Page 13 du dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), début 2020. Au coeur de la Grande Panique de 2020, le port du masque est le sujet de vives polémiques. Aujourd'hui, il devient même obligatoire dans les lieux publics fermés, en Belgique. Décodage symbolique ou sociologique ci-dessous. Nul besoin de décodage sanitaire, car l'affaire est très claire. J’ai été une des premières blogueuses à étudier le sujet, dès le début mars. Je pense en avoir fait le tour, non pas via un réseau social, mais via des experts et des études. Nous sommes là dans une affaire de croyances individuelles, et non de science. Je reprends ici tous mes billets autour des masques depuis le 13 mars. Date à laquelle j'ai fabriqué nos premiers masques maison, qui étaient très utiles à ce moment-là.
Quant au décodage symbolique il est simple pour moi: les promasques en fin d'épidémie sont soit des hyperangoissés, des victimes de l'hallucination collective qui sévit depuis quelques mois, ou des personnes sans aucune conscience politique. Ils sont respectables, je ne leur demanderai jamais d'ôter le masque; et je leur demande de respecter mon choix perso qui se résume à la pratique traditionnelle en cas d'épidémies: voir le tout premier billet de la page
Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement.
Une battle en littérature scientifique: reproductibilité? L'étude du CDC censée trouver des effets protecteurs substantiels pour le port obligatoire de masques à l'école ne peut être reproduite (30/5/2022)
Analyse chez Eugyppius (a plague chronicle), chercheur allemand sous pseudo - sur inscription. Traduit de l'anglais par mes soins. En image jointe.
Avis au lecteur, 30/11/2020: ce sont encore des billets collés les uns derrière les autres.
Les liens seront établis sous peu, pour un texte suivi.
Je remonte en début de page ce billet du 20/7, car toute la polémique autour des masques obligatoires y est exposée, démontée:
20.7.2020 Je transmets ci-dessous une remise en place de la récente et fameuse diatribe de Barrau sur les masques, diatribe aux fondements très émotionnels - ce qui est un comble quand on joue, comme Barrau, de son aura de physicien. Barrau vient de publier sur sa page fb un court texte tançant ceux qui remettent en cause l'obligation du port du masque. Le texte est ici, hors fb, pour les amateurs d'histoire qui dépiauteront la Grande Panique de 2020 dans les années qui viennent: https://positivr.fr/aurelien-barrau-refus-porter-masque-coronavirus/
Je rappelle à ceux qui m’interrogent sur mon culot de vouloir moquer un "grand physicien": je ne connais Barrau que sur la 5G et le «boeuf émissaire du climat», deux dossiers que je gère bien. Sur chacun, il n’a pas étudié le sujet, il commente comme ma coiffeuse le ferait. L'argument d'autorité a bon dos, tiens. En un mot: ce gars a une verbalité extra, mais j’hésiterais à le suivre s’il est aussi peu fiable dans ses autres dossiers. Il est un exemple type de la Mémécratie qui s’installe, au détriment de la vraie beauté du féminin sacré qui pourrait revivifier l’humanité. Mais oui, Jeanine, je vois bien que c'est un mec. Mais on peut avoir du poil aux pattes et s'identifier à ce triste pan du féminin: émotion plutôt qu'information, jugement moralisateur plutôt qu'analyse précise, racccourcis faciles plutôt que documentation aboutie, cancans, etc..
Je relaye ci-dessous un billet facebook, mais vous pouvez vous contenter de lire la magistrale déconstruction par Henri Salamander (Ingénieur au CNRS, spécialisé dans les micro et nanotechnologies) via https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/reponse-a-aurelien-barrau-225891 , article dont j’extrais la conclusion qui confirme mon diagnostic de mémé moralisatrice: «La somme de contre-vérités, d’approximations et de mensonges - sans doute inconscients - relayés par Aurélien Barrau est assez confondante. Je lui accorde le crédit de la naïveté, car je ne le soupçonne pas d’être un cynique ou un calculateur. Mais j’ignore ici ce qui y domine le plus, de la naïveté politique ou de la tentation moralisatrice»
Laurent Dt sur fb
Je me décide à commenter ce poste d’Aurélien Barreau dont les arguments tiennent du sophisme, notamment avec une argumentation ad hominem stigmatisant ceux qui avancent une opinion divergente comme conspirationnistes ou incohérents, insoucieux de la solidarité envers les personnes à risque et du bien-commun. Son poste brille par l’absence d’arguments rationnels.
Il s’agit des biais méthodologiques habituels de la rhétorique pro-masque, «... notamment la psychiatrisation systématique des esprits critiques, la reductio ad mortem et la vacuité abyssale de tout argument rationnel»
Sur les points 1 à 3 du poste de Barreau : il s’agit d’un argumentaire ad hominem (ce sont des conspirationnistes, on veut des masques, puis on en veut plus, ...), sans intérêt dans ce débat.
Sur le point n°4 : sur l’efficacité du masque, chacun peut y aller de son modèle physique du phénomène pour justifier pourquoi ça doit marcher ou pas marcher (taille des mailles, forces électrostatiques, aérosols dans flux laminaire ...) mais au final ce sont les observations réelles qui tranchent. L’efficacité du masque a été largement étudiée dans la littérature scientifique depuis 10 ans et le constat est que les masques n’ont pas d’utilité démontrée en terme de protection de soi et négligeable en terme de protection des autres, voir même sont contre-indiqués dans les conditions d’utilisations pratiques (mettre le masque dans sa poche, ...). Denis Rancourt a fait un review de ces articles (cet article a été censuré car trop polémique mais est maintenant disponible ailleurs : https://www.rcreader.com/…/denis-g-rancourt-phd-april-2020-…; Les articles référencés sont quant à eux bien peer-reviewed et disponibles en ligne; réponse à la censure par Rancourt https://www.researchgate.net/…/Whats_your_point_towards_fac…).
Je vous recommande aussi cette lettre à l’OMS du même auteur qui soulève beaucoup de questions sur l’obligation du port du masque, et toujours en se basant sur des faits scientifiques (https://ocla.ca/…/20…/06/2020-06-21-Letter-OCLA-to-WHO-DG.pdf). Imposer une politique de port du masque obligatoire sur base des connaissances scientifiques actuelles est un non-sens.
Sur les points n°5 et 6 : la mortalité de la covid-19 doit être mise en balance avec la réalité de la vie et de la mort. Comparer la covid aux deux guerres mondiales, c’est jouer sur l’émotionnel. Le rationnel c’est que la surmortalité de la 1ère et 2ème guerre mondiale est de 29% et 72% respectivement, à comparer aux 0,92% de la covid dont il est à peu près certain qu’une bonne partie est due à une mauvaise gestion de la crise et des soins, notamment dans les maisons de repos.
Sur le point n°7 : c’est faire l’hypothèse que l’autre («la marre») est empoisonné. Cette hypothèse est à priori fausse car la charge virale expulsée dans les gouttelettes des personnes malades est très faible (article dans Nature d’avril 2020, https://www.nature.com/articles/s41591-020-0843-2, d’après les auteurs il faudrait une exposition prolongée pour craindre une contamination). A contrario c’est le contact régulier avec les autres avec de faibles charges virales échangées et répétées de semaine en semaine qui crée notre immunité. Si nous cessions ces contacts, nous finirions par nous fragiliser et être plus vulnérables aux pandémies futures.
Sur le point n°8 : je citerai ici Jean-Dominique Michel : «... . La seule différence aura existé au niveau clinique, dans cette vague de pneumopathies extrêmement virulente qui a eu lieu, qu’on n’avait pas l’habitude de voir, il est vrai, sous cette forme, avec les viroses hivernales comme la grippe. Mais sinon, on est vraiment restés dans les clous de ce qu’on connaît. Et cette analyse-là n’a pas varié puisque les données l’ont confirmée.» https://www.limpertinentmedia.com/…/nous-sommes-en-train-de…?
C’est donc bien l’aspect clinique qui est particulier dans la crise covid-19. Le souci du bien commun devrait nous mener à nous intéresser d’avantage aux autres 99% des décès, dont ceux qui ont été/sont/seront induits par la gestion de la crise elle-même.
De plus la solidarité doit aussi se mesurer à l’aune des générations futures. Nous ne pouvons pas rompre la coévolution des virus avec leur hôte. C’est le fonctionnement même de la vie. Je vous recommande cet article publié dans Nature «Virus–Host Coevolution with a Focus on Animal and Human DNA Viruses» https://link.springer.com/article/10.1007/s00239-019-09913-4, pour voir les choses sous un autre angle.
Car ma crainte avec cette crise est que les mesures continuent de saison en saison, car à degré de gravité comparable (< 1% de surmortalité), ne devrait-on pas, en toute logique, faire de même pour la grippe ou toute autre maladie infectieuse à faible mortalité qui se manifesterait dans le futur (ce qui vu la dégradation des écosystèmes ne manquera pas d’arriver) ?. Chaque être humain finira par vivre dans une bulle aseptisée, et se distanciera progressivement de la réalité microbiotique de son environnement, pour y devenir complètement inadapté. Un peu comme les amérindiens décimés par les microbes amenés par les conquistadors... Sans parler des aspects psychologiques et sociaux difficilement quantifiables. Nous devrions commencer à questionner la solidarité envers les générations futures incluses dans la notion de bien commun.
J’oserais donc inverser la proposition : ne pas porter de masque ne pourrait-il pas être un acte de solidarité envers les générations futures ?»
Lire un rapport produit par l’OMS en 2019: mesures non pharma pour juguler une pandémie. Accessible via https://www.who.int/influenza/publications/public_health_measures/publication/en/ (adresse directe https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/329438/9789241516839-eng.pdf)
On y lit que la distance physique, le port de masques, le contact tracing etc. n’ont pas été étudiés dans leur efficacité, ou seulement par modélisation. En gros, aucune preuve que ces mesures soient utiles ou recommandables.
Document décodé longuement par des pros en allemand ici: https://www.heise.de/tp/features/COVID-19-WHO-Studie-findet-kaum-Belege-fuer-die-Wirksamkeit-von-Eindaemmungsmassnahmen-4706446.html
J’extrais la fin et je traduis en automatique.
«Quelques mois plus tard, l’OMS recommande alors précisément les mesures dont elle n’a pas pu trouver de preuves fiables quant à leur efficacité peu de temps auparavant.
La contradiction entre ces deux événements ne peut être résolue aujourd’hui en se contentant de souligner que le document de l’OMS de 2019 fait référence à la grippe pandémique, alors que la crise COVID 19 a été déclenchée par un virus différent et peut-être beaucoup plus dangereux. Premièrement, à la page 3 de ce document, l’OMS fait explicitement référence à un nouveau type de virus pour lequel il n’existe pas encore d’immunité de base dans la population humaine. Et deuxièmement, les recommandations actuelles de l’OMS apparaîtraient alors encore plus contestables : Si le coronavirus est considéré comme le pathogène le plus dangereux, pourquoi devrions-nous l’inscrire sur une liste de mesures dont l’efficacité ne peut même pas être prouvée contre la grippe ?
Une solution évidente pour faire face à l’autocontradiction de l’OMS serait de limiter les mesures à celles dont l’OMS a trouvé des preuves scientifiques de qualité au moins modérée quant à leur efficacité. Il s’agirait de l’hygiène des mains et de l’utilisation de masques (dans des contextes cliniques) - éventuellement complétées par des mesures que l’OMS n’a pas étudiées, mais qui s’avèrent plausibles dans le contexte des études empiriques actuelles.
Une solution moins évidente, en revanche, consisterait à espérer l’efficacité combinée de mesures individuellement inefficaces et à essayer de tester cette hypothèse dans le contexte d’un événement qui pourrait alors entrer dans l’histoire de l’humanité comme l’expérience sociale la plus vaste, la plus coûteuse et la plus dévastatrice.»
NB juillet. Depuis le début de l'épidémie, l'OMS a changé son fusil d'épaule. En mars, pour l'OMS, le masque était inutile sauf si l'on était malade et proche de malades (documents et vidéos abondent sur le net, je n'invente pas). Et c'est bien normal, car en épidémiologie c'est un classique: on porte le masque quand on se sait malade et quand on ne veut pas contaminer les autres, risquant de tousser. On porte le masque en hopital ou lorsqu'on visite des personnes âgées, en maison de retraite. Après des dizaines d'années de pratique en infectiologie, tout d'un coup: hop! le masque protège, quel qu'il soit: en tissu, en éponge, en polyesther; et quelle que soit la qualité de protection. C'est y pas beau la modernité?
22 mars. Une lettre de Florence de Changy @fchangy, correspondante à Hong Kong pour Le Monde, RFI et Radio France, à l’attention de Martin Hirsch, Directeur de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris -> https://www.lalibre.be/debats/opinions/depuis-hong-kong-je-suis-ahurie-d-entendre-les-autorites-continuer-d-affirmer-que-le-masque-ne-sert-a-presque-rien-5e7728699978e201d8c94b71
Faites suivre à Maggy De Block! On pourrait circuler, mais avec des masques. On pourrait donc arrêter ces mesures assassines d’assignation à résidence en demandant simplement le port du masque, temporairement?
