistes.

NB. Biorésonance: aussi bizarre que ça puisse paraître à mon propre esprit rationnel, lorsque je suis proche d'une personne malade, qui me touche émotionnellement, je vis le lendemain les manifestations de sa maladie telle qu'elle l'a décrite. J'ai dû arrêter mes cours privés de nutrition à cause de ce phénomène. Cela ne se produisait pas face à des groupes.

Donc peu me chaut, mais je connais d'autres camarades plus sensibles à la Parole du Père (le médecin), qui ont besoin d'autorités pour accepter d'être, peut-être, victime de shedding vaccinal. Dont le mécanisme pourrait bien ne pas être si mystérieux que cela: on trouve des nanoparticules lipidiques chez les rongeurs (urines et fèces), on trouve des traces d'ARNm artificielle dans le lait maternel...

Voir le chapitre "Vaccingétorix: une science, un business model ou une idéologie? " - voir la table des matières du dossier

Retour au blog "Articles"