17.11.24 Je n'aime que la biodiversité, y compris dans les cerveaux. J'aime entendre d'autres points de vue. Pourquoi s'en priver, surtout si l'on est en recherche d'une solution pour une maladie chronique, mal gérée par la médecine conventionnelle?
Un clip de dix minutes pour découvrir la thèse du Dr. Thomas Cowan selon laquelle la sensibilité de l'organisme aux maladies serait amplifiée par l'électromagnétisme et par la dose de métaux présents dans le corps.
Au coeur du dossier, je traite des techniques et voies possibles pour prévenir une rechute de cancer. Je me concentre sur la diététique et sur les profils biochimiques, car c'est mon domaine. Les solutions seront à trouver aussi hors de l'assiette, on s'en doute. Et parfois, hors des sentiers battus. Si l'on veut se sauver, prenons le temps de se familiariser avec d'autres visions de la santé, car lorsque l'on sera confronté au diagnostic sidérant, tétanisés, nous ne serons plus en état de parcourir ce long chemin.
Je propose un extrait de dix minutes pour découvrir la thèse du Dr. Thomas Cowan (et d'autres penseurs, mouvance anthroposophe ou non) selon laquelle la sensibilité virale serait amplifiée par l'électromagnétisme et selon la dose de métaux présents dans le corps. Hein, quoi? Des métaux? Bien sûr, vous avez des métaux dans le corps. Au cours de l'évolution, le corps humain n'a pas encore développé de mécanismes efficaces pour les éliminer. L'invention du fer est trop récente, voyons. Pensons à l'aluminium dans les vaccins, qui, contrairement à la doxa, reste présent comme démontré par le prof. Gherardi (chercheur français tout ce qu'il y a de plus classique, pourtant). A chaque vaccin, selon la nature du sujet, l'aluminium s'accumule. . Pensons aussi aux autres métaux présents dans notre environnement, métaux que vous avez absorbés . Le corps fait ce qu'il peut, je me répète, pour éliminer ou stocker ces résidus. Avec plus ou moins de bonheur (ou de malheur)..
Par ailleurs, l'hypothèse d'une contagion virale qui est un des piliers de la doxa allopathique est, pour être poli, une incertitude pour quiconque sait observer - ou *veut* observer le réel (car quand on est dans la croyance, n'est-ce pas? personne n'a envie d'ouvrir ses petits quinquets). Ceci est aussi un dada de Cowan: s'il ne nie pas les contagions bactériennes, il a mille questions sur les contaminations virales. Selon Cowan et les penseurs de cette mouvance, ce qu'on nomme et repère comme "virus" seraient en fait des exosomes/excrétions des cellules lors de leur détoxification.
Cowan est édifiant par sa capacité de logique intense et son courage à prendre position, ainsi que par sa réflexion fondamentalement homéo/anthroposophe (spoiler: ce n'est pas une secte, l'anthroposophie est un courant ouvert, critique et non sectaire; ne tombez pas le piège des wikipedia et autre miviluds). Il ne faut pas pour autant suivre ses conclusions à la lettre, chers amis... J'aime son questionnement de la virologie en général, mais j'aime moins quand il s'enferre dans la négation: pas de virus, , pas de contamination, pas d'ivermectine, etc. Eh bien choupi, que fais-tu du shedding vaccinal qui m'a pourri la vie pendant deux ans? Il ne m'a pas demandé mon avis, tant pis... Il doit être comme moi: il vieillit, il s'encroûte ;)
NB.Peu me chaut qu'on appelle virus un amas de déchets ou une forme de vie. Ce n'est qu'une querelle de terminologie. Ne pas croire à la théorie des germes et favoriser la théorie du terrain et l'analyse de Loouis-Claude Vincent me suffit.
Ecouter un extrait de conférence du printemps 2020, après le tapage médiatique autour du coronavirus - extrait que j'ai capté et publié mi-2022 sur une de mes chaines YT, la censure ayant ciblé Cowan rapidement:
Voilà une thèse. Pourquoi rejeter systématiquement ce qui ne correspond pas à notre vision matérialiste, pointilliste, mécaniciste du monde du vivant? Parce qu'on a peur d'être incommodé? Parce qu'au final on n'est pas si sûr de sa théorie? Au lieu de voir de la science en marche, on a l'impression de revenir au scientisme pur et dur. Quand on n'est pas face à des scientistes, on est confrontés à des esprits prétendus scientifiques, mais qui ne veulent pas voir leurs biais majeurs.