30 avril. On se focalise, si pas on s’hystérise, sur les masques. Ils seront utiles, certes, mais pas comme je les vois utilisés (au volant de sa voiture, par exemple; ou marchant seul en rue).
Une démonstration par une étude: 21 personnes qui ne portaient pas de masque PPE ont été testés négatifs malgré une exposition prolongée de plusieurs jours avec un cas positif inconnu de COVID-19. Mais ils suivaient les pratiques d’hygiène recommandées en hopital (lavage des mains, etc). En revanche, le conjoint du malade a été testé positif rapidement. On revient à la rengaine de ces dernières semaines: c’est dans le confinement chez soi qu’on se contamine le plus.
En lire une confirmation dans un long article, argumenté, «La paranoïa COVID-19 en Amerique. Les instances sanitaires cherchent désespérément à entretenir l’hystérie dans la population». Je raboute cette question des masques avec ma question récurrente : pourquoi la distance physique («sociale»: yiiiks) de 1.50 m à 2m selon les pays? Qu’on ne s’embrasse pas à bouche-que-veux-tu: d’accord. Mais 1.50M? J’ai déjà exposé mon intuition dans d'autres billets, à savoir que la distance a d'autres objectifs.
Après la superstition des masques, la secte des tests - qui auraient été utiles début mars, pour éventuellement confiner les malades. Mais aujourd’hui? Découvirir ici que 8000 tests ont été réalisés en Hongrie, sur le double prévu: 2 cas repérés. Cékiki n’en sort gagnant? Si ce ne sont les labos producteurs de ces tests et le narratif délirant officiel...
Savoir que de l’avis des pratiquants, ces tests à écouvillons sont très douloureux pour le testé. Ah oui mais j’oubliais, il n’y a plus d’humain, il n’y a que des numéros, des bestiaux. Pas grave s’ils souffrent.
30/4 Je reconnais ne pas écouter la télé ou la radio, ne pas lire les journaux, mais à voir les gens en rue dans ma petite ville de province, je décèle qu’on a récemment vanté le port du masque partout, en toute occasion. Je vois des dames se promener seules, loin de tous: masquées. Des joggeurs dans un parc: masqués!
Une explication de la part complotiss’ qui habite dans mon cerveau.
La courbe s’aplatit, le virus ne fait plus aussi peur, mais on n’a pas encore le vaccin ni l’antiviral idéal à vendre. Que faire, mais que faire? Eh bien, diminuer l’immunité des gens, leur faire respirer tant de leur propre CO2 et si peu de bon oxygène qu’ils vont finir par une pathologie quelconque. Déjà ils sont malades à rester à l’intérieur, à respirer le toluène et les autres COVs de leurs divans de chez Ikaka. Ils vont paniquer, se faire tester (avec un tests PCR à haut taux d’erreur): mais vous êtes porteur du Sarscov2, ma parole...
Psychologiquement, on continue aussi à les enfermer dans une bulle, dans cet aquarium qu’on déjà fabriqué les gafam.
Sociologiquement, on peut aussi les monter les uns contre les autres: «quoi tu n’as pas de masque, tu veux me tuer?». Diviser pour régner, ça a commencé avec Caïn et Abel.
Bref, forcer les masques, c’est gagnant à tous les coups. Sauf pour nous
Rappel technique: je me réfère ici à toutes les instructions officielles y compris celles de l’OMS jusqu’il y a 3 mois (avant que Gates n’impose ses vues en versant des millions de dollars début mars), le masque n’est utile que si vous toussez ou si vous travaillez en hopital.
6 mai. J’écoute le prof Ioannidis interagir en téléconférence (une 20aine de minutes sur https://www.youtube.com/watch?v=HrRZGWwyiUs). Même chez lui, un grand critique des données épidémiologiques depuis le début de cette crise, pas un mot négatif sur les mesures gouvernementales. S’il ne s’agit pas tout simplement de sauver ses fesses et sa réputation, l’erreur pourrait bien se situer dans le point de départ du discours. Je le prends comme icône de ce que je lis chez 99 personnes sur 100, icône qui déculpabilisera des lecteurs qui se sentiraient attaqués par mon analyse. Que les internautes ne s’en fassent pas, même des grandes pointures comme lui font l’erreur. Ou même de brillants Jean-Luc Mélenchon que j’écoute de temps en temps, cherchant quelle voix pourra nous sortir de cette glu.
On discute des masques, de la distanciation, du déconfinement sans redéfinir en tout premier lieu l’ennemi qu’on traque. On part du principe qu’on vit une pandémie spécialement virulente (contagieuse, je l’accorde), pour laquelle on n’a pas de traitement, une maladie que notre corps ne pourrait pas combattre seul. Or, ces principes de départ sont faux (doc à l’appui) : le virus s’avère peu toxique (le nombre de morts en Belgique n’est pas dû au virus, mais à l’impéritie de nos gouvernants) ; les traitements chloroquine et/ou antibiotiques ont démontré sur le terrain leur efficacité et auraient pu sauver; les intubations ont plus tué que sauvé; l’immunité naturelle peut faire face à ce virus, il suffit de voir le nombre de personnes malades qui se remettent sur pied sans traitement ; les personnes qui décèdent sont âgées, en comorbidité, probablement polymédicamentées, fragiles par essence (et de l’avis même de Ferguson, de triste mémoire, « seraient morts dans l’année »).
Malgré ma grande fragilité biochimique, je suis quasi sûre qu’avec mes traitements naturo et l’ immunité naturelle que je soigne au quotidien avec amour, je passerais quelques jours au lit et basta (je n’ai pas >75 ans, je n’ai pas de comorbidité, je ne suis pas diabétique ni hypertendue, je ne suis pas polymédicamentée). C’est d’ailleurs ce qui s’est probablement passé mi février avec un épisode de « grippe folle » comme je la qualifiais, grippe bronchitique qui m’a curieusement fait paniquer alors que j’ai l’habitude d’être malade.
Je me refuse donc à discuter de la couleur de la barbe du Père Noel, car je n’y crois plus depuis 60 ans.
Je lis attentivement les chiffres quotidiens tels que vus par des statisticiens et épidémiologues indépendants depuis le début (je relaye ces rapports ici depuis 2 mois). La réalité qui se dessine est bien différente de l’image que transmettent les medias de grand chemin (selon l’expression de Slobodan Despot), medias dont, ici et maintenant, je suis désolée de dire qu’ils profèrent fake news sur infox. Espérons que là et demain, ils se reprendront.
Le confinement des valides, dit « le confinement aveugle », était une erreur à la base, une technique aberrante. Le déconfinement est une fameuse pantalonnade, parce que ce type de confinement était à la base inoui – « inoui » comme « jamais vu, jamais entendu ». Comme nos experts n’ont pas de référence historique à laquelle se rattacher, personne ne sait ce qui va se passer. On prend donc des décisions de panique, arbitraires, cafouillantes, sans logique, comme suggérer le port du masque en rue, hors cohue.
Après qu’on a chanté sur tous les toits dans les medias et les tribunes politiques que porter un masque ne servait à rien, tout d’un coup cela devient capital « pour protéger les autres si vous êtes asymptomatique ». Je radote, sorry, mais nous faire gober de telles incohérences n’est possible que depuis l’écrasement par les gafams de notre capacité à revoir les faits dans un contexte historique. Je porte probablement le virus de l’herpès, du papillomavirus, certainement celui d’Eppstein-Barr, et qui sait encore combien d’autres. Je pourrais donc contaminer tous et n’importe qui par ces virus. On ne m’a jamais demandé de me baillonner pour autant ? On dirait que mes congénères ne se rappellent plus non plus la manipulation criante des medias et de la médecine lors de la grippe de 2009, entre autres. Cet épisode a été un essai, joliment transformé depuis deux mois: cette fois-ci, tous sont tombés dans le panneau. Ou presque. Une minorité de citoyens se rebelle, une majorité acquiesce.
Si l’on analyse la suggestion de port du masque ou le traçage dans ce contexte (les trois angles que je viens d’exposer), on peut comprendre que certains citoyens le refusent.
J’ajoute qu’en France on veut mettre des masques aux enfants à l’école et leur imposer la distance sociale alors qu’ils ne sont pas malades du covid19 et qu’aucune contagion n’est possible vers les adultes (aussi démontré). On voit bien qu’on n’est plus dans le sanitaire, on délire. On délire ou bien... l’on pourrait déceler des intentions peu louables chez les conseillers cachés de nos gouvernants (pensons aux think tanks petits et grands qui leur transmettent leurs propositions de stratégies, je ne vois pas pourquoi cela aurait changé depuis mes années dans le lobbying). On ne peut tout mettre sur le compte de bourdes administratives et technocratiques, tout de même. Ma conclusion est dans l’image ci-contre.
13 mai. Une entrevue avec le sénateur Ron Paul, qui fut médecin avant sa carrière politique (gynéco: il connaît les masques!)
Je pense encore et toujours qu’accepter de porter le masque (sauf cas extrêmes que j’ai souvent cités) ne fait qu’entretenir les forces de peur qui sont en action contre nous aujourd’hui. Or, je lutte chaque jour pour ne pas laisser la peur et la colère prendre pied dans ma vie. Surtout aujourd’hui.
«Masques Corona - Prévention des infections...ou signalisation de la soumission ?
Ironiquement, alors que les décès dus aux coronavirus continuent de diminuer aux États-Unis et que de plus en plus d’États «s’ouvrent», il semble y avoir une augmentation du port des masques. Les masques faciaux vont-ils empêcher la propagation du virus ? Vont-ils protéger les gens contre le virus ? Ou peuvent-ils en fait causer du tort à certaines personnes ? Ou...même : sont-ils une nouvelle forme de «signal de vertu», une démonstration de soumission aux «autorités» ? De nombreux médecins éminents - dont Fauci il n’y a pas si longtemps - ont condamné le masquage massif de l’Amérique. Ont-ils raison ? «
10.5 Je croise mon jeune voisin qui sort de voiture et soupire: «ouf, c’était moins une, j’ai croisé des policiers, j’ai vite mis mon masque»
Vous voyez où on est déjà? Il croyait donc sincèrement qu’il DEVAIT porter son masque même en roulant? ce qui ne fait pas partie des mesures dans notre commune.
C’est une petite anecdote, mais très significative de la vitesse à laquelle on a instauré la méfiance au sein même du tissu social.
Je rappelle aux distraits que dans une démocratie, les forces de police sont des citoyens comme les autres, mais formés à protéger leurs congénères et à faciliter le vivre ensemble, le respect des règles communautaires. La tâche de ces forces est noble et devrait le rester.
Dans le Japantimes, le 12 mai: «Pas d’augmentation de mortalité à Tokyo pendant la pandémie». Alors que la ville est très concentrée, très polluée (facteurs de risque annoncés) et, bien sûr, très proche de l'épicentre de l'épidémie. Article: https://www.japantimes.co.jp/news/2020/05/12/national/tokyo-overall-mortality-data-shows-no-surge-deaths-pandemic/
«The capital saw 33,106 deaths in the three months through March, 0.4 percent fewer than the average of the previous four years for the same period, according to data from the Tokyo Metropolitan Government. Data for April, when new daily virus cases peaked in the city, is not yet available.»
(...)
«While authorities have acknowledged that, similar to other countries, the true size of the infection in Japan is unknown, they have said they’re confident in grasping the scale of the casualties. Tokyo, with an estimated population of about 14 million, has had the most confirmed cases in Japan.»
En conclusion, une élégante façon de pointer les autres pays sans les citer:
«Japan conducts surveillance for pneumonia, so almost all cases of pneumonia undergo a CT scan, and most of those would do a PCR test — so I think we are picking up the right numbers of deaths,” Shigeru Omi, the deputy head of the government’s advisory panel on the virus, said at a May 4 news conference.»
Sous-entendu: ils n’incluent pas tout le monde en «mort du covid».
En pure profane, je note que, grands habitués du masque, les Japonais ont commencé très tôt à les porter dès qu'ils ont le soupçon d'être malades. Ce qu’il fallait faire à ce moment-là (mais plus maintenant, bande de klets!).
15.5 Pour le Pr. Bhakdi, un vaccin contre le coronavirus serait « inutile et dangereux » et les masques sont des « nids à microbes ». "Dans une nouvelle interview à la chaine de télévision allemande Servus TV, le professeur émérite de l’Université Johannes-Gutenberg de Mayence Sucharit Bhakdi dénonce une « campagne de peur intolérable » menée par les médias ainsi qu’une « campagne de désinformation irresponsable ». Extraits et vidéos.
