10.11.2022. Comment comprendre ces disparités d'EI entre vaccinés? Suite du premier billet sur le sujet, où je relayais les hypothèses de Marc Girardot. Ici, une hypothèse plus pragmatique: le dr Cole, lors d'une récente conférence à Vienne.
Depuis les premiers retours d'EI après vaccin OGM (j'ai décidé d'appeler ainsi ces thérapies géniques expérimentales que même mes copains écolo acceptent, alors qu'ils risquent la prison à arracher du maïs OGM dans les champs), depuis mi 2021 donc, je suis étonnée que si peu de mes contacts s'interrogent: pourquoi certains semblent ne même pas sentir de malaise le lendemain du vaccin, alors qu'avec une telle attaque le corps devrait a minima faire un peu de fièvre ou de mal-être; et pourquoi d'autres, comme mon cousin, tombent morts en se lavant les dents, le lendemain de la piquouze?
Ceci est la suite du premier billet sur le sujet, où je relayais les hypothèses de Marc Girardot. Ici, une hypothèse plus pragmatique: le dr Cole, lors d'une récente conférence à Vienne.
Je corrigerai ceci si des pros m'indiquent qu'il se trompe. C'est pourtant limpide. Et cela rejoint une autre question que je n'arrête pas de poser, alors qu'elle semble glissée sous le tapis: pourquoi tout ce tintouin fin 2020 sur les hyperfrigos nécessaires pour conserver les fioles? alors qu'il n'en est plus question aujourd'hui, non? Cole fait le lien: vu les circonstances de vaccinodrome, on ne vous injecte souvent plus un vaccin, mais bien du gloubiboulga, du mishmash qui n'a plus rien d'efficace. Donc plus rien de toxique.
Il mentionne aussi la qualité des chaînes de production. Source: compte Bright Light news sur rumble.