J'ai toujours adoré l'approche scientifique, je passais mes samedi d'ado aux Jeunesses Scientifiques quand les copines allaient draguer. C'est la vie qui a voulu que je ne devienne pas biologiste moléculaire comme je rêvais de le faire. Dans cette branche, j'adore la rigueur, la méthode, la rationalité, le questionnement permanent, l'accueil des controverses - toutes qualités que je retrouve chez le docteur Cowan (voir NB).
J'attends impatiemment le temps où les plus rigoureux de nos experts scientifiques comprendront et accepteront qu'ils sont victimes de biais cognitifs majeurs. Ils "croient" en divers paramètres - le dernier n'étant pas qu'ils "croient en la technoscience ;). Les biais cognififs nous sont envoyés systématiquement lorsque, profanes critiques de la doxa, nous émettons d'autres possibilités. Les manieurs de biais se rendent-ils compte qu'ils sont les arroseurs arrosés? Dans le billet suivant, j'introduirai un article du physicien Philippe Guillemant, qui démonte les biais principaux de "la science" actuelle; leurs quatre piliers étant le matérialisme, le hasard, le déterminisme et la causalité stricte.
Je suis la première à reconnaître mes propres biais cognitifs. Je n'utlise ces termes que lorsque je dois traiter avec des lecteurs ou des auteurs qui utilisent ces termes. En général, j'utilise plus volontiers le terme bien plus clair de "croyances". L'humain ne peut vivre sans croyances. Reconnaissons les nôtres, accueillons celles des autres, et l'église sera bien gardée.
Parmi mes croyances: celle en la force du réel plutôt que du virtuel. En matière de santé, ne m'intéressent que les pratiques efficaces, sur le terrain. Même les études scientifiques ne peuvent me détourner de ce bon sens paysan.
Voilà plus de trente ans que je m'intéresse à la "science de la santé", la vie m'ayant offert une épreuve si grave que je ne pouvais continuer dans le déni. Malade professionnelle de naissance et amateur de rigueur, je cherche encore la voie juste: la vision des anthroposophes et homéopathes ou celle de la médecine mécaniciste? Je doute encore. Chers amis de la doxa, si sûrs de votre fait et d'avoir compris les fondements des systèmes dynamiques complexes que nous sommes et dans lesquels nous vivons, je n'ai que ceci à vous dire: que d'orgueil, oh que d'orgueil!
Je serais médecin classique, je ferais moins le malin en attaquant tout ceux qui ne pensent pas comme moi. Car, rayon efficacité, permettez à Mamie Croûton de Nivelles de tirer le bilan de vos pratiques: à peu près nul sur les maladies dégénératives, qu'on appelle élégamment maladies chroniques, mes chéris. L'effet positif dans la pratique d'un médecin conventionnel tient souvent beaucoup plus à son empathie, son charisme, en gros à son effet doctorebo, qu'à l'effet des nouvelles molécules qu'on teste sur ses patients.
Voyons quelques maladies chroniques graves, pour lesquelles la médecine conventionnelle n'a que pouic à proposer d'efficace.
Cancer: thérapies si efficaces que je peux énoncer que "les chimios guérissent le cancer et la terre est plate" à la blague (à peine).
Je garde trace des cancéreux chroniques rencontrés, dont on garde la tête au-dessus de l'eau à force d'interventions chimios et autres. Je tenais la championnne du Guiness book: 33 séries de chimios sur quelques années, avant d'enfin décéder.
On annonce des succès en cancérologie récents. On est trompés par le fait qu'on compte désormais pas mal de cancéreuses "guéries" d'un cancer du sein par une simple chirurgie puis série de chimios/radiothérapies. En fait, elles avaient été victimes de surdiagnostic par mammographie: une petite tumeur, que le corps aurait éliminé naturellement. Or, mammo oblige, on a repéré ce petit accident de vie. On panique, on déclenche tout le bastringue brûler/mutiler/empoisonner. La victime était encore en bonne santé, vu que le cancer n'en était pas un "vrai"; elle est donc passée au travers des chimios rayons sans souci, sans que l'immunité ne soit déglinguée pour de bon par la grâce de ses lésions successives. Les fameux succès récents sont très probablement dus à ces surdiagnostics précoces et au succès d'un traitement agressif sur des personnes en bonne santé.
Le professeur Goetzsche, Danemark, co-fondateur de l'institut Cochrane, a publié des articles passionnants sur les dégâts collatéraux des mammographies. Ces cas très spécifiques ne font pas un système.