Selon le professeur Bhakdi, « les masques pour la population générale ne sont pas nécessaires et peuvent en fait être des « nids à microbes » plus nuisibles qu’autre chose »
Il explique que « la crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus » mais également qu’un vaccin contre le coronavirus serait « inutile et dangereux, comme c’était déjà le cas pour la grippe porcine. »
Il pointe également la responsabilité de L’OMS, qui selon lui « n’a jamais assumé la responsabilité des nombreuses mauvaises décisions qu’elle a prises au fil des ans ». (source:covidinfos.net)
Suivre l'interview, original sur https://www.servustv.com/videos/aa-23zjmvcz51w12/ - aussi https://www.youtube.com/watch?v=xc-e8zaxicQ avec sous-titres français possibles (à comprendre comme les modes d’emploi ikea: avec créativité)
Intéressés par le grand flou autour des tests covid? Denis Robert, le journaliste d’investigation, interroge un spécialiste, David Mendels. En vidéo, pour Le Média, 37 minutes. En gros et en travers: le gouvernement paye une agence technique pour «tester les tests», agence qui dresse un classement. Résultat les Pouvoirs publics homologuent les kits aux résultats les MOINS fiables.
Ecouter https://www.youtube.com/watch?v=vrjmY_ffgAg
«des tests - remboursés par la sécurité sociale - dont on savait qu’ils étaient peu voire pas fiables, ont été mis en vente. (...)
Sur les 11 tests sur lesquels a travaillé David Mendels, un seul a franchi la barre de la fiabilité selon les critères établis par la haute autorité de santé (HAS) en matière de spécificité et de sensibilité. Pourtant dans la liste finale, la plupart y compris les pires, ont été homologués par le Ministère. »
Question 2318. On ne peut pas aider les gens malgré eux. Je déplore que les petits commerces risquent d’être désertés par une bonne partie des gens qui n’aiment pas être traités comme du bétail et qui vont leur préférer la vente à distance. Il n’y a aucune étude qui démontre qu’à ce stade-ci de l’épidémie on doive porter un masque (sauf ceux qui toussent); aucune qui prouve que la distance d’1.50-2 m soit utile (sauf à hurler comme au foot).
Pourquoi les fédérations de commerçants n’ont-elle pas fait pression auprès des autorités pour empêcher cette hystérie?
Après «la foi dans les masques», la foi dans les tests. La religion s’est retirée de nos vies sur ses petits pieds, on s’accroche à ce qu’on peut comme hochet. Désormais on sait tous la différence entre les tests PCR et les tests sérologiques covid-19.
«Il faudra tester» est devenu une prière, on continue dans l’irrationalité. A-t-on interrogé dans les medias la justesse de cette litanie? Si ce n’est pour obtenir un taux d’atteinte réel et une létalité réelle (qui, tests faits aux States, s’élève au taux de létalité de la grippe classique). Quelle utilité pour le péquin? Quelle est la fiabilité de ces tests?
J’avais cru comprendre que le créateur même de cette technique PCR, Margulis, avait prévenu qu’elle n’était pas fiable au point de l’utiliser en diagnostic. Certains annoncent une fiabilité de 70%, pas fameux.
J’avais retenu qu’aux States en tout cas (ma source d’info principale) les tests PCR covid repèrent en fait 4 familles de coronavirus, dont celui du rhume ordinaire (prévalence jusqu’à 8%). source: https://t.co/UyAUdBbcyf?amp=1
J’avais compris que les tests n’étaient utiles qu’en tout début d’épidémie, pour cerner les malades et les confiner, le cas échéant.
(NB Qu’on ne vienne pas me relancer sur le sujet des «tu es asymptomatique et tu vas tuer ta grand mère», car je repars sur un discours de 3 heures).
Bref, ne le prenez pas mal si c’est votre religion, mais je préfère donner ma foi à de plus grandes valeurs que des écouvillons.
12.5 («un loup» = «un loupé» en argot, càd un ratage, une entourloupe) Bis repetita: les masques auraient été utiles tout au début de l’épidémie, ils ne le sont plus aujourd’hui qu’elle se termine. Le conseil, parfois l’obligation, de les porter est un cheval de Troie de la silicon valley et des technofous qui nous trouvent un peu trop humains encore. Comment nos gouvernants n’ont-ils pas compris cela, voilà qui me dépasse! Je ne me lasserai pas de répéter à mes camarades porte-masques: le fait de les mettre de votre propre volonté, hors hopital et visite de votre grand mère, signale que vous acceptez que nos enfants deviennent des robots.
Je ne vais pas refaire le dossier, j’ai assez glosé ici sur le projet ID 2020 (validé par la Commission européenne!), leur volonté d’isoler chaque humain, de le tracer, de le digitaliser pour en extraire le capital (miner les données de santé, etc.). On retrouvera l’analyse de ce projet dans le pdf que je mettrai à disposition sous peu.
Lire l'article "La crise du Covid-19, avènement d'une société sans visage. Avec la fin du confinement, nous allons découvrir un espace public anonyme où il ne restera que la parole ou le choix d'ignorer totalement son prochain" de Slate.fr, dont la conclusion est:
«En nous obligeant à dissimuler nos visages, le Covid-19, qui nous aura condamné·es à nous isoler physiquement et à laisser nos proches mourir loin des yeux du monde, donne désormais une forme concrète et tangible à la méfiance et à l’anonymat et finit de dépouiller les relations humaines dans l’espace public de l’intérêt qu’il leur restait. Après avoir ainsi perdu la face, notre relation aux autres, ce vivre-ensemble utopique (...) va avoir du mal à s’en relever.»
Et c’est bien cela qu’ID 2020 et les fondations Rockefeller & Gates qui le soutiennent veulent obtenir. Nous rendre aussi indifférents l’un à l’autre que le bétail ne l’est en batterie.
15.5 Daniel Salvatore Schiffer revient sur la crise actuelle en convoquant les philosophes Emmanuel Levinas et Michel Foucault - https://plus.lesoir.be/301163/article/2020-05-15/le-masque-du-confinement-occultation-du-visage-et-enfermement-de-la-personne
«(...) la machine à broyer les individus, en ce totalitarisme au sombre temps du Coronavirus, se révèle désormais bien huilée, au faîte d’une servitude étrangement volontaire (voir, à ce propos, le « Discours » de La Boétie) de la part du peuple, à de trop rares exceptions près, en son ensemble !»
Bizarre que l’auteur écrive «Personne, certes, ne niera, ici non plus, cette nécessité (de porter le masque)». Il est donc lui-même dans la servitude volontaire, ma parole. Une petite recherche simple sur le net et un raisonnement historique de base lui auraient donné les infos pour pouvoir nier cette «nécessité». Il faut certes du consentement pour qu’une société tienne ensemble, mais de là à critiquer l’effet sans remettre en cause la base?
Combien de fois devrai-je répéter: il ne faut pas porter de masque, il ne faut de distanciation. Y a qu’à regarder le patron... Il n'y croit pas lui-même. Castaner n'est ici qu'un exemple, on en a plein parmi nos élus. On voit aussi en vidéo le tout puissant Fauci américain, grand terroriste pro masque https://www.facebook.com/gary.homberg.73/videos/746541886094909/UzpfSTEwMDAwMTc4NTc1MDMxNjozMDk1MDk0MjU3MjI2NzM2/: "Quand la caméra est éteinte, le virus disparaît. Le Dr. Fauci du CDC retire son masque des qu’il n’est plus en direct". Ce qu'on a vu aussi aux conférences de presse, dont j'ai relayé les vidéos (journalistes aussi bien que délégués officiels); ce qu'on verrait si on envoyait tous des minidrones espionner nos élus... Personne parmi les décideurs n'y croit, de toute évidence. On aurait dû se douter que, puisque masque il y a, nous assistons à une pièce de théâtre où le faux est mis en scène. Les toutes premières tragédies étaient chantées, les acteurs derrière des masques.
Il y a de la logique dans la folie, on n’est pas en absurdie comme je le lis partout. Il est largement démontré que l’immunité dépend de multiples facteurs, dont deux essentiels sont: l’oxygénation et les liens sociaux, en particulier les caresses (ocytocine etc.)
Que produit l’enfermement chez soi (en FR: l’enfermement était très strict)? Manque d’oxygénation, d’exercice -> immunité diminuée.
Que produit le masque? Excès de CO2, impact sur l’oxygénation naturelle (81% des porteurs de masque en continu, dans les magasins aux States, se plaignent de maux de tête) -> immunité diminuée
Que produit l’interdiction de contact physique -> immunité diminuée.
Je dis et je repète: les gars qui soufflent ces idées aberrantes à nos gouvernants sont des génies de la manipulation. Si on ne voit pas ces petits démons à l’oeuvre, on ne comprend évidemment pas pourquoi «les masques ne servent à rien» en mois 1 et «imposition du masque» en mois 2.
Selon covidinfos.net, le port du masque obligatoire va provoquer « plus d’immaturité, de passivité et de peur dans la population »
La ministre Elisabeth Borne a annoncé aujourd’hui que le port du masque serait obligatoire dans les transports en commun pour les passagers à partir de 11 ans. Le président du conseil de l’Association Médicale Mondiale, Frank Montgomery, a lui affirmé de son côté ce genre de mesure était « une erreur ».
D’autres comme le Dr. Erickson ont affirmé : « des études montrent que l’utilisation de masques dans la vie quotidienne n’apporte pas de bénéfices mesurables aux personnes en bonne santé et asymptomatiques ».
L’infectiologue Suisse Dr. Vernazza a dénoncé un « battage médiatique » autour des masques. Et le Pr. Bhakdi affirmé que les masques étaient des « nids à microbes plus nuisibles qu’autre chose »
D’autres critiques parlent d’un symbole d’« obéissance forcée, visible par le public ».
C’est le cas du site Multipolar, qui explique : « L’obligation du port du masque dans les transports publics et lors de l’entrée dans les magasins et les supermarchés est moins une mesure médicale qu’une mesure psychologique : les citoyens sont traités comme des enfants et sont obligés d’obéir publiquement. »
« Outre l’absence d’intérêt médical, la mesure consiste à forcer tous les citoyens à montrer qu’ils ont peur du virus publiquement et de manière ostensible […]. Sous la menace de sanctions, les personnes sont forcées à signaler [via le port de masque] à leurs concitoyens qu’elles se soumettent volontiers [aux mesures du gouvernement], quelle que soit l’objectivité ou le doute des mesures ordonnées. »
« Le résultat prévisible de l’obligation de porter un masque est donc encore plus d’immaturité, de passivité, de découragement et de peur dans la population. »
Sources : SWPR (anglais)
Si j’étais une boîte de vente à distance, si je voulais promouvoir ce mode et décourager les ventes en direct, je rendrais la visite des magasins très casse-pieds. Par exemple avec des barrières à bétail. Par exemple avec des marques au sol comme pour des débiles. Par exemple en autorisant une personne à la fois dans le petit magasin, en provoquant des files au dehors du magasin, comme en URSS avant la perestroïka. Par exemple en forçant le port du masque, si dérangeant pour les penseurs autonomes.
A plusieurs reprises, j’ai fait demi tour tant j’étais humiliée par ce traitement bétaillé. Je ne suis pas grande acheteuse. Si je l’étais, il est sûr que mon double aurait déjà passé les commandes sur mazone...
Je rappelle qu’aucune étude scientifique ne justifie le port du masque en fin d’épidémie; aucune la distanciation sociale à ce point, même en début d’épidémie. J’essaie fort, mais alors là très très fort, de croire que nos experts Dupond et Dupont du conseil scientifique ont décidé ça au doigt mouillé et n’ont pas reçu des suggestions via certaines officines.
16.5 Reuters veut nous faire croire que les contraintes s’allègent: une vidéo glaçante sur des zombies, le monteur essaye de faire passer la pilule avec de la musique légère. Cliquer sur https://twitter.com/Reuters/status/1261604807711703045
Le magazine Sciences et avenir qui défend le port du masque et qui prévoit une deuxième vague? En contradiction avec ce que les scientifiques sérieux, spécialistes du domaine, commentent? S'il fallait encore un petit coup de pouce pour décourager tout jeune de se lancer dans une carrière scientifique... Peut-être est-ce un nouvel article écrit par robot, la dernière mode sur le net. Ou alors quelqu’un saurait s’ils sont aussi hautement financés que Le Monde par la Gates foundation? L’annonce d’une deuxième vague faisait partie de la stratégie prévisionnelle jouée par les acteurs d’Event 201 (https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/), annonce prévue pour garder le public en alerte pendant que les labos cherchaient un vaccin. Comment un magazine sérieux tombe dans ce panneau?
NB. Pour votre info: le même Event 201 prévoyait d’inonder les réseaux sociaux avec des informations contradictoires, afin que le public se désintéresse et ne se fie qu’aux medias de grand chemin alias télé & Cie. Ce coup-là est quasi réussi.
30.5 Camarades porteurs de masque, ne lisez pas, je ne voudrais pas vous blesser. Un témoignage de Laurent Florizoone, professeur, fin mai 2020, après la rentrée en classe: Retour à l'école : la nouvelle attitude des élèves m'inquiète.
Je rappelle qu’on porte le masque si l’on veut, je ne le fais plus car je sais qu’à ce stade de l’épidémie c’est inutile, ce qui est confirmé par tant et tant d’experts du domaine. Je l’ai porté dès début mars dans les magasins, tout au début de l’épidémie (et je passais pour une extraterrestre).
