Page 23D du dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"). Depuis plus d’un an, le covidisme a pris comme un feu de forêt et nous cherchons les brindilles qui l’ont nourri, en dépit de nos traditions d’esprit critique. Je suis spécialement ébahie de voir la gauche s’aplatir comme un seul larbin face aux injonctions aberrantes qui nous sont imposées, face aux pertes de libertés. J’ai cent exemples sous le coude de ces «penseurs» de gauche qui perdent toute raison, toute jugement rationnel dès lors qu’on entre dans le champ de la Grande Panique de 2020. Les gladiateurs d’opérette de notre défunte gauche sont de sérieux couillons.
Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement.
Les liens seront établis un jour, pour un texte suivi.
Ce n’est pas pure taquinerie que je traite de la Confrérie des Couillons du Covid dans cette série de billets.
Nous sommes nombreux à nous interroger: pourquoi, aujourd’hui que les sources d’infos sont multiples et variées, ne s’abreuver qu’à la source médiatique officielle, auprès des medias de grand chemin?
Madame Michu n’est pas seule à se borner à ces sources.
Je connais de brillants esprits qui ne veulent même pas ouvrir l’horizon à un potentiel autre regard, qui rejettent nos questionnements et ne lisent même pas les sources avérées que nous leur présentons.
Une de mes hypothèses: ils sont des amateurs refoulés de film d’horreurs.
Le profil apeuré trouve une jouissance (et une justification) à se nourrir d’infos terrorisantes.
Il se régale en temps de covid. Il suffit d’écouter la Voix de son Maître, euh pardon, la télé ou la radio. Et l’on est bercé dans un film d’horreur, qui magnifie les émotions négatives.
Et pourtant, il y a tant d’autres visions plus denses, plus riches intellectuellement! Et en tout cas plus indépendantes que celle des «experts» de plateaux télé.
Si la même personne le voulait, elle suivrait nos pistes devenues classiques:
* le point hebdomadaire sur les diverses épidémies chez Raoult, à l’IHU méditerranée,
* les analyses des époux Delépine en articles ou la piste de Reinfocovid.fr sur le net libre,
* les décodages de Caroline vanderMeeren ou de Christophe De Brouwer sur facebook
* etc. etc.
* et les innombrables autres sources critiques qui, lorsqu’elles sont en anglais, sont traduisibles par des robots pour les non-anglo-parlants
Voir par exemple la vidéo du nouveau «Conseil scientifique indépendant»: https://www.youtube.com/watch?v=tWPXzQH5v3M
Présentée ainsi par Fanny Zed sur FB:
"très intéressante vidéo à visionner à la place des sophismes et mantras télévisuels et ainsi se donner la chance d'être intelligent et
1 ne pas confondre recommandation médicale et efficacité du traitement (2:58),
2 diminution de la mortalité et vaccination (10:26),
3 une leçon de statistique sur la probabilité de contamination dans les bars ou restaurants (18:05)
4 efficacité des mesures non pharmaceutiques (couvre-feu, confinement) comme unique moyen de faire baisser la courbe des contaminations (33:10)...
C'est dense mais jubilatoire !
«Le Conseil Scientifique Indépendant a été créé pour offrir une vision objective et rigoureuse de la situation sanitaire actuelle, sans aucun conflit d’intérêts, dans le but d’informer loyalement la population sur les meilleurs choix à faire.
Il est composé de: ▪️ Philippe de Chazournes ▪️ Laurent Toubiana ▪️ Vincent Pavan ▪️ Christian Perronne ▪️ Astrid Stuckelberger ▪️ Eric Menat ▪️ Jean-François Lesgards ▪️ Hélène Banoun ▪️ Louis Fouché"
Les amateurs découvriraient alors une parole posée, informée, argumentée par des pros du domaine de la santé, qui replace la gestion de la «crise sanitaire» à sa juste place, qui relativise la Grande Panique de 2020...
Mais il faut bien sûr que ces amateurs percent leur petit abcès perso, cette volonté de se faire peur à tout prix (quoiqu’il advienne, comme dirait le petit marquis psychopathe).
C’est ici que j’’avoue mon échec: je n’ai aucun, strictement aucun, outil pour aider mes congénères de ce type à faire le pas. Le seul que j’aie trouvé: les provoquer avec ce libellé de CCC.
On fait ce qu’on peut avec son petit possible, n’est-ce pas?
Passionnée de romans policiers et d’enquêtes, j’ai aimé écouter un biologiste dérouler sur thinkerview récemment son investigation autour d’une épidémie de choléra en Haïti. Il démontre la campagne de désinformation par l’ONU et par des officines américaines, sans vraiment accuser mais en terminant par... l’implication de la fondation Gates et l’offre d’un vaccin. Qui réglerait le problème que la désinformation a créé. Ce n’est pas le sujet ici, je ne détaille pas.