Voir ma série de billets, commençant ici.
Le même professeur expose, comme tant d'autres, les illusions des chimios efficaces contre le cancer dans un article au titre provocant:
"Accepterais-jes des chimios en cas de cancer? Probablement pas". Dans mon dossier en cours, je communiquerai d'autres sources scientifiques, arrivant au même résultat.
Diabète et prédiabète: ma longue observation des malades et de leurs traitements classiques, ainsi que des solutions de rechange comme des régimes bien menés me permet d'énoncer qu'il n'y a pas photo: zéro pointé pour la première équipe conventionnelle; résultats probants et durables pour la seconde.
Je peux aussi continuer sur les maladies auto-immunes, sur l'arthrite alias la vieillerie, sur les maux de dos chroniques, etc. La médecine actuelle n'a RIEN à proposer, alors qu'une réforme alimentaire et d'hygiène de vie produit des résultats stupéfiants.
Mon cas personnel est particulier: je suis condamnée à la phyto en huiles essentielles et à l'allopathie. Malgré que j'ai consulté d'excellents praticiens (ma collection: 15 médecins homéos en 40 ans, généralistes conventionnels), l'homéopathie n'a aucun effet sur mon organisme. J'observe de magnifiques résultats chez des proches, des amis, des clients - rien sur moi-même. Je continue pourtant à vanter l'homéopathie, mais je dois avoir recours à l'allopathie et voilà. Pour info, la nutrithérapie non plus ne donne pas grand chose chez moi.
L'allopathie que j'ai tant pratiquée jusqu'à mi-vie n'a jamais rien guéri, elle a calmé des symptômes - qui resurgissaient dès l'arrêt des médicaments; me gratifiant au passage d'effets secondaires, que je devais tamponner par d'autres médocs encore. Le grave cancer de mes quarante ans? C'est la chirurgie qui m'a sauvée, puis la réforme alimentaire et de vie pour éviter une rechute. J'ai arrêté les chimios très rapidement, consciente que ce seraient elles qui dicteraient ma fin. Les migraines? Rien n'a jamais fait quelqu'effet, jusqu'à ce que je découvre la voie alimentaire: plus de migraines depuis trente ans à ce jour. Je parle de vraies migraines (hémi-crania), pas de céphalées qui, elles, répondent encore et toujours bien au paracétamol. Et que je n'ai quasi plus, alors que j'ai passé ma vie d'avant à alterner céphalées, migraines, bronchites, angines et tout le toutim.
Je peux continue des heures: amis médecins, vous n'avez RIEN contre les maladies chroniques qui touchent tant de nos congénères. Soyez plus humbles! Vous disposez d'outils techniques extraordinaires, pour émettre un diagnostic: merci. Vous êtes très utiles en cas d'urgences. Si je tombais d'une hauteur de 3 étages, je serais enchantée d'avoir votre aide. Pour le reste, c'est un peu le désert.
L'allopathie est une doxa qui règne en maître dans nos sociétés. Pour s'en assurer, on s'amuse à monter en épingle dans les media divers les zozos de la naturo, histoire de passer sous silence les merveilleux praticiens du domaine. Ce billet sera suivi d'autres sur les guignols du domaine alternatif, qui inventent tout et son contraire et qui sont pris en mauvaise part (à raison) par les zététichiots et autres hyperrationalistes.Quels guignols? Nous avons la folle du cinquième, alias Irène Grosjean. Qui ne démérite pas face au pervers narcissique, alias Thierry Casasnovas. Je pense aussi à des imposteurs comme le dr Thaller. Vous avez repéré le lien commun? Des crudivores, avec passage végane. ça ne pardonne pas, c'est pire que l'héro pour ravager un cerveau. Lorsque vous verrez une campagne de zététiciens ciblant les cinglés que je viens de citer, pensez à leur habilité: ils décrédibilisent ainsi toute la mouvance alternative, en choisissant les derniers de la classe, un peu perchés.
Et voilà comment on se fait des amis ;)
Dans dix-vingt ans, soit un peu tard, on découvrira que lorsque le corps des mammifères, intoxiqué par des pollutions diverses, est soumis à un bain d'ondes de fréquences particulières, il réagit en accueillant des populations microbiennes variées, dont des parasites, des levures, des champignons. Qui viennent perturber tout le fin équilibre des échanges biochimiques, résultant dans la production de formes de vie que, selon la doxa, on appelle virus. Vous voyez bien que vous êtes tous d'accord. Arrêtez de vous étriper!