Je ne le fais plus pour ces raisons de non efficacité, mais aussi car j’ai la très forte impression que cette mesure a une portée symbolique bien plus sérieuse que ce que je ne lis dans les forums «autour du masque». Il s’agit d’installer une forme d’adhésion au pouvoir, par simple obéissance à des actes absurdes (aussi absurdes qu’interdire de se promener en forêt tout en autorisant les travailleurs essentiels à se frotter dans le métro - c’est par des incohérences similaires que l’état soviétique gardait le peuple sous sa coupe).
Ce n’est pas anodin, car cela s’inscrit dans un puzzle d’oppression en marche bien plus vaste. Je combine ceci à la pression policière majeure, cette forme de menace permanente pour le citoyen qui se demande, à l’heure de ces brutalités, qui le protège donc de la police, elle qui est supposée le protéger des brigands.
Le peuple a, paraît-il, demandé un état plus sécuritaire. On dirait qu’il va recevoir un état totalitaire.
Le titre original de l’article était plus radical: «Le masque de la tyrannie» (que j’aimerais renommer «la tyrannie par le masque»). Le prof décrit les comportements de ses élèves. «On dirait qu’ils se méfient de la vie. Il y a quelque chose qui cloche. Sommes-nous mûrs pour une tyrannie sans tyran ?»
Lire aussi un historique du «mystère des masques» par un médecin rationnel, dans https://childrenshealthdefense.org/news/the-risks-vs-benefits-of-face-masks-is-there-an-agenda (anglais uniquement). Il rappelle les fondements des positions officielles, les réelles raisons scientifiques et émet des hypothèses qui méritent lecture. Je crois avoir compris qu’il partage la même analyse que moi, ci-dessus. Il conclut: «Faire porter des masques aux enfants peut causer des dommages psychologiques, émotionnels et physiques à long terme. Il favorise une peur excessive des microbes (phobie) et de l’interaction sociale. La réduction des niveaux d’oxygène augmentera l’anxiété, la fatigue et le brouillard cérébral, diminuera la capacité d’apprentissage en raison de la diminution de l’oxygène au cerveau, affaiblira leur système immunitaire et peut entraîner une augmentation du taux et de la gravité de tous les types d’infections, et pas seulement de la COVID-19. Nous savons que les enfants sont très peu exposés au risque de complications liées à COVID-19. Pourtant, cette pratique du port du masque facial pourrait potentiellement augmenter ce niveau de risque.»
10.7 "Le port du masque sera obligatoire dans une série de lieux publics à partir de ce samedi 11/7 en Belgique".
On a beau savoir que le corona a entraîné nos sociétés, élus compris, dans une véritable hallucination collective , il est dur d'accepter ces hystéries en sérénité. Il est dur de voir qu'aucun contre-pouvoir ne les ramène à l'équilibre. Vite, mettons-les tous à l'olanzapine, qu'on les calme! Source: https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_coronavirus-en-belgique-le-port-du-masque-sera-obligatoire-dans-une-serie-de-lieux-publics-a-partir-de-ce-samedi
Il reste les marchés hebdomadaires, on dirait. Ouf! Sinon on finirait par jeûner si l'on refuse de se soumettre. Ceci dit, c'est malin de leur part, c'est la meilleure façon de promouvoir les courses en ligne, le visionnage en ligne, tout le télé-brol, ce qui démultiplie les fortunes des gafam; c'est la meilleure façon de tuer la culture et le commerce de détail. Bravo à nos gouvernants!
L'obligation du port du masque est une décision purement politique, dans le degré zéro de la science sanitaire, mais pour la bonne forme je fais suivre une doc d'Olivier Palarbre, à l'intention de ceux qui croient encore aux masques.
NB. Une des pollutions environnantes est celle des nanoparticules provenant des pneus de voitures, qui volètent dans l'air. Une nanoparticule se rit d'un tissu!
Même si je sais que les pétitions n'ont pas de valeur, je viens de signer "NON au port du masque obligatoire en Belgique!" Je ne justifie pas ma signature face à ceux qui interrogent "mais enfin le masque me protège...", je viens de publier 800 pages dans les derniers 4 mois, en relayant de grandes pointures parmi les scientifiques (indépendantes, souvent) qui exposent les protections covid plus sereinement que nos délirants du gouvernement. Je maintiens que nous vivons ce qui ressemble à une hystérie collective (voir le billet). Celui qui ne voit pas que cette décision est de la politique pure est un perdreau de l'année. Ceux qui veulent s'informer peuvent lire les médias indépendants et non les médias de grand chemin; ceux qui ne veulent pas, eh bien, je serai solidaire et j'accepterai avec résignation le confinement qu'on nous préparera en automne... à cause d'eux. Comme les décideurs auront vu qu'ils sont prêts à suivre n'importe quelle mesure arbitraire, en dépit de toute science, sans rébellion, ils verront l'autoroute libre pour décider ce qu'ils veulent.
Signer la pétition d'Initiative citoyenne: https://www.petitionenligne.be/no_au_port_du_masque_obligat…#
NB Je relaye ci-dessous une affichette de Marc Bodart, dans le contexte d'un gouvernement qui impose des masques quand l'épidémie est terminée; quand tous les scientifiques sérieux indiquent que la 2ème vague est une fiction...
10.7 Isabelle Duchateau réagit à cette affichette et parodie:
Quel problème? La courbe est plate comme l'eau d'un lac.
Je viens de lire sur fb, ça m'amuse, j'en ai fait une affichette. Et dire que des internautes " croyants" demandent encore "des références" pour justifier qu'on annonce que l'épidémie est finie... Ah! quand la peur prend aux tripes, tout le sang quitte le cerveau
Je rebondis sur ma question récurrente. Lorsque l’on cherche à évaluer combien d’entre nous sont déjà immunisés (tests sérologiques), comment s’expliquer des résultats si différents: certaines équipes trouvent 3% de positifs, d’autres jusqu’à 30% de positifs dans certaines zones. Londres à ce jour (fin mai): près de 18% selon les autorités. Parfois même 0.7%.
Une étude italienne découvre que «Covid-19 était déjà présent à Milan avant le 21 février : un donneur de sang sur 20 (4,6 % des 800 testés) avait déjà développé des anticorps. C’est ce qu’indique une étude réalisée par l’hôpital polyclinique de la capitale lombarde.»
(étude prépubliée sur medRxiv, Policlinico di Milano)
J’avais déjà relayé le 2 avril ceci: «Castiglione D’Adda devient un cas d’école : 40 des 60 donneurs de sang (70%) ont été testés positifs pour le coronavirus. Un fait qui, selon les experts, devrait être attribué aux patients dits asymptomatiques. Ces données sont apparues à la suite d’une sélection effectuée par l’hôpital de Codogno sur les donneurs de Castiglione. Beaucoup étaient positifs sans le savoir, car ils étaient asymptomatique»
source: https://it.finance.yahoo.com/notizie/coronavirus-castiglione-d-adda-il-065252105.html
Je comprends les médecins qui voudraient que les profanes arrêtent de poser des questions (les 20 médecins que j’ai usés depuis 40 ans en sont témoins). Mais il s’agit de nos libertés individuelles, tout de même. Tant qu’on n’est pas immunisés, «on» va nous refaire le même cinéma paranoïaque, comme si ce virus était si différent des grippes classiques.
Réponse d’un lecteur médecin: Apparemment, il y a plusieurs tests de sérologie, mais il semble ne pas indiquer les mêmes résultats… Pour certains il faut des hauts taux d’anticorps, Pour d’autres être au minimum quelques semaines après les premiers symptômes, pour d’autres pas trop tard après les premiers symptômes… C’est ce que nous avons reçu comme info pour le moment après avoir essayé deux tests... Bref, il semble qu’on soit encore nulle part 🥳 En tout cas pour les tests sérologique qui circulent.
Je me garde bien de jouer au jeu des "preuves scientifiques" pour ou contre les masques. J'ai quelques kilomètres dans les pattes en nutrition, cela fait des années qu'entre écoles diverses on se bat à coup de "preuves scientifiques", chacun picorant dans l'énorme littérature disponible précisément les quelques études qui confortent son point de vue. Les champions de ce cherry picking (je choisis les meilleures cerises) sont mes amis paléonutritionnistes et mes moins amis les véganes.
Je relaye malgré tout un message de Sylvianne Honorez, que je remercie.
Le 3 avril 2020 , une équipe de chercheurs a publié dans Nature une étude qui a évalué l’impact du port du masque sur la propagation du coronavirus, tant par des personnes symptomatiques qu’asymptomatiques
• Cette étude a démontré l’effet bénéfique quand le masque est posté par une personne symptomatique, réduisant la charge virale expirée par la rétention des gouttelettes.
• Cette étude ne montre pas de différence concluante dans la charge virale retrouvée par voie aérosol. Si la charge virale expirée est bien diminuée pour les porteurs symptomatiques, il n’y a pas de différence notable pour les porteurs asymptomatiques. Par ailleurs, ils notent que dans les deux cas la charge virale retrouvée est largement inférieure à celle expulsée par les porteurs symptomatiques sans le port du masque, et posent l’hypothèse que cette charge pourrait être dans les deux cas insuffisante pour induire une infection chez la majorité des personnes.
• En conséquence, les chercheurs concluent qu’il est recommandé de faire porter un masque à toutes les personnes infectées symptomatiques.
Ils concluent que – si la transmission peut se faire par voie aérosol – le port du masque n’a probablement aucun effet.
Ils concluent donc en l’absence d’argument pour justifier un port du masque généralisé aux personnes asymptomatiques.
12.7 Une réponse classique sur le net lorsqu'on questionne le port du masque: "le virus se trouve dans les gouttelettes projetées lorsque nous respirons et qui sont emprisonnées a apparemment de moitié lorsque l'on met un masque > moins de prolifération du virus". Je ne réponds pas factuellement, on risque la dispute - ce n'est pas mon intention. En revanche, sur le fond, je peux répondre: je n'ai rien contre ceux qui croient au masque; pourquoi me l'imposer? De même quand on m'envoie " J'ai peur du retour de certains fêtards dont je vois les activités sur Instagram... Le virus ne prend pas de vacances...". Pourquoi toujours culpabiliser les autres? Pourquoi monter les citoyens les uns contre les autres?
"Porter le masque n'engage à rien": ce n'est pas si simple. A acquiescer ainsi à des mesures arbitraires sans fondement, les pro-masques en public ouvrent la porte aux autres abus des autorités: lorsque nous serons confinés en novembre (je n'en doute pas), ce sera grâce aux acquiesceurs, car les élus auront vu qu'ils peuvent faire avaler n'importe quelle couleuvre. Hélas! Et il faudra qu'on accepte par solidarité, car on vit en groupe. Et il faut respecter "toutes les libertés"...
12.7 Cette affaire du port du masque obligatoire est très intéressante à étudier d’un point de vue sociologique des libertés de chacun. L’utilité du masque hors hopital et hors personne malade, qui voudrait ne pas contaminer, est le sujet de dissensions majeures dans la communauté scientifique. J’ai été une des premières à étudier le sujet, dès le début mars. Je pense en avoir fait le tour, et non pas via un réseau social, mais via des experts et des études. Nous sommes là dans une affaire de croyances individuelles, et non de science. Je respecte toutes les croyances, j’en ai des bizarres moi-même. Mais j’ai de la peine à comprendre ceci : au nom d’une croyance, on veut imposer à tous le port du masque ? Les personnes qui sont si pro-masques ont-elles pensé qu’en validant ce choix, elles forcent le personnel des magasins, les serveurs, les personnes à leur service à porter ces masques de longues heures durant ? Alors qu’elles-mêmes ne les portent que le temps de faire les courses… assez longtemps pour ne pas être incommodé. Tandis que ceux qui doivent les porter toute la journée : aïe aïe aïe. Je ne demande à personne de changer d’avis, je demande qu’on se pose la question : pourquoi imposer aux autres ce à quoi l’on croit ? Parole de libertaire dans l’âme depuis toujours. Je n’ai délibérément pas envisagé l’affaire selon le gaspillage écologique, cela compliquerait encore plus le débat.
17.7 On peut aussi analyser le port ou non du masque du point de vue psychologique. Le refrain: "tu dois mettre le masque, ne fut-ce que par respect pour nous". Par respect? Mais je respecte vos croyances, je ne vous demande pas de le retirer, voyons. Dans votre injonction, où est le respect de ma propre liberté de ne pas le porter? Rappelons que nous sommes dans le degré zéro de la science et dans le 100% croyances, vous aurez lu le début de cette longue page, n'est-ce pas?
Voilà qui me ramène à un étonnement face à une attitude occidentale assez récente: "je ne viens pas à votre fête, car vous mangez de la viande et je suis heurtée par cette idée". La gentille dame se désamifie donc de notre groupe, car "par respect pour elle", nous devrions partager sa religion alimentaire. C'est pas du tout beau Pol Pot, ça?