Le thème est qu’en fin d’interview, j’ai eu l’impression que tant le professeur Piarroux que Sky, l’intervieweur, montraient qu’au Cambodge ils n’auraient pas été loin de Duch, ce fameux tortionnaire.
Une parole carrée, fermée, qui veut enfermer tout le monde... tant l’un (Sky) est mort de trouille pour son petit bidou à lui et tant l’autre est enferré dans son ornière professionnelle.
Piarroux, épidémiologiste, fait la comparaison entre le choléra et le covid: mêmes mesures.
Mais où est-on?
Y a pas photo, pourtant entre la dangerosité du choléra et celle du covid (quand on soigne, bien sûr, pas quand le couillon covidien reste chez lui sans traitement à se laisser étouffer «pask’on m’a dit de le faire»).
Piarroux veut «éliminer le virus»... mais pourquoi? Ce n’est justement ni ebola, ni le choléra.
Il compare le traçage forcé des populations à ses interventions passées en Haïti (qui se limitaient à aller voir les gens et leur offrir du savon). Mais ça n’a rien de comparable!
Il n’a donc pas compris l’ambiance générale des contraintes covid? Il croit vraiment que la crise n’est que sanitaire? Petit bout de la lorgnette, choupi.
Sky s’énerve, c’est son habitude. On accepte, ça fait partie de sa nature.
Mais il s’énerve sur les mesures contraignantes... et pas un mot sur ce que j’ai cité dans le billet précédent: la nouvelle épidémie est probablement née des erreurs de choix médical de l’Etat.
Pourquoi s’acharner sur l’aplatissement d’une courbe sans même citer la source de cette courbe? Et éventuellement revisiter les chiffres «officiels»?
Lui qui prend toujours la posture du rebelle, le voilà depuis le covid dans le camp de la doxa du parti.
Pas un mot sur les bientôt deux années perdues dans l’éducation des enfants, sur le scandale des Ehpads, sur les suicides des jeunes, sur la ruine des petits commerçants, sur la honte générationnelle d’imposer le masque aux enfants, etc.
Pas un questionnement sur l’efficacité du confinement (car il «faut» bien sûr confiner).
Il est pourtant si malin, notre Sky.
Mais... mais... mais... que vaut l’intelligence sans courage? Le courage n’est plus de mise quand on vit dans le virtuel, quand on ne se fritte plus avec la réalité (typique des hackers comme lui). Alors on mouille son froc de trouille. Et on finit par oublier le monde entier tant on a peur pour sa petite peau si chérie.
Ce n’est pas d’hier que l’intervieweur se montre si frileux, portant une telle adhésion aux mensonges médiatiques. D’où mes affirmations.
Les Duch de demain .... j’en ai eu froid dans le dos. Si même les rebelles professionnels s’y mettent!
Désolée du ton peu optimiste, mais j’inclus ce billet,, qui fait partie de ma série «La Confrérie des Couillons du Covid»: c’est par leur peur que ces gars nous entraînent dans une spirale dynamique vers le bas.
Fin de mes gammes de ce matin sur facebook, rayon Confrérie des Couillons du Covid.
Comme en nutrition, je compense mon regard acerbe par des conclusions positives.
Depuis le printemps 2020 j’ai ouvert un chapitre «Les voix de sagesse, les voix de courage... « dans mon dossier «Le circus virule». C’est plus riche d’écouter des hommes d’honneur que des couillons, non? Source: https://www.taty.be/articles/CVD_contrevoix200714.html
J’y reprenais quelques unes des voix posées que j’ai pu lire depuis le début de la crise, ceux que j’appellerai les contrevoix.
Avec ce commentaire:
«Le bon vieux phénomène de la mauvaise foi refait surface dans les medias. Comme en homéopathie, en écologie véritable, en nutrition alternative, en vaccinologie: je connais le récit médiatique de la Pravda, mais j’écoute aussi des voix latérales, ce qui me protège de la mauvaise foi. Je fais la synthèse. Mes interlocuteurs ne connaissent QUE ce que les medias de grand chemin relatent. Comment imaginer qu’on peut discuter? Ami de bonne volonté, qui veut bien un instant retirer ta cape d’invisibilité (la mauvaise foi), jette un coup d’oeil sur cette page, investigue et puis nous discuterons dans la joie et la diversité. «
«J’y reprenais»: l’imparfait s’impose car je pense avoir négligé le report de mes brouillons sur facebook vers mon site depuis belle lurette. On dirait bien depuis septembre 2020. Je m’y recolle.