L'essentiel du billet est ceci: pourquoi monter sur ses grands chevaux dès lors qu'un internaute ose une autre interprétation du vivant que celle de la doxa? Est-ce à dire que la médecine en général est très peu sûre de sa "science"? Que l'endoctrinement lors des études a été si puissant que chacun en oublie l'esprit critique et le discernement?
Que les grands esprits qui gouvernent notre santé ne sont pas conscients d'être victimes de biais cognitifs majeurs?
Cher chercheur en santé autonome, soyez attentif aux biais cognitifs de vos maîtres à penser en matière de cancer.
Docteur Cowan
Comment le docteur Cowan ne serait-il pas une référence pour moi? Il est méthodique, rigoureux, extrêmement rationnel tout en étant holistique; ne croit pas à la théorie des germes ou du cancer comme maladie génétique - encore moins à la sûreté et l'efficacité des vaccins. En outre, il aime provoquer; on est fait pour être copains.
Il est l'auteur de plusieurs livres (voir son blog). J'ai apprécié son Human Heart, Cosmic Heart: A Doctor’s Quest to Understand, Treat, and Prevent Cardiovascular Disease, dont je relis parfois des parties tant j'adore son fonctionnement intellectuel (2016 - extraits sur ma zone). J'ai acheté (et dévoré!) son "Cancer and the New Biology of Water" - voir mon intro .
En français, je ne connais que "Vaccins, auto immunité et évolution de la nature des maladies infantiles"., que j'ai présenté dans le billet sur le quatrième état de l'eau, amorce d'une nouvelle biologie cellulaire.
Les curieux pourront écouter ses diverses interviews et "points de presse" via bitchute et son site:
- https://www.bitchute.com/channel/CivTSuEjw6Qp/
- et
- https://drtomcowan.com/blogs/podcasts/7-stephanie-seneff?_pos=1&_sid=fae6eb656&_ss=r (ouverture vers son blog, j'ai pointé sa passionnante interview avec Stephanie Seneff).
Son CV au travers de la présentation de l'éditeur pour son livre "Human Heart, Cosmic Heart: A Doctor s Quest to Understand, Treat, and Prevent Cardiovascular Disease" - traduit par mes soins:
"Thomas Cowan était un jeune diplomé de Duke Université; brillant, sceptique et déjà déçu du capitalisme industriel lorsqu'il a rejoint le Peace Corps américain au milieu des années 1970 pour une tournée de deux ans au Swaziland. A cette occasion, il a découvert le travail de Rudolf Steiner et de Weston A. Price, deux hommes dont les idées le fascineraient et le défieraient pendant des décennies.
Autant attiré par l'art de guérir et repoussé par la manière dont la médecine était et continue d'être pratiquée aux États-Unis, Cowan, revenu du Swaziland, s'est formé à la médecine. Il a ouvert un cabinet dans le New Hampshire et, plus tard, à San Francisco. Pendant des années, alors qu’il élevait ses trois enfants, subissait le contrecoup du divorce et luttait contre une maladie cardiaque, il est resté intrigué par le travail de Price et de Steiner et, en particulier, par l'affirmation provocatrice de Steiner selon laquelle le cœur n’était pas une pompe. Déterminé à pratiquer la médecine de manière à favoriser la guérison, Cowan s’efforça de comprendre si la prétention de Steiner pouvait être vraie. Et si Steiner avait raison, qu'est ce alors que le cœur? Quel est son vrai rôle dans le corps humain?
Dans ce récit profondément personnel, rigoureux et captivant, le Dr Cowan présente une affirmation audacieuse: non seulement Steiner a raison de penser que le cœur n'est pas une pompe, mais notre compréhension que la maladie cardiaque trouve son origine dans les vaisseaux sanguins est fausse. Ce malentendu flagrant, avec ses médicaments et ses chirurgies à risques, est la raison pour laquelle la maladie cardiaque reste la cause de décès la plus courante dans le monde.
Dans son livre, le Dr Thomas Cowan présente une nouvelle façon de comprendre l’organe le plus central du corps. Il propose un nouveau regard sur ce que signifie être humain et sur la meilleure façon de prendre soin de soi et de l'autre. "
On peut découvrir sa vision de la médecine au travers de ses podcasts gratuits, à écouter sur son blog perso ou sur https://www.amazon.fr/Conversations-with-Dr-Cowan-Friends/dp/B08JK47BYF/. J'ai pointé le lien amazon sur l'image, par convention.