On rejoint aussi le narcissisme exacerbé par les réseaux sociaux: le monde tourne autour du nombril de chacun, les autres doivent s'adapter à MA vision des choses, MES croyances, MES normes.
Dans le droit fil de l’analyse de Sacha Morkitzky, je rebondis sur la narcissisation extrême de nos congénères connectés, dont je n’analyse pas les sources, mais les effets. J’évaluerai dans un autre billet en quoi cette nombrilisation des internautes n’aide pas dans le crise actuelle. Je rebondis par une blaguounette... qui ne fait pas rire.
Vous avez, comme moi, été confronté depuis quelques années à des personnes qui vous refusent un acte, un mode de vie, car «cela les heurte». Leur ressenti est le centre du monde, personne d’autre n’existe, aucune autre vision du monde, aucune autre perception.
Ricky Gervais, auteur de la série hilarante «The Office» ainsi que de sketchs provocateurs et drolissimes raconte son échange sur twitter avec une Américaine
-- «monsieur, je vous mets en demeure d’effacer du net votre sketch sur les allergiques aux noisettes, il est blessant»
... divers échanges, puis
-- «madame, vous rendez vous compte que je me moque même des camps de concentration dans mes sketchs?»
-- «monsieur, les camps ne sont rien face à l’allergie de ma fille»
Sans commentaire.
J’ai mis le temps, mais j’ai enfin compris! Notre conseil scientifique croit que l’on ne sait pas lire. C’était tout bête. Et donc ils jouent entre eux à se faire peur, croyant être seuls ou face à des analphabètes.
Le microbiologiste Antoine Khoury, président-directeur général de l’entreprise Vacci-Vet à Saint-Hyacinthe:
« Les masques qui sont sur le marché ne font rien pour protéger les gens du virus : ils ne sont pas stériles contrairement à ceux qu’on retrouve dans les hôpitaux et il ne faut pas les porter plus de 15 ou 20 minutes, sinon ils vont se transformer en incubateurs à bactéries. Et c’est encore pire pour les masques en tissus, de véritables ramassis de bactéries parce qu’ils sont poreux », estime M. Khoury.
Lire la suite: Une mesure dangereuse, selon un microbiologiste
Ce n’est qu’anecdotique, mais en nutrition, j’ai vu quelques réactifs aux laitages, aux noix, au gluten... et infiniment plus de gens (quasi tous les sujets à profil réactif, ce qui est un peu différent d’allergique) qui hyperréagissaient à aspergillus. Ce n’est pas anodin, car ce réactogène subtil déclenche des réactions inflammatoires dont on ne peut pointer la source.
Ben dis donc, je comprends pourquoi je freine physiquement face à ce masque...
Pour info: les réactivités aux moisissures comme aspergillus sont magnifiées lorsqu'on est soumis à la pollution électromagnétique. Soyez prudents, sortez découverts!
Isabelle Duchateau
1. Des masques contaminés à aspegillus
La chasse aux masques périmés, dont certains ont déjà été utilisés, est lancée - rts.ch - Info
https://www.rts.ch/info/11459958-la-chasse-aux-masques-perimes-dont-certains-ont-deja-ete-utilises-est-lancee.html
2. Des patients contaminés à aspergillus
Covid-19 : un tiers des patients en soins intensifs pourraient être atteints d’aspergillose | Le Quotidien du médecin
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/recherche-science/covid-19-un-tiers-des-patients-en-soins-intensifs-pourraient-etre-atteints-daspergillose
Une pancarte partagée par Didier Carre, je traduis.
«Si vous portez un masque, que vous importe que je n’en porte pas? Votre masque suffit à vous protéger, non?»
Ce sont ici les commentaires qui importent, j'en extrais quelques uns comme os à ronger.
Internaute 1. " Leurs arguments sont beaucoup plus fallacieux! La propagande nous dit: le masque sert à protéger les autres. Elle dit également qu'il ne protège pas celui qui le porte mais elle laisse les ignorants flippés et conformistes le croire. Donc c'est un perfect: le bon peuple va faire son fliccage tout seul puisque les opposants comme nous vont être stigmatisés et identifiés comme des Terroristes. C'est la Peste Brune qui s'étend."
2. " L’argument est encore pire. Ils disent que le masque laisse passer des virus mais à un faible pourcentage! Du coup, plus il y aura des personnes qui le porte moins il y aura de % de propagation. Ils sont fatiguant
Le 3 me tient à coeur car il touche à mon travail depuis 20 ans.
-- " Je me demande qui a peur au final... et cette façon de poser le débat de manière clivée est à mes yeux aussi dangereuse que ce qui est dénoncé. Ce qui revient à un même risque... Quelle tristesse au final que d'aborder les choses de façon si dichotomique. On y perd tous "
-- à quoi je réponds: " Je ne comprends pas non plus en quoi analyser, auditer une situation fait dichotomie. Que les gens pensent binaire et veuillent se positionner, c'est leur choix. Je ne vois qu'un kaléidoscope de comportements humains ici"
-- " il s'agit bien plus que de recherches, d'analyses et de formulations d'hypothèses. Je trouve peu de construction collective du savoir dans vos approches mais plutôt des assertions, prises de position, voire de la déconsideration de points de vue divergents... ce qui est une stratégie de communication que personnellement je ne soutiens pas. Nous avançons à tâtons dans la découverte de ce virus, les connaissances s'accumulent, s'interprêtent... parfois mal. Les systèmes de prises de décision, les modèles mathématiques auquel il est recouru dans cet objectif, les conseils d'experts,... tout cela est un gigantesque processus d'apprentissage collectif auquel certes vous apportez votre pierre. Je pense toutefois intéressant de rester prudent et modéré sur la forme de son discours et conscient de ses propres biais d'analyse, de lecture et d'expression, aussi pour ne pas reproduire à son échelle, au sein de son réseau -parfois à son insu - des pratiques que vous dénoncez. Je vous invite à parcourir les différents articles du dossier Covid-19 de la Revue Nouvelle, publié en pleine pandémie, regards pluridisciplinaires croisés passionnants! Je vous cherche le lien"
-- Je: " Je n'ai aucun espoir d'être comprise en transmission livresque, j'ai 26 livres dans le dos et je vois bien le volume d'incompréhensions. C'est le format écriture qui veut cela. Je peux comparer avec les innombrables conférences et ateliers que j'ai donnés: le discours passe infiniment mieux en "live", même si, et c'est bien humain, les concepts se placent dans un puzzle tout personnel, trahissant ainsi ce que j'ai formulé. Je répète: j'ai annoncé dès le premier jour que je fais un dossier à charge, je pars d'une hypothèse et je cherche les pistes qui la confirment. J'ai aussi une posture de vieille anarchiste (alias libertaire) et j'assume ce biais d'analyse. Aussi annoncé dès le départ.
Je n'écris pas pour être comprise, mais pour laisser des graines à ceux que cela peut aider dans leur volonté de comprendre le système. Que chacun se serve...
Je lis par curiosité le texte de loi du 10/7 (source https://www.ejustice.just.fgov.be/cgi/article.pl). Je voulais vérifier si je pouvais tout simplement faire mes courses avec un sparadrap sur la bouche. Ben non.
«Art. 4. (...) « Toute personne à partir de l’âge de 12 ans est obligée de se couvrir la bouche et le nez avec un masque ou toute autre alternative en tissu dans les établissements suivants :(...)»
Ce qui me permettra de mettre un foulard flou plutôt qu’un masque, foulard que je choisirai dans des gazes très fines, qui me permettent de respirer.
Avis aux techniciens labo: pourquoi couvrir le nez? C’est par la toux qu’on contamine, non?
NB. Il y a de quoi sourire quand on lit «Considérant que le port d’un masque ou de toute autre alternative en tissu joue un rôle important dans la stratégie de retrait progressif des mesures; que le port du masque est dès lors recommandé à la population pour toute situation où les règles de distanciation sociale ne peuvent être respectées afin d’éviter la poursuite de la propagation du virus; qu’il est obligatoire dans certains établissements et certaines situations spécifiques; que l’usage d’un masque seul ne suffit toutefois pas et qu’il doit toujours être accompagné par les autres mesures de prévention; que la distanciation sociale reste la mesure de prévention principale et prioritaire;». On ne pourrait pas dire plus clairement «le masque ne sert à rien, en fait, mais on le propose parce qu’on ne sait plus quoi, finalement».
Je vais faire une collection de toutes les justifications pro-masque que je lis de la part d’internautes, justifs les plus capillotractées les unes que les autres. Pour le plaisir de la chose, l’âme humaine étant si complexe, mais aussi pour vérifier ce que je crois: pas UNE, je dis bien pas UNE, n’a reconnu être pro-masque pour cacher sa propre angoisse ou reconnu simplement «parce que j’y crois». Y a pas de honte à le dire, voyons. Je chante dans la cave parce que j’ai peur du noir et pourtant j’ai 65 ans. Et alors? ça ne me rend pas idiote ou ridicule pour autant, juste humaine.
Et rappeler à ces personnes que déjà le 10 juin, les firmes qui fabriquent des vaccins regrettaient que le virus ne sévisse plus, car ils ne pouvaient tester leur vaccin... https://www.washingtonpost.com/world/europe/coronavirus-vaccine-trials-astrazeneca-moderna/2020/06/09/48f28fea-a414-11ea-898e-b21b9a83f792_story.html (à lire sans bloqueur de pub)
NB. J’invite bien sûr tous les défenseurs de nos autorités à faire une collection de nos propos critiques et de les présenter à leur mode. Ce serait de bonne guerre.
Justifications des masques depuis début juillet en BE: et si on regardait l’impact chez ceux qui l’ont fait avant nous?
Lire https://justthenews.com/politics-policy/coronavirus/one-month-after-statewide-mask-mandate-california-daily-case-average et découvrir que ce 15 juillet, un mois après l’obligation de porter le masque en public, les cas covid en Californie ont augmenté de 162%. Quelle efficacité, cette mesure! Dire que même les gaminous doivent en porter chez eux, les pôvres.
Si j’avais dû gérer mon entreprise avec autant d’efficacité, j’aurais vite mis la clef sous le paillasson. Mais bon, on n’est clairement pas dans un désir d’efficacité, mais dans une envie de se faire peur. Alors, laissons faire.
J’ai sorti en texte clair à partir du pdf l’argumentation de Maître Carlo Alberto Brusa, soulignant l’illégalité, en France, des amendes pour non port de masque. Source: https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/07/IllegaliteAmendes.pdf
DECLARATION QUI ETABLIT L’ILLEGALITE DE LA CONTRAVENTION DE 4EME CLASSE QUI SERAIT IMPUTEE EN CAS DE DEFAUT DU PORT DU MASQUE DANS LES LIEUX IMPOSES PAR LE DECRET DU 10/07/2020
Pour que l’infraction soit imputée et sanctionnée, il faut, aux termes du principe de légalité prévu à l’article 111-3 du Code pénal et conformément à l’article 111-4 de celui-ci sur l’interprétation stricte de la loi pénale, que les textes d’incrimination et de répression soient clairement énoncés afin qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur l’incrimination et la répression.
Or, tout le monde prétend que le défaut de port du masque est sanctionné par une contravention de quatrième classe telle que visée à l’alinéa 3 de l’article L-3136-1 du Code de la santé publique.
Or, l’alinéa 3 du texte précité réprime par une contravention de quatrième classe les infractions visées aux articles L 3131-1 et L 3131-15 à L 3131-17 dudit Code.
Toutefois, les textes précités ne peuvent en aucun cas être appliqués au « défaut de port de masque » pour les motifs suivants :
• L’article L 3131-1 ne s’applique qu’au règlement pris « par le Ministre chargé de la santé et par arrêté motivé ». Or, les dispositions du décret du 10 juillet 2020 ont été édictées par un décret du Premier Ministre et non par arrêté ;
• S’agissant des dispositions des articles L 3131-15 à L 3131-17, celles-ci ne sont applicables que dans les circonscriptions dans lesquelles l’état d’urgence est déclaré. Les dispositions, relatives au port de masques, des articles 27 et 38 du décret du 10 juillet 2020, s’appliquent aux « territoires sortis de l’urgence sanitaire », et ne sont donc pas applicables ;
• Enfin, le texte de répression ne vise en aucun cas le décret du 10 juillet 2020, de sorte qu’aucune répression ne peut être appliquée au défaut de port de masque.
Toutes verbalisations effectuées par un policier, un gendarme ou toute autre personne habilitée par la loi sont ainsi entachées d’une illégalité manifeste, ainsi que d’un abus de pouvoir.
Maître Carlo Alberto BRUSA, Avocat à la Cour Président de l’Association REACTION 19 Et Président du Cabinet d’Avocats CAB ASSOCIES, Avocats à la Cour
Je vous autorise à imprimer le présent document, à le déposer dans tous les Commissariats et toutes les Gendarmeries, afin qu’il soit donné large écho aux erreurs graves commises par la mise en oeuvre d’une répression qui n’a aucun fondement légal ni réglementaire.
