26.4.2020 Cette période est un accélérateur de réactions. Je suis presque devenue fière de me faire traiter de complotiste, car cet anathème n'est lancé qu'à la tête de ceux qui ne suivent pas la pensée unique, ceux qui pensent en honnête homme, comme l'entendait Montaigne, celui qui commente la vie et la politique avec un scepticisme joyeux.
Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.
On ne peut penser en "honnête homme" que si l'on a cultivé le discernement, soutenu par une perspective historique juste (c'est à dire pas "à la minute").
Je reviens à mon analogie familiale de ce matin. Une femme découvre des lettres d'amour de son mari, qui ne lui sont ni adressées ni arrivées. Elle se plaint à ses proches: "je crois qu'il me trompe".
"Oh, tu vas vraiment chercher le pire, toi, alors".
La plupart de mes copains, qui se pensent "honnête homme", car ils lisent Le Monde, sont momentanément dans l'incapacité d'accepter ce que nous, les questionneurs,
dévoilons. Et cela, malgré que nous disposions de toutes les sources voulues.
Pour notre stratégie covid/effondrement économique/mise au pas des citoyens (par censure, par traçage, par robotisation), nous avons les sources. Les vautours ne se cachent même plus. Gates, Kissinger et consorts (il faut bien personnifier) ont écrit leur stratégie, ils sont si sûrs d'eux qu'ils n'ont même pas caché les documents. Et que disent nos proches? "Oh, toi et tes visions du complot". Réaction typique d'aveuglement de celui qui ne veut surtout pas savoir, car cela impliquerait un changement de posture. Et le changement: aïe aïe aïe.
NB. J'ai repris en image la couverture du livre de mon grand père, Jean de Merten, magistrat au Congo belge, surnommé Mandefu. Il pratiquait l'honnête-hommitude au quotidien.