J’ai tant envie d’une petite dînette dans notre restau favori... eh bien je patienterai.
Je ne peux imaginer être tracée par restau interposé. Non pas pour éviter que mon nom soit noté, je ne suis pas parano, mais bien parce que je risque de faire partie d’une cohorte à vérifier si un cas s’avère avoir fréquenté le même restau au même moment. Je sais que l’équipe de traçage est une équipe de terroristes, qui rend la vie des tracés infernale (lire les témoignages, c’est ahurissant). Normal si le gars qu’on a mis à la tête est lui-même un stalinien pur jus (https://www.lesoir.be/308167/article/2020-06-19/lhomme-la-tete-du-tracing-en-belgique-decrit-comme-totalitaire-des-experts)
Même le mois passé, lorsqu’on ne devait pas porter de masque dans le restau même, je ne pouvais imaginer être servie par un garçon équipé d’un masque ou d’une visière. Je ne vais pas au restau pour me sentir en camp d’enfermement. J’y vais pour jouir d’un bon moment entre amis.
J’ai peine à comprendre que la fédération horeca accepte de collaborer à ce point.
J’aurai bien de la peine à écouter leurs jérémiades ultérieures sur le manque à gagner. Sont-ils inconscients? Ou si naïfs?
Je vais encore plus plomber l’ambiance du jour, pour tous ceux qui sont déjà révoltés de ce que nos seniors doivent vivre en institution depuis quelques mois. Je relaye cet article de la DH qui relate presque froidement le traitement monstrueux qu’on peut appliquer, sans raison valable, dans les maisons de repos. Repos: tu parles! On vise leur repos éternel ou quoi?
J’aime les investigations poussées de la canadienne Rosemary Frei, ex-journaliste médicale pendant 22 ans.
Fin juin, elle pose la question des seniors et covid au Canada - son discours peut être reporté à tous les pays occidentaux, curieusement. Titre: «Les hauts taux de mortalité dans les maisons de retraite sont-ils organisés» ou «Were conditions for high death rates at Care Homes created on purpose?» -> https://off-guardian.org/2020/05/26/were-conditions-for-high-death-rates-at-care-homes-created-on-purpose/
La lecture de l’article de Frei est pour ceux qui aiment les enquêtes fouillées et qui ont l’âme bien accrochée.
Attention parfois censure d’accès pour l’Offguardian - le Guardian qui n’est pas financé par la fondation qu’on sait 😉
Passez outre, ce site n’est pas dangereux.
C’est une société bien malade qui achève les seniors en silence et en cachette, dans les maisons de retraite.
C’est une société bien malade qui transpose sur les enfants et les ados ses propres angoisses thanatolâtres et qui leur impose des mesures draconiennes, inutiles et traumatisantes
Cette société a bien besoin de tous ces courageux médecins qui osent défier le consensus mou et pantouflard, comme le docteur Pierre Brihaye. Ci-dessous sa lettre ouverte indignée, au secours des jeunes.
L e t t r e o u v e r t e par le Docteur Pierre Brihaye.
Bruxelles, le 13 septembre 2020.
Je suis médecin et chirurgien ORL, spécialisé en rhinologie pédiatrique. A ce titre, j’ai développé des techniques chirurgicales pour aider les nouveau-nés souffrant de malformations nasales à mieux respirer par le nez, car nous savons qu’une bonne oxygénation du corps et du cerveau est très importante pour le développement physique, psychomoteur, intellectuel et émotionnel des jeunes enfants, et que cette oxygénation est principalement dépendante d’une bonne respiration nasale. L’observation de ces petits enfants en manque de respiration nasale nous montre qu’ils entrent dans une sorte de léthargie, d’hypotonie, pour diminuer leur besoin en oxygène et ainsi diminuer leur inconfort. De même, je soigne et développe des techniques chirurgicales pour les enfants de tout âge souffrant de maladies ou de traumatismes nasals afin de leur permettre de retrouver une bonne respiration par le nez. Il est spectaculaire de voir la libération immédiate et le développement rapide des enfants qui ont récupéré une bonne respiration nasale. Ils montrent alors une avidité à découvrir le monde.
Quelle n’est pas ma surprise de découvrir que, sous des prétextes sanitaires, on muselle les enfants à l’école, les empêchant de respirer librement par le nez et diminuant ainsi l’oxygénation de leur cerveau, alors que l’école est le lieu où ils doivent utiliser leur cerveau pour apprendre et étudier.
Les masques, portés hors des salles d’opérations, ont des effets secondaires importants. Ils provoquent un déficit en oxygène pouvant causer des céphalées, de la fatigue, une baisse de concentration, des nausées, comme dans le mal des montagnes, dû à une diminution de l’oxygène dans l’air ambiant. De plus, le CO2 qui ne peut être expiré correctement, s’accumule rapidement. Après une minute de port du masque, l’air inspiré peut atteindre des valeurs de CO2 dépassant plusieurs fois les limites tolérées dans les lieux de travail (900ppm, Codex 6 du code du travail).
Le masque, porté sur le nez dans des pièces non conditionnées en température et humidité et non protégées des micro-organismes (comme l’est une salle d’opération), devient rapidement un bouillon de culture. Il en résulte que les enfants que je vois en consultation depuis la rentrée présentent de plus en plus souvent des rhinites croûteuses et/ou des infections nasales et sinusales.
Pendant une épidémie virale, il est recommandé d’éviter de « confiner » les locaux, car une aération importante prévient la concentration des virus. Il en est de même pour les nez de nos enfants, qui doivent rester ventilés pour y éviter la concentration anormale de germes en tous genres.
En plus, puisqu’un virus peut se concentrer dans le masque, lorsqu’on l’enlève le virus peut se concentrer dans les mains et ainsi se propager. D’autant plus qu’il n’y a pas de système de décontamination des masques usagés dans les écoles…
Ces différentes mesures sanitaires imposées à l’école ont aussi un impact psychologique. Le port du masque et la distanciation sociale induisent une dissolution du lien social, du contact visuel et physique si important pour le développement et l’épanouissement d’un enfant, et ainsi pour le renforcement de son système immunitaire. La respiration est la base des techniques de gestion émotionnelle. Or ce n’est pas à nos enfants de porter le poids des angoisses, des peurs de la mort des adultes.
La définition médicale d’une épidémie est « l’augmentation rapide de l’incidence d’une maladie ». Cependant, le nombre de malades, et de décès supposés liés à la covid-19, est extrêmement bas et stable depuis 3 mois (Sciensano), impliquant qu’en Belgique, médicalement parlant, l’épidémie de la covid-19 semble terminée depuis le mois de juin. Il n’y a donc plus de justification sanitaire à rendre nos enfants physiquement et psychiquement malades.
Sortis de la situation d’urgence des mois de mars et avril, ne revient-il pas aux enfants et à leurs parents de reprendre la responsabilité de leur santé, et en particulier de leur système immunitaire ? Le rôle du gouvernement en la matière ne s’est-il pas terminé avec la chute drastique du nombre de personnes malades de la covid-19 et la diminution de la gravité des cas résiduels ?
Alors que le débriefing du confinement nous fait découvrir à quel point nous avons « maltraité » nos ainés dans les maisons de repos, faut-il déjà oublier les leçons de ce passé récent et entamer la « maltraitance » de nos enfants à l’école ?
Et que dire des enseignants qui doivent porter le masque pour donner cours ? Notre confrère Desuter, laryngologue, a mis en garde contre la survenue rapide de pathologies laryngées et vocales, avec un risque grandissant d’arrêt de travail pour nombre d’entre eux.
Sans doute est-il utile de se remémorer la lettre ouverte signée en juin par les responsables de l’ensemble des services de pédiatrie du pays, expliquant que les enfants ne sont ni vecteurs ni malades de la covid-19 et qu’à ce titre ils ont droit à une scolarité normale. Ils nous rappelaient également de comparer notre situation avec celle d’autres pays, aujourd’hui les Pays-Bas et surtout la Suède, où les écoles, comme d’ailleurs toute la société, fonctionnent normalement, sans aucune restriction « sanitaire », et sans pour autant que leur nombre de malades ou de décès ne soient plus important que le nôtre.
Il est de notre responsabilité d’alerter sur l’inutilité et la dangerosité des mesures sanitaires imposées à l’école, parmi lesquelles le port du masque généralisé.
Dr Pierre Brihaye
Toujours si juste, l’analyste de la biologiste Minotte Degun!
Minotte Degun:
13/10/2020
«Changement des seuils d’alerte du pourcentage de personnes Covid+ dans les lits de réanimation
Juillet 2020 : seuil vigilance entre 40% et 60%
seuil d’alerte : au dessus de 60% des lits de réanimation occupés par des Covid+
Octobre 2020
seuil d’alerte : 30% des lits de réanimation occupés
TOUT S’EXPLIQUE!
Il suffit de faire passer le seuil d’alerte de 60% à 30% pour se trouver en alerte maximale presque partout!
Lire la suite sur: https://www.facebook.com/minotte.degun.10/posts/343643083589380
Autre façon d'analyser et très fine idée! Faire un montage vidéo des annonces cata des années passées, hopitaux débordés et manques de lits, etc., sur la chaîne de TATA POOKIE
Je fais pour l’instant un petit jeu: je parle aux gens dans la rue, au sujet des mesures sanitaires et je fais une collection de leurs arguments. Pour vous proposer des réponses argumentées, rationnelles, si jamais vous voulez vous risquer à dialoguer.
Je viens d’avoir une conversation où quasi tous les arguments «officiels» étaient répétés avec force et conviction. L’un d’entre eux: «moi, madame, ce que je vois, c’est qu’on a plein de morts à nouveau, dans le monde entier les courbes augmentent, les soins intensifs sont débordés».
Réponse à cet argument nr 1 des 6 à venir via ce billet du docteur Marc Reisinger. Il faut bien un psychiatre pour développer tant de patience à écouter des délirants, euh pardon, des communicants.
Chez le docteur Marc Reisinger, 16/10/2020: «EN FLAGRANT DÉLIT»
Alexander De Croo (nouveau PM belge): «Les chiffres sont alarmants et ces chiffres sont supérieurs à ceux de mars et avril dernier. Qu’il s’agisse des hospitalisations, des patients à l’USI ou du nombre de morts, nous sommes nettement au-delà des chiffres que nous avons vus en mars-avril, parfois deux fois supérieurs»
A quel point faut-il être grisé par son nouveau pouvoir pour mentir à ce point?
Pour continuer le petit jeu avec les psittacosés que je rencontre en rue , argument nr 2 de leur part: «vous avez vu la courbe d’hospitalisations ! Catastrophique!». Je leur réponds souvent par une question: «à votre avis, combien de dédommagement un hopital reçoit pour chaque cas avec covid?». Puis «dans vos stats, pouvez-vous m’indiquer les critères d’hospitalisation avec covid ou pour cause de covid?» Lire le décodage par la biologiste Minotte Degun:
Minotte Degun
19/10/2020
Réanimations versus soins intensifs : confusion des données par Santé Publique France ?
Y-aurait-il confusion (volontaire ou non) dans les données publiées par Santé Publique France ?
Sur le tableau de synthèse on lit « nombre quotidien de nouvelles admissions en réanimation ou soins intensifs »
et sur la synthèse graphique on lit : « nombre quotidien de nouvelles admissions en réanimation avec diagnostic covid-19 en 24h »
Or ce n’est pas la même chose : ici une explication
« Dans cette optique, la surveillance continue serait le niveau 1 de la réanimation, les soins intensifs le niveau 2, et la réanimation proprement dite le niveau 3. Pour le dire autrement, la surveillance continue est destinée à prendre en charge un patient ayant un risque de défaillance vitale ; les soins intensifs sont habilités à traiter une défaillance unique pendant une durée limitée ; la réanimation est dévolue à la prise en charge prolongée des défaillances multiples. Mais, dans la réalité, ce n’est pas aussi schématique que cela.
À titre d’exemple, dans une USC (Unité de surveillance continue), il est possible d’accueillir un opéré encore ventilé, pour une durée maximale de 48 heures. Passé ce délai, s’il s’avère impossible d’extuber le patient (autrement dit de le sevrer de la ventilation artificielle), il devra être transféré dans un service de réanimation. Cette règle n’est cependant pas toujours respectée, ne serait-ce que par manque de lits de réanimation.
On observe que des confusions de termes sont fréquentes, y compris chez les professionnels. Par exemple, les unités de surveillance continue sont facilement qualifiées de réanimation par les soignants et les médecins (dans des phrases du type « le patient ira en réa en post-op », que l’on entend tout le temps). De même, surveillance continue et soins intensifs sont souvent employés de manière interchangeable.
Les services de réanimation, qui coûtent extrêmement chers, ne sont présents que dans les hôpitaux publics, notamment les CHU. L’activité de réanimation est en effet la plus coûteuse qui soit. Les soins intensifs et la surveillance continue existent aussi bien dans le public que dans le privé. Si un établissement de soins (clinique privée ou hôpital général) veut développer la chirurgie « lourde », il ne pourra le faire que s’il possède dans ses murs une unité de surveillance continue. Le contraire mettrait en péril la sécurité des opérés. »
https://www.vocabulaire-medical.fr/.../260-reanimation....
Un commentaire par un expert auprès des hôpitaux
En Soins Critiques il y a plusieurs modalités :
- la Surveillance Continue généralement localisée à côté de la Réanimation où on peut faire de l’oxygénothérapie ;
- les Soins Intensifs qui concernent la défaillance d’un organe (par extension la prise en charge de la COVID peut être considérée comme des soins intensifs pulmonaires) ;
- les lits de Réanimation lorsque les défaillances d’organes sont importantes (et nécessitent généralement intubation, coma artificiel, etc) ;
- les SSPI qui correspondent à des soins post-operatoires légers.
Si on compte en numérateur tous les patients en soins critiques porteurs de la COVID, mais en dénominateur uniquement les lits de réanimation, on aboutit à des taux d’occupation sans rapport avec le niveau de mortalité.
C’est exactement ce qui se passe en ce moment.
En réponse à une discussion en direct, où j’annonçais à un copain que les annonces officielles autour du covid sont hors sol, délibérément paniquantes et où je lui proposais de s’apaiser, il m’envoie cet article de la RTBF: «Une situation «pire qu’en mars» à Liège, selon Philippe Devos...»
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_une-situation-pire-qu-en-mars-a-liege-selon-philippe-devos-le-drame-serait-qu-on-doive-faire-le-tri-a-l-entree-des-urgences?id=10612032
Ma réponse par courriel, que je copie/colle ici. Et dont j’ai pu voir lors d’une discussion suivante, en direct - ne rêvons pas - que l’essence de ma réponse n’a pas été comprise. Eh oui. Et snif.
Ce billet fait partie de la série «6 réponses aux 6 arguments des psittacosés»
Le courriel:
Primo, je te rappelle ma posture, si bien exprimée par Marc Jancovici, un ingénieur comme toi: ne prends pas comme source opposable un article de presse (voir le poster que je viens de faire, je comptais le publier sous peu)*.
Secundo, quelles sont les sources de ce médecin pour avancer cela? Tu le crois sur parole, donc... parce qu’il est président du syndicat médical?
Je vois bien une référence dans l’article, qui mène à un autre article du même media relatif au communiqué de presse des médecins de la province de Liège. Sans le texte original. Comment savoir ce que contient vraiment ce communiqué de presse? Je dois donc chercher l’original de ce communiqué de presse, introuvable pendant les 5 minutes de limite que je me suis donné.
Retour donc au lien RTB nr 2. J’y lis qu’en gros ils demandent de l’aide, plus de lits, plus de personnel, ne se focalisent pas sur le covid. «En effet», expliquent-ils, «le nombre de lits à dédier aux patients COVID ne cesse d’augmenter au détriment des lits dédiés aux autres pathologies. Il existe en outre une problématique criante de pénurie de personnel qui s’aggrave de jour en jour, avec des taux d’absentéisme qui atteignent à certains endroits les 20%.»
Tu dois savoir que les médecins ne manquent jamais une occasion de rappeler qu’ils sont en sous-effectifs, en sous-capacité, sous-budgetés. C’est de bonne guerre de leur part, ils défendent leur outil; mais ne le prend pas au premier degré.
En outre, chaque année, à cette période, les services de rea se plaignent de saturation. Le modèle économique ne changera pas tant que les néolibéraux mèneront la danse. Le covid n’est ici qu’un effet collatéral.
As-tu vu le joli petit montage fait par une internaute, montrant les saturations hospitalières des années passées? Bis repetita .... Je l’ai relayé ici
Ma conclusion, pardon du ton professoral: tu es le premier à rappeler que ta grand-mère achetait Paris Match pour lire des carabistouilles et que désormais tous les journaux semblent devenus des Paris Match.
Arrête de croire la presse au premier degré, cherche les motivations derrière les communiqués de presse.
Demande-toi pourquoi le président d’un syndicat agite un chiffon rouge: il défend sa corporation.
Et surtout cherche les originaux, pas les décodages, forcément biaisés, par un journaliste qui veut faire du buzz. Donc générer peur ou rage.
Protège-toi de la Grande Panique de 2020! Ton immunité en dépend...
Ajout post-courriel, oralement: Pourquoi des Philippe Devos ne dénoncent-ils pas plus clairement le pognon de dingue qu’ont coûté ces campagnes de tests PCR souvent inutiles, aux résultats très aléatoires et inutilisables (sauf pour produire des courbes de terreur chez le péquin lambda)? Ils savent pourtant que c’est tout le budget de sécu qui ne leur sera pas alloué, pour engager de nouveaux personnels, pour ouvrir de nouveaux lits.
* pour les non-voyants: «Ne prenez jamais ce qu’on lit dans la presse comme source opposable. La presse est la fin d’un téléphone arabe dont vous ne connaissez ni le nombre de maillons ni la qualité de la transmission entre chaque maillon ni la source de l’information pour le premier maillon de la chaîne. La résistance d’une chaîne est la résistance de son maillon le plus faible. A partir du moment où vous ne savez ni quelle est la qualité de l’information de départ, ni quelle est la qualité de transmission d’une chaîne à l’autre, vous ne savez pas quelle est la fiabilité de l’information que vous avez face à vous». Extrait de https://www.youtube.com/watch?v=Vjkq8V5rVy0 «Jancovici : CO2 ou PIB, il faut choisir - Sciences Po - 29/08/2019», leçon inaugurale de Jean-Marc Jancovici à Sciences Po
31.10.2020 Il est malvenu de céder à la terreur, que l'on soit face à un manipulateur pervers ou un franc brigand. Si l'on nous assigne à résidence en Belgique à nouveau, je circulerai comme bon me chante. Et je ne payerai pas pas d'amende, malgré les menaces (250€?) , car je ne pense pas qu'il faut se soumettre aux terroristes que sont devenus les élus. Chantage à la terreur, accumulation de mensonges et de déviations des statistiques, prétexte d'un virus peu agressif et peu létal pour nous enfermer et préparer la Grande Remise à Zéro... De multiples raisons pour ne pas répondre à leurs manoeuvres indignes d'un état de droit.
Lire "Prononcer une peine pour non-respect du confinement est illégal" a décidé un juge du Hainaut viasur https://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/coronavirus-prononcer-un-peine-pour-non-respect-du-confinement-est-illegal-a-decide-un-juge-du-hainaut-1251218.aspx...
Un juge du tribunal de police du Hainaut, division de Charleroi, a déclaré irrecevable l'action publique lancée contre un habitant de Montignies-sur-Sambre qui n'a pas respecté les mesures relatives au confinement, imposées par l'arrêté ministériel du 23 mars 2020, modifié le 3 avril. Il considère que cet arrêté est contraire à la constitution.
Dans un jugement rendu le 21 septembre dernier, le tribunal de police du Hainaut, division de Charleroi, a déclaré irrecevable l'action publique lancée contre un habitant de Montignies-sur-Sambre qui, le 7 et le 14 avril 2020, n'a pas respecté les mesures relatives au confinement, imposées par l'arrêté ministériel du 23 mars 2020, modifié le 3 avril. L'homme, atteint d'un handicap mental, avait bu sur la voie publique avec d'autres individus et avait été interpellé par la police.
"Dans une démocratie, la fin ne justifie pas les moyens"
Le juge considère que la constitution belge n'a pas été respectée. "Sans doute, la répression est-elle nécessaire pour appréhender certains comportements dans le cadre d'une gestion d'une épidémie, mais pas au détriment de l'Etat de droit. Seul le législateur est habilité à prendre de telles décisions. Il dispose seul de la légitimité démocratique d'évaluer tous les intérêts et valeurs en présence et de les mettre en balance. Dans une démocratie, la fin ne justifie pas les moyens."
Le tribunal écarte l'arrêté ministériel mais ne l'annule pas, il se limite à constater "que les faits n'ont pu être commués en infraction pénale par une autorité qui n'a pas le pouvoir de le faire". Le tribunal considère que le ministre de l'Intérieur ne pouvait pas prendre des mesures sur base de l'article 182 de la loi du 15 mai 2007 relative à la protection civile.
Le ministère public a interjeté appel
Dès lors, le tribunal estime que "les mesures de police générale décidées par voies d'arrêtés ministériels tendent à interdire un certain nombre de rassemblements, à limiter les déplacements et à imposer une distance physique entre les individus ne peuvent se voir assortir de sanctions prévues par l'article 187 de la loi sur la sécurité civile (...) Dès lors, condamner à une peine en dehors du cadre strict de l'article 182 de la loi sur la sécurité civile violerait non seulement la loi mais aussi la constitution".
Le juge ajoute que l'arrêté ministériel est un acte administratif à portée réglementaire et que la police administrative a pour objet d'assurer le maintien de l'ordre public dans des lieux publics. "Par essence, l'objectif est la prévention des comportements et non la recherche et la poursuite des comportements." Ce jugement a fait l'objet d'un appel, fixé au 20 octobre.
Dans d’autres affaires de non-respect des mesures de confinement, par exemple la réunion de trois personnes ne vivant pas sous le même toit dans un même véhicule, le juge a adopté une motivation juridique quasiment identique."
NB Je n’autoriserai pas le prélèvement sur place, je ne payerai pas quand je rentres chez moi, je contesterai le cas échéant s’ils rappellent. Pour ma part, je ferai payer l’avocat potentiel par ma société - pour frein à l’activité économique (je n’ai même pas reçu les 5000€ de dédommagement au printemps: l’édition est un parent pauvre?). Ou pour «vol de principe de loi d’urgence» puisque nous pouvons démontre désormais qu’il n’y avait aucune, strictement aucune raison justifiable pour une loi d’urgence et un by-pass du parlement. Je trouverai bien. De toute façon ils vont prélever notre blé sous peu, autant le donner à un avocat.
Ceci dit, je crois que les policiers ne sont pas tous joyeux joyeux de jouer à la gestapo. J’essaierai de blaguer d’abord, de parler humain tout ça
Non, nous ne nous laisserons pas enfermer ! Alexandre Jardin
Tribune d’Alexandre Jardin parue le 29 octobre suite à l’allocution d’Emmanuel Macron. Un plaidoyer vibrant et inspirant suite aux nouvelles mesures imposées par notre gouvernement !
Lire le texte complet ici : https://www.lepoint.fr/debats/alexandre-jardin-non-nous-ne-nous-laisserons-pas-enfermer-30-10-2020-2398740_2.php
... «Parlons net : tout citoyen qui, ce matin, refuse d’abdiquer sa liberté d’aller et venir pour faire vivre la France dans l’optimisme est-il changé en fripouille désirant refroidir son prochain ? Non. En assassin d’envergure ? Non. En monstre au service de son seul égoïsme ? Non, mille fois non ! Ce qui nous arrive est hallucinant. J’accuse mon État d’erreur historique. Le métier du politique est de donner le courage d’exister, pas de décourager la nation, pas de transformer le pays de d’Artagnan en Ehpad géant.
... Les générations qui nous ont précédés ne se sont pas terrées dans leur appartement parce que le pays était bombardé, ou frappé d’épidémies autrement plus graves.
... On me dira que je suis bien léger de ne pas considérer avec compassion la nécessité de réduire la propagation du virus coûte que coûte afin que nos hôpitaux ne soient pas débordés. Je réponds sans ambages que la mort de nos vieux (moyenne d’âge des décès dus au Covid : 84 ans) est un phénomène étroitement lié à la vie. À vouloir refuser la mort, on refuse la vie.
... Nous devrions défendre la liberté d’expression tout en nous laissant enfermer ? Quelle tartufferie. Des accusateurs ivres de peur ne comprennent pas que l’on peut refuser cette décision d’enfermement par patriotisme ; en étant un citoyen mature doté de valeurs, un citoyen qui regarde la liberté comme une valeur aussi haute que la sécurité ; un citoyen civique qui voit bien qu’on ne peut pas traiter une pandémie longue durée comme un épisode.
... La bonne nouvelle, c’est que nous allons nous respecter en restant libres, sans nous comporter comme des toutous, en affirmant des valeurs élevées : le respect des relations qui fondent nos vies, le respect obsessif des soignants, le respect des restaurateurs qui font tant d’efforts pour faire respecter les gestes barrières, le respect des emplois raréfiés, le respect de nos vieux si vulnérables.
... La bonne nouvelle, c’est que nous avons la possibilité de refuser que l’État, arc-bouté sur sa police, nous enferme inexorablement. Un grand peuple n’est soumis qu’autant qu’il le veut bien. Tenez-vous droit.
Non !
La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons dire NON très poliment à un État répressif, un État anxiogène, un État devenu un problème pour les territoires et non plus une solution. Il suffit de faire circuler massivement le hashtag #NON sur les réseaux. Salariés, dites #NON à la mise à mort de votre secteur économique, #NON à l’équarrissage des industries culturelles sur une affichette scotchée sur votre lunette arrière, #NON au comportement tatillon des contrôleurs divers et variés, #NON à la fermeture de votre bar, #NON à toutes les procédures démentielles qui désorganisent et fragilisent les entreprises qui font tout pour survivre, #NON à la culture de la trouille qui ne permet pasqui ne permet pas des stratégies sereines et efficaces.
Et la plus fabuleuse des nouvelles, c’est que nous allons faire entendre une idée cardinale : notre liberté de mouvement n’est pas négociable. Nos valeurs nous interdisent de déroger à notre dignité, nous, Français, ne sommes pas prêts à être dressés par un État-flic. Les Français libres de jadis nous l’ont enseigné. «
1/7/2020 Je dois être assez seule, mais j’ai froid dans le dos quand je vois l’aliénation au «nouveau» système de relations sociales. Un twittos relaye avec enthousiasme ces bracelets que l’on propose à l’entrée d’une conférence et qui permettent à chacun d’afficher leur choix social.
Je traduis: vert: Ok avec calins et serrements de mains; jaune: OK pour parler mais pas pour... (illisible); rouge: salut! je garde mes distances.
Petit rappel: à part l’étoile jaune et l’apartheid, on n’a jamais formalisé à ce point des clans. Froid dans le dos, je vous dis.
Je précise pour ceux qui ne pigent pas ma réaction: le virus ne tue pas plus que la grippe, il n’est très dur que pour un secteur très particulier des gens (qui n’iront pas en conférence) - et encore! si on applique le bon traitement, on les guérit - , la distanciation n’a aucune justification scientifique, pas plus que le port du masque à ce stade-ci. J’en déduis que la manipulation médiatique par les états et l’OMS est donc bien engrammée dans le mental de certains. Aucune épidémie précédente n’a donné lieu à des changements de comportement si flagrants...
Vivement qu'on puisse faire ces procès aux gouvernants, pour qu'on découvre un peu mieux le fond de l'affaire.
L'Antipresse dévoile une petite phrase délicate du monsieur covid suisse, Daniel Koch, en interview. Il l'analyse en gros: «on a fermé les écoles non par nécessité épidémiologique, mais pour intimider la population». Il va un peu fort, mais à force de ne plus rien comprendre, on finit par tout interpréter.
Ce billet ferait aussi bonne figure dans le chapitre "Apprendre le discernement". Comment ne pas se poser de questions si l’on met en regard le témoignage ci-dessous, que je vais croire honnête à première vue, et le récit des soins intensifs par tant d'autres intervenants, dans divers pays? Procède-t-on de manière si différente en Belgique que l’on perde encore tant de patients? qu’on doive intuber? que la prise en charge précoce ne soit pas efficace?
Comprenez qu’un profane ne puisse lire de tels récits sans se gratter le front... et se demander si ce récit n’est pas une commande par une agence de communication, histoire de faire paniquer le bon peuple encore plus.
PS. Question rhétorique, à laquelle je suggère une réponse dans le billet de demain.
F.L. sur sa page fb, 10/11
Hier soir, pendant ma garde, j’ai vécu un des moments les plus intenses de ma carrière.
Pour remettre les choses dans leur contexte, je suis aux soins intensifs à l’UZ Brussel depuis six semaines dans les conditions que vous imaginez sans peine.
Sur les 15 derniers patients covid que j’ai soignés, seulement deux ont survécu à ce jour (même constat chez mes collègues). Le pire moment, c’est quand le patient est encore pleinement conscient mais n’a plus assez d’oxygène dans le sang. On doit alors l’intuber afin que le respirateur lui insuffle de quoi survivre. Je lui explique alors qu’on va l’endormir pour “quelques jours” afin que ses poumons puissent récupérer avec l’aide de la machine. Ensuite le patient peut appeler sa famille quelques minutes pour leur parler avant que je le plonge dans un sommeil artificiel.
En lui disant ça, les yeux dans les yeux, je sais que je lui mens. Je suis souvent la dernière personne à qui il parle. Dans 80-90% des cas, une ou deux semaines plus tard je rappelle la famille pour leur dire que c’est fini :surinfection pulmonaire, insuffisance rénale terminale, insuffisance cardiaque, ischémie digestive, ... Bref, la merde à tous les niveaux.
Pourtant hier, on a réussi à guérir un patient et à lui retirer ce foutu tube qu’il avait dans la gorge. Quelques heures plus tard, je lui ai proposé d’appeler sa famille pour leur donner des nouvelles lui-même. Son visage s’est illuminé d’une manière quasi surnaturelle quand il a vu sa femme et ses enfants sur l’écran. Ses yeux, son sourire débordaient de joie, de soulagement et de vie. Il n’était plus ce patient anonyme en train de pourrir dans un lit, mais un père, un mari, un homme qui ne se rendra sans doute jamais compte d’à quel point il est passé près de la fin.
Je le regardais de loin, avec ce sentiment de joie mélangé de tristesse. Content d’avoir enfin servi à quelque chose, et surtout de ne pas avoir dû mentir, pour cette fois...
Indispensable revue de presse en courbes par Christophe de Brouwer
Toujours édifiant de regarder au-delà des frontières - ici à l'aide du décodage par Christophe de Brouwer. Je pense à son graphique nr 4: «Celui d’euromomo qui compare les pays européens entre eux, en termes de mortalité générale. Il est important de se comparer, car la Belgique est le plus mauvais élève de la classe en chiffre brut rapporté à sa population. Je vous donne la comparaison avec notre voisin, l’Allemagne. Cela montre, et il faut le dire sans hésitation, la façon honteuse dont la crise sanitaire est gérée en Belgique.»
Je relie ce rapport BE/DE au témoignage relayé ce matin d’un infirmier? médecin? aux urgences belges (https://www.facebook.com/taty.lauwers/posts/3523658961036928).
Nous n’avons pas de plus mauvais médecins que les autres pays, mais nous avons peut-être de bien piètres procédures médicales, que ces excellents médecins suivent sans les remettre en cause. Manque de courage? de lucidité? «De tous les peuples de la Gaule les Belges sont les plus couillons»
Christophe de Brouwer, 28/11 (compte fb)
Covid Belgique – tableaux.
Après les décisions de hier de nos multiples gouvernements belges, qui sont, non seulement décevantes pour tous, mais aussi, contraires aux principes d’une bonne gouvernance, et surtout d’un état de bien être pour tous (définition de la santé de l’OMS), il nous faut comprendre que nous faisons face à une idéologie sanitaire qui fait du dégât dans la population (elle est basée sur une maladie sortie de tout contexte et non plus sur la santé).
C’est probablement la première fois dans notre histoire que ceci arrive. Et les populations, faute d’expérience et de recul, n’arrivent pas à s’en dépêtrer, à y résister, du moins faudra-t-il du temps.
Et pourtant l’histoire est pleine de catastrophes humaines causées par une idéologie qui s’impose et prend le pas sur l’observation et le pragmatisme. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Id%C3%A9ologie)
N’empêche, nous devons continuer à exposer sereinement les observations et ordonner les faits pour les rendre compréhensibles, et non les transformer systématiquement en outils de peur au service de cette idéologie sanitaire mortifère.
J’ai dans l’idée ( ?) de vous proposer, peut-être chaque semaine, quatre graphiques, qui montrent la progression objective de la situation, ici pour la Belgique. Ce serait bien si on pouvait arriver à faire de même pour d’autres pays (la France, la Suisse, et autres) de façon à comparer, en utilisant toujours la même méthode.
1. Un graphique dynamique concernant les « cas » dérivés sur le temps (dx/dt), normalisé sur l’écart maximum (dx max/dt). J’en ai expliqué le principe sur mon post du 14 novembre.
C’est, je pense, la meilleure manière de suivre l’évolution de cette mauvaise variable, peu fiable, les « cas ». En effet, en exprimant les données par semaine (dt), et en ne tenant compte que de leur variation d’une semaine sur l’autre d’une façon normalisée, on diminue les incohérences internes. Mais cela permet aussi de diminuer l’importance donnée aux chiffres bruts des « cas », qui concernent dans leur toute grande majorité des asymptomatiques.
Je rappelle : lorsque la variable dérivée est proche de « 0 », les variations de cas d’une semaine sur l’autre sont très faibles, et donc l’augmentation (ou diminution) de cas est quasi nulle. Cela veut dire, généralement, qu’il n’y a rien à voir, passer votre chemin. Lorsque la variable dérivée est positive, le nombre de cas augmente ; et à l’inverse, lorsque la variable dérivée est négative, le nombre de cas diminue. Plus la variable dérivée est éloignée de 0, plus les augmentations ou diminutions sont importantes.
Lorsque la variable atteint « 1 » (maximum possible), c’est le moment de l’inflexion dans la croissance de la variable (pour autant qu’elle suive une sigmoïde).
2. Un graphique (voir dernier post) concernant les « nouvelles hospitalisations attribuées covid » à comparer avec le nombre de « nouvelles grippes » déclarées par le système sentinelle, basée sur les médecins généralistes. L’une et l’autre sont exprimées par semaine et par 100 000 habitants. Cela place la réalité des « nouvelles hospitalisations attribuées covid », dans un système ‘normalisé’ (ici par 100 000 habitants), ce qui permet des comparaisons.
Et les comparaisons donnent immédiatement des ordres de grandeurs du problème lié aux ARI (Infections respiratoires aiguës dont fait partie notamment le sars-cov-2).
3. Seul graphique avec des chiffres bruts, il permet de visualiser rapidement l’importance d’un problème en santé publique. Mortalité générale, comparée à la mortalité attribuée au covid. Malheureusement les données de mortalité générale viennent avec 15 jours de retard environ.
4. Je vous propose un graphique « extérieur ». Celui d’euromomo qui compare les pays européens entre eux, en termes de mortalité générale. Il est important de se comparer, car la Belgique est le plus mauvais élève de la classe en chiffre brut rapporté à sa population. Je vous donne la comparaison avec notre voisin, l’Allemagne. Cela montre, et il faut le dire sans hésitation, la façon honteuse dont la crise sanitaire est gérée en Belgique.
Voir les tableaux originaux ici: https://www.facebook.com/christophe.debrouwer/posts/10218432415263135
Pour suivre sur le billet «des infos en direct de l’hopital???», où je me questionnais sur une «histoire vécue en hopital» («Comprenez qu’un profane ne puisse lire de tels récits sans se gratter le front... et se demander si ce récit n’est pas une commande par une agence de communication, histoire de faire paniquer le bon peuple encore plus. « https://www.facebook.com/taty.lauwers/posts/3523658961036928), lisons un autre témoignage, long et circonstancié, chez Kairos Magazine, des journalistes d’investigation très sérieux:
«Un(e) soignant(e) nous parle de « l’intérieur »» (30/11)
Vous pensez ce que vous voulez, mais dans mon petit café du commerce intérieur, vous ne m’ôterez pas de l’idée que la campagne de comm’ est finement menée si je juge au nombre de personnes que je rencontre, convaincues du drame sanitaire qui perdurerait.
«Voilà comment la situation était présentée par la personne qui nous donne les informations que nous partageons ici avec vous. Puisque les directions via leur service de com’ ne nous répondent pas, ce sont les travailleurs, ceux qui sont dans le cœur de l’action, qui nous informent. Et la réalité et parfois loin de la fiction médiatique.
Du côté de l’État « le drame », du côté de l’hôpital, le calme ?
(...) «
Lire la totalité sur https://www.kairospresse.be/article/une-soignante-nous-parle-de-linterieur
«Les bien-portants, dits «asymptomatiques», ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes !
Merci au docteur Gérard Delépine, 31/12/20
Les conséquences de cette non-contagiosité sont colossales
L’hypothèse de la transmission par des cas asymptomatiques a été instrumentalisée pour justifier et fabriquer un consentement pour des mesures de confinements extrêmes, portant sur des populations entières, y compris des décrets autoritaires de restriction des libertés. Si seuls les malades symptomatiques sont contagieux, comme le prouve cette très large étude portant sur dix millions de chinois, il n’existe aucune raison de confiner la population saine. Il suffit d’isoler vraiment les malades.
Ce mensonge dominant sur la contagiosité des cas asymptomatiques est également avancé pour justifier l’obligation de port de masques à l’extérieur[3] et les campagnes massives de dépistage par des tests dont la positivité chez un asymptomatique ne signifie en rien qu’il soit réellement contaminé[4] ni contagieux[5].
Cela confirme que les mesures prétendument sanitaires qu’on nous impose depuis des mois sont totalement inefficaces, n’ont aucun fondement scientifique et qu’elles nous détournent des seules mesures efficaces (lavage des mains, quarantaine des malades symptomatiques) expliquant que les pays européens qui les imposent (France, Italie, Espagne, Belgique, Grande Bretagne) se classent dans le top 5 européen des plus fortes mortalités attribuées au covid19.
Il est hautement probable que les tribunaux internationaux qui multiplient l’examen des plaintes contre les mesures dites sanitaires anticovid s’empareront rapidement de cette étude supplémentaire qui démontre l’inutilité du confinement et des tests PCR qui ne servent qu’à effrayer la population.»